La Documentation Française

J’imaginais un livre de données brutes qui m’aurait permis d’avoir accès à certaines informations auxquelles on n’a pas nécessairement accès ou qu’on ne prend pas forcément le temps d’aller chercher activement.



Le fait qu’il soit édité par un organisme public, en l’espèce, La documentation Française, me laissait présager une sorte de reader’s digest de la cour des comptes ou assimilés. Or, c’est tout autre chose. Dès que j’ai commencé à le lire, j’ai été ébahie, je n’en revenais pas, j’ai lu quelques pages, toutes sur le même ton et le même modèle et je l’ai refermé à jamais, sauf peut-être pour parler zététique avec mes amis un de ces jours.



Quelques données chiffrées sans grand intérêt, le tout englué dans une belle mélasse pro-gouvernementale. Dit autrement, une bonne petite propagande d’État destinée à nous faire avaler toutes les couleuvres qu’on nous fourre dans le bec à longueur de quinquennat depuis que le quinquennat existe et à nous formater à la doctrine TINA bien connue outre-Atlantique (There Is No Alternative).



La loi Macron vous déplaît ? Mais c’est pourtant pour votre bien mes braves gens. Vous n’êtes pas d’accord avec les réformes et les politiques engagées ? Alors vous n’avez pas bien compris, parce que vous êtes un peu cons sur les bords et nous on sait ce qui est bien pour vous. La réforme de l’éducation ? L’Europe ? La décentralisation ? La politique économique ? La santé ? C’est une merveille, n’est-ce pas ? Quoi, vous n’êtes pas convaincus ? Bon alors on va vous bourrer le mou un petit peu jusqu’à ce que vous répétiez après nous : « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles et avec la meilleure politique possible. »



Bref, ce que j’espérais être un outil de meilleure compréhension s’avère être un outil d’enfumage et de manipulation, une vraie nullité partisane, un torche-cul propagandiste, utile seulement si vous êtes à cours de papier toilettes un jour de gastro-entérite. Zététiciens s’abstenir (bon déjà, rien que quand j’ai reçu l’enveloppe émanant de, je cite : La Direction de l’Information Légale et Administrative, j’ai nourri quelques soupçons sur son objectivité). Merci quand même pour cet envoi, merci à Masse Critique, mais j’ai rarement eu quelque chose d’aussi mauvais et trompeur entre les mains. Ceci dit, ce n’est que mon avis, c’est-à-dire, pas grand-chose.



P. S. : en quatrième de couverture on peut lire, je cite : « L’essentiel pour rendre l’actu facile en trois temps – une présentation rapide et claire du sujet, – les 30 points indispensables pour démêler le vrai du faux, – les réponses à des questions d’internautes de vie-publique.fr pour être au plus près de vos préoccupations. » Là, excusez-moi, mesdames et messieurs les rédacteurs de la documentation française, mais ça me fait doucement rigoler. Je ne pensais pas que Chomsky avait raison à ce point : la fabrique du consentement, c’est vous.

Petit bréviaire de base de la politique en marche. Les rédacteurs soignent leur plan de carrière en caressant dans le sens du poil ceux qui peuvent favoriser leur ascension sociale. Des exemples ?

« Chômage des jeunes et action de l'État : Alors que le taux de chômage des jeunes est particulièrement élevé, une plateforme « 1 jeune, 1 solution » a été mise en place par le gouvernement à l'été 2020 pour favoriser leur insertion sur le marché du travail. »... Des chiffres pour mesurer l'impact ? Bah...

Un autre ?

« En 2021, selon l'OCDE, le nombre d'heures travaillées par actif occupé était en France de 1 490 heures. C'est moins que la moyenne de l'OCDE (1 716) » Vous devinez l'arrière-pensée ?

Un d'actualité :

« En Allemagne, le taux de chômage est particulièrement favorable : depuis 2006, il décroît régulièrement et est tombé à 2,8 % en juin 2022 (Eurostat). Ceci s'explique entre autres facteurs par la plus grande vitalité de l'apprentissage, par un système de requalification des demandeurs d'emploi efficace ainsi que par le recours au temps partiel plus fréquent. »

Vous remarquez peut-être, si vous êtes habitué aux manipulations, que l'on a changé de « source ». Personnellement, dans ces cas, je cherche des sources alternatives, ici par exemple je vais sur le site « Statista » et je trouve : 5,6% de chômage, et pas 2,8%. Cent pour cent d'écart...

