« De même que dans les temps de la grandeur de la Napoléon, me contentant de servir ma patrie sous ses auspices, on ne m’avait jamais vu au nombre de ses adulateurs, on ne m’avait pas entendu, après sa chute, chanter la palinodie et lui chercher les défauts que lui trouvaient des misérables qu’il avait couverts d’or et chamarrés de titres. » (p. 227)