Citations de Collectif (26)
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !
Lamartine
Un seul être vous manque, et tout est repeuplé
Giraudoux
Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers.
Jean-Paul Grousset
Il faut vivre intensément sa vie avant que le rideau ne tombe, et que l'œuvre se termine sans applaudissements.
Penchée vers la terre
qui berce les morts
Entre gentiane et ciel
immergée dans le bleu
de l'inépuisable
Jelle désire encore
interroger le jour
et porter l'écho
de l'errance humaine
Jacqueline Saint-Jean
C'est sûr et certain, dimanche soir je fais la grasse matinée !
J'arrive à cet âge où la mort n'est plus une hypothèse.
Philippe
Ermite parmi la foule
Tes pas se mêlent aux multiples
Tes yeux se nourrissent d’une fleur
Tes lèvres boivent à la source de toutes choses
Tu n’es rien d’autres que ce chemin vers un ailleurs dont tu n’espères rien
Sinon vivre
Un jour
Une heure
Une minute
Une seconde
... Et nous retrouvons Renata Riviera pour son direct exclusif sur "Flux News" !
- Merci Kenny.
Nous célébrons aujourd'hui un moment historique pour le futur de notre planète !
En effet, c'est ce soir même que va être signé le traité intégrant la terre au Conseil Économique Galactique.
Après un siècle de réformes politiques et environnementales, l'humanité est parvenue à faire de la terre un nouvel Éden, répondant ainsi aux conditions d'adhésion exigées par la fédération ...
« L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence » (Ibn Rochd)
Certains ont peur du vide, moi vu le prix de l'essence j'ai plutôt peur du plein !
Claudine42. de Anonyme
Une vie est une pièce de théâtre qui ne permet pas de répétitions.
Un food truck intellectuel pour nourrir l’esprit des gens de la rue [...]
Un jour, quelqu’un m’a expliqué que la drogue, l’alcool et la violence ne sont pas des problèmes, mais des solutions, certes pas saines, que ces gens-là ont trouvées à des problèmes beaucoup plus profonds. Alors, en distribuant des livres, des carnets et des crayons, on donne aux gens la possibilité de s’exprimer et de s’évader. (propos de Dorothée de Collasson recueillis par Valérian Mazataud)
http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/505580/itinerance-un-food-truck-intellectuel-pour-nourrir-l-esprit-des-gens-de-la-rue
L'interprétation du célèbre tableau de Jean Honoré Fragonard, peint en 1777 - et, principalement, la question du consentement de la femme - suscite depuis longtemps de nombreux commentaires.
A consommer de préférence avant le :
voir sur le couvercle.
Le langage de l'expérience fait plus autorités que tous les raisonnements : les faits peuvent détruire notre argumentation, et non vice versa. - Alessandro Volta
On s'était battu pour la liberté d'expression, et puis quand on l'a eue, on n'en a pas profité.
(Jean-Jacques Pauvert)
J'embrasserais ta peau
De mille et un baiser
Je poserais mes lèvres
Sur tes grains de beauté
Petits grains de café
Sur ta peau perle de lait
Je poserais mes lèvres
Sur tes taches de rousseur
Petits éclats de miel
À la douce saveur
Regorgeant de soleil
Je poserais ma bouche
Sur ta peau de velours
Puis j'embrasserais ta bouche
Pour sceller notre amour.
Delphine JOUVE
Un homme chauve est fier de son bonnet, un fou de sa force.
Proverbe serbo-croate.
C'est avec tristesse et gratitude que je dédie cet agenda 1999 à Eric Tabarly.
Marin de légende, ses encouragements ont permis la réalisation de ces manuels à vocation pédagogique.
Ultime testament, la préface ici reproduite nous est parvenue quelques jours avant sa disparition tragique au large du Pays de Galles.
Ce cri du coeur en faveur d'une marine puissante et ouverte sur le monde ne peut manquer d'émouvoir les plus sceptiques ...
C'est un drôle de petit arbre
Mon petit arbre à chansons
Dès que s'ouvrent ses bourgeons
Elles s'envolent et tournent en rond
Chaque jour plus fort, plus sinueux,
S'infiltre en moi, ceux qui compte pour les âmes errantes
Donner ceux qui nous reste à ceux qu'on aime
Ce dire qu'avec de la chance ça pourra les retenir
Contre soi
Chaque jour, encore et toujours croire
Se dire que même si ce n'est qu'un rêve idyllique et incroyable
Penser que certain ont de la chance de par leurs natures
Qu'on a rien à devoir à la haine à l'horreur des monstres
Contre soi
Chaque jour, plus court que le souffle,
Maudir les temps vides, ceux où tu peux disparaître de moi
Donner son âme au diable peu importe
Se croire libre, sans attache sans lien d'eux
Contre soi
et chaque nuit, entre la peur et la colère
se sentir si faible si petite, fantôme et pas crédible
penser que toi ça te fais rire mes angoisses, mes peurs
que même si tu ne le veux pas un jour tu le seras
Contre moi