La manifestation est une chose, l'interprétation en est une autre.
Bien sûr, l'opinion de ces scientifiques n'est pas forcément représentative de leur communauté. Ce sont des outsiders, et leur discours doit être évalué avec prudence. La pandémie de COVID-19 nous a appris qu'un diplôme en microbiologie n'empêche pas son détenteur de dire des bêtises.
Dans son livre End of Days: The Assassination of John F. Kennedy (2013), l'auteur James L. Swanson raconte que l'attorney général de l'époque (l'équivalent de notre ministre de la justice), Ramsey Clark, avait acquis la certitude que cette disparition était imputable à Robert Kennedy, le frère cadet du président et lui-même attorney général lors de l'attentat. Robert Kennedy et sa secrétaire, Angie Novello, aurraient dérobé ces échantillons biologiques, non pas pour dissimuler quelques sorbide complot, mais pour empêcher que des analyses toxicologiques ne révèlent l'importance des maux qui accablaient le président, ainsi que la quantité de médicaments qu'il devait prendre au quotidien pour être "fonctionnel".
J’avoue être attiré par ces films «basés sur une histoire vraie», mais je reconnais que dans certains cas, à la sortie de la salle, j’ai l’impression de m’être fait avoir par une publicité trompeuse. Je pense que les producteurs devraient faire preuve d’un peu plus de retenue avant de qualifier leur film de pseudo-docudrame. Malheureusement, cette autodiscipline risquerait de nuire au nombre d’entrées en salle… Aussi bien rêver au Père Noël. Alors, si l’on ne peut pas s’en remettre à l’industrie, j’ose espérer que vous, qui avez lu ce livre, aurez compris qu’il vaut mieux se renseigner avant d’accepter ces versions sur celluloïd comme le reflet de la réalité.
Le réalisateur qui ment au public sous prétexte de le divertir ne vaut pas mieux à mes yeux que le médium qui raconte des salades à ses clients pour les rassurer. Je vois mal comment on pourrait justifier un mensonge.
Les experts désignent par crimes (ou meurtres « occultes » des actions illicites motivées principalement par des croyances mystiques, ésotériques ou faisant appel à l’univers du surnaturel.
Un peu après son seizième anniversaire, alors qu'elle est en classe au milieu de ses camarades, elle a un long "moment d'absence", comme si elle avait perdu connaissance.
Bien sûr, un film n’est pas un documentaire, et le souci du réalisateur n’est pas tant de transposer la réalité que de nous divertir, mais cette surexploitation du «d’après une histoire vraie» rend, à chaque sortie de film, plus ténue la frontière entre la réalité et la fiction… Quoique, dans l’univers des phénomènes paranormaux, la ligne entre la vérité et le fantasme soit souvent une question de point de vue, selon qu’on est acteur ou spectateur…
Les rituels d’exorcisme sont de véritables séances d’hypnose. Nous avons dit que le prêtre qui accomplit le rituel n’est pas conscient du fait qu’il est en train d’hypnotiser le patient. Mais en fait, nous savons que c’est la puissance de la détermination contenue dans les injonctions personnelles du prêtre qui engendre un cercle vicieux d’influences réciproques
À en croire certains, depuis les premières incursions de la NASA dans l'espace, au début des années 1960, l'agence - par le biais de caméras automatiques ou par l'entremise de ses astronautes - aurait photographié des centaines de phénomènes mystérieux témoignant de cette présence étrangère.