Citations de Clamp (670)
"Si tu crois que ton avenir est tout tracé, alors c'est le cas. Mais si tu crois que rien n'est écrit, c'est vrai aussi"
" Sans ses oreilles on pourrait croire une fille comme les autres. Je commence à comprendre que les gens donnent des noms à leur ordinateur..."
Faire des enfants ou aimer quelqu'un n'est pas toujours une fin en soi dans la quête du bonheur... Le bonheur peut être ailleurs... Il peut prendre une infinité de formes différentes...
" Nous ne pouvons pas mourir. Quand on ne vit pas, on ne peut pas mourir."
" Cette "chose" ne peut pas devenir humaine. Elle peut remplacer un humain mais pas le devenir."
" Quand Tchii est à côté de Hideki, ça lui fait tout chaud. Là. Très chaud ! ça brille comme une étoile. Aux côtés de Hideki c'est le bonheur. Loin de Hideki c'est triste."
" Les adieux font souffrir, les séparations aussi."
" - Ce sont des ordis, on ne peut pas dire qu'ils vivent, ce sont des objets !
- Non, ils sont vivants... Ils sont plus intelligents que les humains, plus beaux aussi ! Ils peuvent tout faire, ils sont supérieurs en tous points ! C'est normal que les humains cherchent leur compagnie. Et, pour finir, ils se désintéressent des autres humains..."
" Je ne veux plus perdre ce que j'ai de plus précieux, plus jamais."
Kobato, j'espère que ton vœu se réalisera... Mais tu vas faire bien des rencontres, et peut-être que ton vœu changera aussi...
Les gens ont du mal à se comprendre eux-mêmes, surtout lorsqu’il s’agit de sentiments comme l’amour !
Parce que réincarné, je ne suis plus Clow Lead. Je possède bien tous les souvenirs de Clow Lead, mais je ne suis plus le même. On ne peut pas rendre la vie à un défunt.
Si jamais je parlais à Sakura de mes sentiments, elle serait bien embarrassée en pensant à la souffrance qu’elle me cause, c’est pourquoi je ne dirai rien.
- Dans le lac du parc, c’était peut-être le fantôme de maman ? Mon grand frère m’a dit, il y a longtemps, que les esprits revenaient pour certaines raisons… Peut-être que maman voulait me dire quelque chose.
- Voyons, si c’était vraiment ta maman, je ne crois pas qu’elle mettrait sa petite Sakura en danger…
- Il y a des aliments que tu n'aimes pas manger ?
- Non, j'aime tout... Euh... Sauf le Konnyaku... J'ai du mal...
- Vraiment ?
- Le pauvre petit Konnyaku n'y est pour rien mais c'est sa texture...
- Tout pareil !
- Hein ?
- Je n'arrive pas à en manger !
- Toi non plus !
- Ce n'est pas grave ! On n'aime pas le Konnyaku mais d'autres personnes en raffolent alors, ça compense ! [...] On n'a pas à culpabiliser !
- Tu as raison !
- Elles se prennent la tête pour du Konnyaku ?!
Pour allonger les épaules, j’ai créé ce drapé et cette image étirée. Ainsi, même s’il n’y a aucune fixation en bas pour la maintenir, la cape conserve toujours la même apparence. Comme cela, le personnage avec les épaulettes ne passe plus pour un petit gringalet.
- Moi, il y a quelque chose qui me rendrait plus heureuse qu’un amour partagé, j’aimerais que cela ne change jamais.
- Tu veux dire que tu ne te soucies pas d’être aimée par la personne que tu chéris ?
- Bien sûr que cela me réjouirait si elle m’aimait aussi. Mais pouvoir rendre heureuse la personne que j’aime, voilà mon bonheur !
- En même temps quand on prépare des okonomiyaki si délicieux, on ne peut pas être foncièrement mauvais !
- Toi, tu ne juges les gens qu’à leur talent culinaire…
- Et donc, qu’est-ce qu’elle sait faire, cette carte ?
- Elle peut faire bouger des objets.
- Ouais, je vois pas bien à quoi ça peut servir.
- Je sais ! C’est pratique pour servir le thé !
- Hyper utile, en effet…
- J’ai pu déplacer des arbres, je te rappelle !
- Et si je n'arrive pas à transformer la carte Light ?
- Alors comme tous les autres...
- Ils resteraient endormis pour toujours dans mon spectre. Ça jamais ! Si je n'y arrive pas, je ne vous reverrais plus jamais Yué, Kéro !
- Mais si tu n'essayes pas, tu ne reverras jamais plus personne.