Ah, j'en profite pour me rappeler que la fameuse Allemagne travaille ... moins que nos 1490 heures, 1370 par an ...

Bref, ce petit opus est utile pour rappeler que les chiffres sont autant manipulables que le reste, mais qu'ils donnent l'impression d'être « neutres » ce qui leur confère un pouvoir de propagande assez dangereux. Nos oligarques en profitent souvent sur les plateaux de divertissement télé pour en assener sans contradiction puisque les fact-checkeurs sont occupés ailleurs (Terre plate, danger de l'homéopathie, Trans phobie dans les compagnies aériennes nord-iraniennes, destination des subventions du fond marian.. euh non pas ça)

Donc ce livre ?

- partiellement utile pour quelques chiffres, quelques tableaux à condition de vérifier leur domaine de crédibilité : « Selon le ministère de la Transition écologique, parmi les pays industrialisés, la contribution de la France à l'effet de serre est l'une des moins fortes, ses émissions de CO2 ont reculé de 21 % durant la période 1990-2021 [Citepa, 2022], résultat d'une politique d'économie d'énergie et de l'importance de la part du nucléaire »

Ainsi, la première partie de la phrase est sans doute vraie, nos émissions ont baissé. Quant à la deuxième partie, elle est « gratuite » sur les économies d'énergie, on pourrait tout aussi bien féliciter l'abandon de nos activités industrielles délocalisées en Europe de l'Est (automobile) et plus loin, en Chine ou ailleurs (biens manufacturés types smartphones et électroménager). Ainsi une demi-vérité cache une politique non assumée : le maintien de notre pouvoir d'achat artificiel grâce aux délocalisations...

- Globalement propagandiste tellement les textes sont une ode à l'action des gouvernements Maastrichtiens en place depuis des dizaines d'années : « – 22 août 2021 : la loi dite Climat et résilience traduit une partie des 149 propositions de la Convention citoyenne pour le climat, expérience démocratique inédite décidée en 2019 par le président Macron » ou encore « En l'absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale, le gouvernement dispose de plusieurs moyens pour faire adopter ses projets de loi. Il peut par exemple tenter de constituer des majorités d'idée parmi les députés pour que ses projets de loi soient adoptés. Reste que la répartition des sièges à l'Assemblée nationale est de nature, a priori, à redonner une certaine importance au Parlement »

Voilà, finalement, je m'attendais à trouver des chiffres assez bruts, mais il y en a peu ou ils sont triés, choisis. La prose qui les accompagne constitue le bréviaire du citoyen moderne qui pense comme il faut penser sur tous les sujets, économie, éducation, écologie, santé (le passage sur le Covid est drôle, on est toujours très martial sur ce sujet, on croirait un débriefing de l'armée suivi d'une autocongratulation « le 30 juin 2022, le rapport de la Mission « Flash » sur les urgences et soins non programmés a été remis à la Première ministre, Élisabeth Borne » suivi d'un... QR code)

Indispensable pour rester politiquement correct.

Comme en 2012, La Documentation française a tablé sur la campagne présidentielle pour produire un ouvrage consacré aux données clés lié à cette date importante du calendrier électoral.



L’exercice est donc bien rodé et cela se sent, puisque d’une année sur l’autre ce sont plus au moins les mêmes remarques qui reviennent, que l’on soit appelé aux urnes ou non. D’ailleurs, certains encarts semblent avoir fait l’objet d’un copier/coller. Le constat est d’autant plus navrant que le livre a été édité en fin d’année 2016, avec forcément les chiffres de cette époque là (2015 dans le meilleur des cas).



Les prospectives faites pour 2016-2017 ne sont plus d’actualité. Un certain décalage persiste donc et entraîne un important décalage avec les débats (si l’on peut appeler ce que l’on a vu et entendu au cours de cette période, comme tel).



