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Citations de Hachette (29)


Le miel ou le sucre

Le miel et le sucre sont des compléments naturels de l'aquarelle. Ils en retardent le séchage et donnent plus de transparence à la peinture.
Faites dissoudre du miel ou du sucre dans l'eau qui vous servira à préparer vos couleurs.
Pour obtenir un effet plus ou moins brillant, il suffit de faire varier le dosage.
Mais attention ! A forte dose, le séchage est difficile pour le miel, qui a du mal à cristalliser.
p.67 Les additifs
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La grippe a tué plus de monde en 5 mois que la guerre en 5 ans.

Caricature de Nelson Dias.
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Le sel

Déposé sur un lavis humide, il peut suggérer des flocons de neige qui tombent.
Procédez à des essais. Dispersez des grains de sel de mer fin sur le lavis en phase de séchage. Comme le lavis a été déposé sur une surface inclinée, il en résulte une accumulation de l'humidité vers le bas.
p.132 Paysages de neige
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Ce n'est pas le plus haut, pourtant le mont Aigoual reste sans doute le plus cher au coeur des Cévenols. Très souvent dans la brume, il offre par temps clair, un extraordinaire panorama.
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Les bizarreries de la langue française

Mortier. s.m. : Désigne un produit qui sert à bâtir les maisons en temps de paix et un instrument qui sert à les démolir en temps de guerre.

(jeudi 14 décembre 1916)
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Détendez-vous et retrouver le plaisir de créer.
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Tandis que les portraits de la première manière ont un fond neutre et insignifiant, dans ceux que nous venons d'énumérer, le fond s'ouvre, laisse entrer la lumière, permet d'entrevoir le paysage, l'éternelle nature, où la palette du peintre se joue de toutes les difficultés. Et ce sont des hardiesses, d'étonnantes trouvailles qui anticipent, deux siècles et demi d'avance, sur les plus glorieuses conquêtes de l'Ecole de Barbizon. Aussi, rien d'étonnant si cette grande école française a salué dans Vélasquez son maître et un de ses dieux.
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La population française présente tous les caractères d'une population de pays développé: les Français vivent vieux, ont peu d'enfants, vivent pour la plupart en ville.
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Raphaël a laissé des modèles dans tous les domaines de l’Art plastique : peinture à l’huile et à la fresque, mosaïque, tapisserie, orfèvrerie, architecture et sculpture. Il traita tous les sujets : l’Ancien et le Nouveau Testament, la mythologie, l’histoire grecque et romaine, celle du Moyen-Age, l’allégorie, le portrait. A cette variété dans l’inspiration il soignit une pondération, une harmonie souveraines, telles qu’on en vit surtout aux jours heureux de la Grèce antique; un goût naturel de la mesure où s'atténuent et fusionnent les contraires ; une délicatesse d’âme qui s’attache à toute chose noble et digne de tendresse, une faculté infinie de comprendre et d’aimer. Et à toutes ces qualités s’ajouta le bonheur d’une double éducation qui apprit à l’artiste la force et la joie du paganisme, après lui avoir fait sentir la douceur et la pureté chrétiennes.
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Un portrait de Descartes, de Pascal, de Mazarin, de Louis XIV de la main du peintre qui fouillait dans les âmes grâce à la seule sincérité de son pinceau, quel rêve !
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« Où donc est le peintre ? se sont demandé à leur tour, avec une nuance de blâme, des critiques malavisés. Comme si un aussi parfait artiste était par hasard impersonnel et froidement objectif ! Il ne copie pas la réalité; il la recrée. »
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La création des lycées témoignent de la volonté de développer l'enseignement et de rénover son contenu en donnant davantage de place aux sciences. L'enseignement primaire reste cependant délaissé.
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Raphaël, sensible aux marques d’admiration que lui prodiguaient les souverains, dut être touché plus encore par un témoignage qui prouvait la valeur éducative de son talent : de tous les points de l’Italie et même de l’étranger, il vit arriver d’innombrables élèves, avides de recevoir ses conseils. Ils devinrent ses amis, ses dévots. C’est accompagné d’une cinquantaine d’entre eux qu’il sortait dans les rues de Rome.
L’artiste ne tarda pas à être doublé d’un grand seigneur: à une fortune considérable, à une situation morale que les plus grands maîtres pouvaient lui envier il joignit le titre de camérier pontifical et de chevalier de l’éperon d’or.
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Chose très rare : l'âme et le caractère, chez Vélasquez, étaient à la hauteur de son génie sauf peut-être une ambition un peu trop déférente pour la royauté et un peu entichée de vains titres ; mais il en a été bien puni ! En tout cas, il n'eut jamais d'ennemis que ses envieux.
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Vélasquez peignait d'abord pour lui, pour satisfaire sa conscience d'artiste, et rendait avec une vérité par-fois cruelle les laideurs, les tares des puissants de ce monde. È troppo vero, "ce portrait est trop vrai", dit Innocent X en regardant son image. Il ne croyait pas si bien dire : le peintre a rendu avec une sincérité absolue la physionomie dure, quasi antipathique, le regard inquisiteur de celui qui était assis sur le siège de Saint Pierre. C'est le palais Doria à Rome, qui aujourd'hui a le bonheur de posséder ce portrait que le critique Jakob Burckhardt appelle le « meilleur du siècle ».
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Dés le début de sa carrière, l'idéal de Michel-Ange fut essentiellement plastique.
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Aux Madones, aux fresques, qui ont les faveurs de l’opinion, la critique contemporaine tend à préférer les portraits. Affaire de goût. Un autre problème se pose, plus intéressant qu’une question d’excellence : Comment le peintre des Madones et des fresques, le platonicien épris d’idées générales et de sentiments universels, a-t-il pu appliquer son génie à la représentation de l’individu ?

Le spectacle des chefs-d’œuvre qu’il a produits dans ce genre est une réponse qui dispenserait d’en trouver de plus péremptoire, mais l’examen même de son esthétique explique et confirme ce que l’œil permet de constater. Il ne faut en effet pas oublier que, en Raphaël, le culte de la nature précède la recherche de l’idéal. Dans ses conceptions les plus élevées il ne cesse de prendre pour point de départ l’observation sensible. Avant de composer des figures qui nous paraissent de purs symboles, il fait poser devant lui le modèle vivant ; il dessine ses personnages d’après nature avant de les éclairer d’un rayon d’idéal. Et ainsi, son idéalisme, loin de se contenter d’abstraction, est la forme supérieure que prend la réalité.
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Au confluent des deux rivières, le Tarn et la Jonte, les trois causses, Méjean, causse Noir et Sauveterre, se rejoignent.
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Ile de granit au milieu de l'océan calcaire des causses, situé à l'extrême nord du Parc, le mont Lozère est aussi le point culminant des Cévennes (1699 m).
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Rome est l'une des plus anciennes cités d'Europe et, en tant que capitale de l'Empire romain, puis de l'Eglise catholique, elle a exercé une immense influence sur le monde.
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