Lorsque nous croyons en notre pas, nous ouvrons déjà à moitié la porte de la réussite. Croire en soi s'apprend et c'est fondamental, car alors, même au coeur de la tempête, vous aurez conscience que vous tenez debout, en toute conscience de vos capacités.
Ne cherchez pas les réponses à l'extérieur de vous. Soyez avant tout les explorateurs de vos failles, de vos peurs, de vos limites et sachez avancer en dehors de ce qu'elles vous dictent comme chemin.
Il n’y a pas de victoire sans épreuve : pour réussir, il faut apprendre à lutter. La victoire fait partie de l’épreuve, l’épreuve crée l’avancement. Prenez l’habitude de tout mettre en perspective : ce que vous serez demain, à la lumière de ce que vous traversez aujourd’hui. D’une manière ou d’une autre, l’apprentissage,la connaissance et la force mentale se façonnent dans nos luttes et nos épreuves. Si vous n’aviez jamais eu de traumatisme, votre psychisme n’aurait jamais eu en lui de développer des mécanismes de défense. Si vous n’aviez jamais connu la mort, votre rapport à la vie serait différent. Les épreuves sont une source de force infini.
Donnez sens aux sensations d’échec : l’échec n’existe pas à moins que vous ne le fassiez exister, vous, dans votre représentation de vos actes et de votre environnement. Toute sensation d’échec est toujours vécue sur un chemin et par la compréhension de ce chemin, vous pourrez accéder au pourquoi et au comment de cette bifurcation : un signal indiquant qu’il est temps d’aborder la suite autrement, différemment. L’échec est une grande illusion et n’existe que pour celui qui n’a pas repris sa route. Reprenez votre route. Bâtissez.
Cherchez le mouvement : comme nous vous l’explicitions, le mouvement vous permet d’accompagner la tempête sans la subir. Cette métaphore explique que dans toute épreuve, il faut savoir suivre les évènements les yeux ouverts, car celui qui lutte les yeux fermés ne saura pas ce qu’il combat. Celui qui avance les yeux ouverts en se confrontant à ses peurs et ses angoisses, comme le roseau pliera peut-être mais restera toujours bien arrimé à la terre.
Pourquoi aimez-vous la nuit ? Le jour ? Pourquoi tel ou tel lieu vous apaise ? Tel ou tel lieu vous met mal à l’aise ? Pourquoi vous orientez-vous vers le même type de personne ? Pourquoi vous trouvez-vous sans arrêt inférieur à autrui ? Tout ce que vous vivez a une teneur dans votre inconscient. Dans la compréhension de votre être, cette « autre scène » est importante car elle oriente vos choix, votre regard, et vos grandes comme petites décisions.
Pour accéder à cette partie inconsciente de vous, la voix la plus certaine demeure les rêves. Vos espaces nocturnes sont une porte ouverte sur ce qui se passe en vous et dont vous n’avez pas forcément conscience.
Savoir qui nous sommes revient à savoir qui nous voulons être. Le chemin que nous prenons n'est autre que l'addition des choix de toute une vie. Point de fatalité, point de caractère inapte à la réussite, point d'homme ou femme voué à l'échec.
Ce n'est pas votre naturel que de ne pas croire en vous, c'est votre moi névrotique. Un moi en évolution constante, alors en attendant, décidez qui vous voulez être et travaillez sur ce qui émane de vous en subliminal.
Le bonheur est une création.
Les pentes négatives sont des habitudes de pensées que nous avons prises depuis plus ou moins longtemps, parfois depuis la petite enfance, parfois à la suite d’un évènement traumatique, parfois par transmission, filiation, ou névrose. Ces pentes négatives pourraient être définies comme un mode par défaut qui se met en place à votre insu et qui oriente vos choix, votre humeur, votre manière de vous observer, et de construire la suite de votre chemin.