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3.75/5 (sur 772 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Washington D.C. , le 04/06/1940
Mort(e) à : New Baltimore , le 18/11/2008
Biographie :

George C. Chesbro est un nouvelliste et écrivain de romans policiers.

En 1962, il sort diplômé en Sciences de l'Éducation de l'université de Syracuse. Durant dix sept ans, il enseigne à des enfants "retardés". C'est à cette époque qu'il commence à écrire, des nouvelles et des poèmes principalement.

En 1977, paraît Shadow of a Broken Man ou L'Ombre d'un Homme brisé. Ce roman initie une longue série mettant en scène un personnage emblématique, le Docteur Robert Mongo le Magnifique Fredrickson. En 1978, le nain Mongo apparaît dans une deuxième aventure, City of Whispering Stone, (La cité où les pierres murmurent).

Mais c'est très certainement son troisième opus, An Affair of Sorcerers (Une affaire de sorciers), édité en 1979 aux États-Unis, qui le fera entrer de plain pied dans le cercle de la littérature policière américaine et respecter en tant que tel par ses pairs. Dès lors, son influence ne cesse de s'étendre. Son nain charismatique traverse l'Atlantique et Une Affaire de sorciers, est publié en 1990 par Rivages. C'est avec ce titre qu'il entrera dans la célèbre maison d'édition, dirigée par François Guérif. En 1989, Bone paraît aux États-Unis, et deux ans plus tard, il est traduit et publié en France sous le même titre.

En 1986, Chesbro novelise le film The Golden Child avec Eddie Murphy.

Il a été président du Board of Mystery Writers of America.
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Citations et extraits (111) Voir plus Ajouter une citation
Mais dans ce pays, quand vous perdez, vous perdez pour de bon. On vous donne juste de quoi survivre, et en échange, on vous vole votre amour-propre. Cette société ne vous laisse pas mourir, elle vous en donne envie.
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Veil roula sur son flanc gauche et plongea sous la surface. Une main tenta de lui empoigner la cheville, le rata, se referma sur son poignet gauche et tira violemment. On l'avait juste assez gazé pour en faire une proie facile.
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La véritable panique, je le découvris, avait une teinte argentée, le désespoir était marron; telles étaient les couleurs des taches qui tournoyaient devant mes yeux, tandis que je retenais ma respiration.
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Cette femme avec sa beauté très particulière possédait une forte emprise sur son âme. C'était sa voix qui avait tracé ce chemin sonore qu'il avait suivi pour émerger de l'oubli ; c'était sa ténacité et sa compassion, en fin de compte, qui lui avaient sans doute sauvé la vie.
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Si la gentillesse était radioactive, Garth brillerait dans le noir.
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- Vous avez un cerveau de géant dans un corps de nain. Dommage.
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Je suis trop vieux pour me soucier de mon physique, et avec une cicatrice sur le front, j'ai plus de chances d'impressionner mes ennemis.
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C'était un sentiment irréel et effrayant de contempler, au coin d'une rue de New-York battue par le vent et la neige, la une d'un journal annonçant la mort d'un homme, survenue dans une autre ville, à deux cent kilomètres de là, en se sachant responsable.
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Il faisait penser à un type hypertendu prêt à exploser au moindre tour de vis émotionnel.
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- Vous ne pouvez pas imaginer l’état de certaines personnes que nos patrouilles des rues…
- Les patrouilles des rues ?
- C’est ainsi que nous appelons les équipes mobiles qui travaillent pour la HRA, la Human Resources Administration, un organisme municipal. Les individus qu’ils nous ramènent souffrent très souvent de maladies telles que la tuberculose ou la gale, ils ont des engelures, j’en ai même vus atteints de la peste ou du choléra. On doit presque tous les épouiller avant de les installer dans un lit. En hiver et au début du printemps, pas un jour ou presque ne se passe sans que nous devions amputer un clochard à cause de la gangrène consécutive aux engelures, et il n’est pas rare que nous soyons obligés de couper les doigts ou les orteils d’une personne que nous avons déjà soignée. Bref, par rapport à tous les sans-abri que nous accueillons ici, vous constituez une exception frappante.
- Comment la municipalité peut-elle tolérer ça ?
- Tolérer quoi ?
- Que des gens sans foyers meurent de la tuberculose et des autres maladies que vous avez mentionnées. Comment peut-on laisser des gens mourir de froid en hiver ?
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