Les thèmes retenus se veulent généralistes et effectivement, ils couvrent un périmètre assez large : économie, commerce, questions militaires, santé, champ sanitaire et social, instituons, rayonnement de la France dans le monde… Le format de la fiche de deux pages ne permet guère d’approfondir chaque sujet mais la récurrence de tel ou tel thème lui accorde davantage d’importance. Sans surprise c’est surtout d’économie et de société dont il est question ici. L’obsolescence des données est telle que pour que la lecture soit pertinente, elle doit obligatoire suivre la parution, au mois près.



Il n’y a pas de jugement de valeur ici ; la neutralité est certes respectée mais l’on pourra toutefois constater que le discours se conforme à une forme de bonne pensée admise par la majorité. Drôle de concept que celui de la pensée dominante, car il n’est pas certain que ceux qui se placent à contre courant soit particulièrement ravis, d’autant que les thèmes semblent être choisis en conséquence. Certaines maladresses peuvent être notées ici et là (parler de criminalité avant de passer à l’immigration par exemple)



Chiffres datés, explications reprises d’une année sur l’autre, thèmes semblables : l’édition 2017 des données clés ressemble furieusement à celle des années passées. Peut-être serait-il temps de songer à une autre forme ? L’initiative reste appréciée et ne peut qu’être recommandée dans le cadre d’une première lecture.

Depuis quelques années, La Documentation française publie un outil intéressant : les données clés pour l'année à venir. Le bilan du cru 2016 (cépage 2015) est plutôt mitigé.



L’initiative en elle-même mérite d’être saluée, car elle permet en peu de temps et à moindre coût d’avoir quelques éléments en tête sur un sujet. Les thématiques en question sont assez variées pour donner une impression de transversalité : économie, justice, société… Il y a beaucoup de choses ici, du moins en apparence.



La présentation est pertinente et plutôt bien vue : le texte d’un côté et les outils (graphiques) de l’autre. Dommage toutefois que ces derniers ne servent pas à grand-chose. Les données sont trop précises pour être retenues et trop peu précises pour être ré-exploitées (mieux vaut aller faire un tour sur le site de l’INSÉE). Les encarts explicatifs sont les plus intéressants et auraient mérité d’être plus nombreux.



Hélas, les intentions ne suffisent pas… les chiffres présentés ici sont curieusement datés. Il est rare d’avoir des données pour 2016 et encore moins pour 2015. Le plus souvent il est question de chiffres remontant à 2013-2014. Un peu léger donc, surtout que nous avons affaire à une publication devenue annuelle. Par ailleurs, de nombreuses questions d’actualité ne sont pas traitées et l’on sent qu’il y a un temps de décalage entre la rédaction et l’édition, ce qui est dommageable à un livre qui s’inscrit dans l’immédiateté.



Bien souvent les explications données manquent de contenu et donnent une impression d’inachevé, mais il est difficile d’en vouloir aux auteurs, car l’objectif est ici généraliste. La prose est assez simple et l’on retrouve rapidement l’information que l’on cherche après une première lecture.



Voici donc un outil utile pour avoir un avis généraliste sur de nombreuses questions. Il est à recommander pour quelqu’un qui désire avoir une synthèse entre les mains ou qui veut s’informer de manière globale. Malgré quelques lacunes, il s’agit donc d’une lecture citoyenne à recommander à l’approche des élections de 2017.

Un ouvrage qui mérite à être lu et connu. Tout comme la collection dont il est issu, d'ailleurs.

Loin d'être aride, il s'agit d'une somme des connaissances indispensables pour comprendre l'actualité française. Il y est peu question de politique (le ton est neutre) et concerne des thèmes variés sinon exhaustifs (économie, démographique, développement durable, culture...).

L'approche des institutions et de l'Union européenne aurait méritée à être plus approfondie et présentée autrement (en début plutôt qu'à la fin).



Je ne saurai trop vous recommander de lire cet ouvrage didactique, sans parti pris. N'hésitez pas non plus à le recommander. Il est un outil utile pour les longues discussions de famille et révisions.

(Pour la version complète et les comm's, c'est par ici-bas...)
Lien : http://kriticon.over-blog.co..

Un bon condensé des enjeux inhérents aux principaux sujets contemporains en France, du chômage à la laïcité en passant par la santé. Quelques données chiffrées, un rapide historique des évolutions dans le domaine en question et une explication du débat actuel. J'ai apprécié la concision du propos, qui permet en un coup d'œil d'avoir un aperçu de la situation, avant d'approfondir à l'aide de recherches adjacentes.

Notre relation aux autres animaux et à la nature s'avère si destructrice qu'il apparaît urgent de la transformer, et donc d'abord d'y réfléchir en profondeur, en faisant le point sur les faits, les représentations, les perspectives qui s'ouvrent à nous. Grâce à ce petit livre , nous disposons d'un ensemble structuré et précis d'éléments d'informations.

Il apparaît que les animaux sont assujettis à un cadre juridique qui contribue à pérenniser la violence et l'oppression dont ils sont victimes.



Paradoxalement, le souci des animaux retentit de plus en plus chez nos contemporains. Ainsi, on peut constater que l'exploitation humaine se déploie encore plus intensément alors même que la sensibilité à l'égard des autres espèces animales évolue en faveur d'une plus grande considération et que les conséquences désastreuse de la chasse, de la pêche, de l'élevage sont de mieux en mieux connues et analysées.Une minorité éclairée, empathique et combattive s'emploie à alerter, mais est-elle entendue au point que les comportements eux-mêmes évoluent?

Où en sommes-nous sur le plan juridique? Comment se positionner en conscience et en cohérence? Quelles forces de réaction faut-il combattre? Comment améliorer effectivement la condition animale? Florence Burgat nous offre ici une synthèse claire et remarquablement utile.

Je ne sais qu'en penser... Cet ouvrage est volontairement noyé sous les statistiques, les données chiffrées qui nous arrivent dans tous les sens jusqu'à en gerber !

Quelques données seront utiles, pour le reste je rejoins l'opinion de Nastasia-B : c'est de la propagande pure et dure... Rien à ajouter !



Moi qui comptais me servir de cet ouvrage pour engranger des données afin de passer un concours c'est une déception !

Chaque année, la Documentation Française nous dévoile les chiffres les plus importants à connaître sur l'économie française. Une somme d'indicateurs clés à garder sous la main pour mieux comprendre le'actualité. Bien vu, le fait de livrer ces données clés sous forme de questions ...

Un collectif de chercheurs fait le point sur les « années Lang » au ministère de la Culture, quand le pouvoir socialiste inventait la démocratie culturelle.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..

Jamais vu, jamais lu,

Juste l'envie de vous souhaiter un bon réveillon et une bonne année 2018;;;

Voici un livre au titre bien trompeur. Pour qui a besoin 'un ouvrage synthétisant les différents textes régissant ou ayant régi notre système éducatif, c'est une bonne compilation. Mais les analyses sont un peu courtes. Ce livre se contente de faire une brève présentation de l'évolution de la législation et de l'organisation en la matière. Ce n'est pas ce que le livre m'avait laissé penser!!

Dans les réseaux sociaux, on peut opposer les pratiques visant la conversation entre proches (friends-oriented) comme Facebook et celles qui promeuvent le partage de contenus avec des personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêt. (interest-oriented) comme Babélio

« Il me semble qu’il y a une grande différence entre ces deux types de réseaux sociaux. Pour l’instant j’adhère aux seconds et peu aux premiers. Je me demande si les autres membres de Babélio pratiquent beaucoup les réseaux comme Facebook (friends oriented) et dans ce cas quelle complémentarité il y a entre les 2 types de sites ? »



Les relations que l’on noue grâce à ces sites permettent une sociabilité nouvelle, ils sont qualifiés de liens faibles par oppositions aux liens forts que l’on entretient avec ses proches. L’exposition de ses centres d’intérêt permet d’attirer de nouveaux contacts et d’élargir son réseau.

« Visiblement ces liens faibles qui peuvent être très nombreux sont capables de produire d’importants mouvements sociaux (printemps arabes) et peut-être représenter une source de développement personnel et social notable. Verra-t-on les professeurs inciter leurs élèves à s’inscrire à Babelio pour les inciter à lire mieux et plus ? »



La nouvelle économie relationnelle …introduit une logique de calcul dans les relations sociales des individus : course au nombre d’amis, fabrication d’une image de soi avantageuse, utilisation opportuniste des amis numériques. Elle renforce des logiques de réputation.

« Il me semble que les diverses décorations octroyées par Babelio et les j’aime, jouent un rôle notable. N’éprouve-t-on pas un sentiment ambiguë par rapport à ces colifichets virtuels, ou bien la distinction est-elle assumée et recherchée ou encore ne produit-elle aucun effet sur des lecteurs. j’essaie quant à moi, de n’en tenir que partiellement compte, qu’en est-il d’autres lecteurs et contributeurs ? »



Depuis 2009 les utilisateurs consacrent plus de temps aux réseaux sociaux qu’à leur messagerie alors que Facebook n’a été créé qu’en 2004.

"La fréquentation de babélio évolue-t-elle dans le temps ?"



Résumés à partir de l’article liens faibles et liens forts sur les réseaux sociaux et quelques réflexions et commentaires sur ces résumés

Après le dossier sur La société numérique, un article sur la criminologie : "La criminologie est-elle une science ?"

Petit livre super synthétique, « Parlons climat en 30 questions » tient sa promesse et nous propose un tour d'horizon de l'état de l'art scientifique en matière de changement climatique, ne manquant pas d'aborder l'ensemble du spectre des conséquences physiques et sociétales de cet enjeu majeur.



Un panorama percutant nous présente le contexte actuel. En une quinzaine de pages, les auteurs abordent la justice climatique (citent en exemple « Notre Affaire à Tous ») en précisant la nécessité de faire preuve de « lucidité, d'honnêteté et de responsabilité ». Si des actions d'adaptation existent, les auteurs n'hésitent pas à parler des freins à leur mise en oeuvre, notamment « l'impossibilité d'imaginer des modes de vie et de gouvernance différents », sans oublier de mentionner que « les intérêts du statu quo sont puissants », avant de cibler le greenwashing omniprésent. La mention du concept de « futurs obsolètes » est bienvenue et permet de prendre la mesure des transformations sociétales requises, en précisant qu'il est nécessaire « d'agir de manière juste et perçue comme juste ».



Suivent les questions-réponses, sur une double-page. « Qu'est-ce que le système climatique ? » ou « Comment l'influence humaine perturbe le climat ? » font partie des premières interrogations trouvant une réponse complète bien que concise, illustrée, et régulièrement agrémentée d'encarts apportant une précision, explorant un exemple, qui permettent de mieux comprendre le sujet abordé.

Le changement climatique est étudié sous toutes les coutures, majoritairement physiques sur une bonne partie du livre, ce qui permet d'asseoir le constat scientifique en présentant les méthodes de travail et les différentes lignes d'évidence qui font que la responsabilité des activités humaines est sans équivoque. Le fait de rentrer en détail – de manière accessible – sur les enjeux scientifiques et politiques permet d'appréhender la complexité de la problématique et ses innombrables ramifications. « Comment anticiper les climats futurs ? », « Quelle confiance accorder aux modèles et projections climatiques ? » ou encore « Quelles incertitudes pèsent sur les futurs possibles ? » sont des questions particulièrement pertinentes, dont le traitement aide à mieux situer l'état des connaissances actuelles ainsi que les recherches en cours.

Dans les pages suivantes, on abordera la géo-ingénierie, l'évaluation des risques climatiques, le lien entre inégalités et changement climatique ou encore l'efficacité des politiques climatiques, parmi d'autres.



Un excellent petit livre, illustré en couleur, à moins de 6€ pour moins de 100 pages, le rendant ainsi accessible sur tous les plans. A lire et à faire lire.

au vu du titre je 'aurai pas cru qu'il pourrait m'intéresser. Mais les "essentiels à retenir" sont super bien et résume bien les chapitres. Très intéressant au niveau système de santé.

Hyper rébarbatif à lire, et déjà presque trop vieux dans les propos....

L'idée de la Documentation française de rassembler dans un livre les textes des vœux adressés par les présidents depuis 1958 est aussi simple qu'excellente. Voilà l'occasion de se replonger, par le truchement d'un exercice télévisé unique, au cœur de l'histoire de la Ve République. Les messages de bonne année, enrichis d'encadrés, de photos et de notes, reflètent l'atmosphère de l'époque et la personnalité de l'orateur.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..