Citations de Lanabellia (46)
Je fais une crise de manque, je veux son sourire, son rire, la douceur de ses bras... J'ai envie de voir ses putains de dosettes de café traîner sur notre évier, ses tee-shirts abandonnés dans l'appartement... Je veux encore trébucher sur ses chaussures au milieu du salon...
« Ne sous estimez jamais la force des mots. Certains peuvent faire beaucoup de mal. Ils peuvent démolir ou même tuer… »
« Ne souffre pas en silence de l’intimidation, car les mots peuvent également servir à te libérer ! »
Extrait (Devin et Emily) :
- Eh bébé, il ne t'intéresse pas celui là?
Il devrait crier encore plus fort. Je me rapproche.
- Ne m'appelle pas "bébé" en public, s'il te plaît.
- J'en ai rien à foutre des autres!
- Dévin arrête de jouer au con. Tu as très bien compris.
Il me fourre le bouquin devant le nez.
- C'est l'histoire d'une fille qui trompe son mec avec leur coloc.
Il éclate de rire. Il abuse! J'ai le feu qui me monte au joues.
- Ce n'est vraiment pas drôle, Devin! Pose ça!
- Non je compte bien le lire.
Il est sérieux? Je l'abandonne à son délire et continue à étudier les étagères.
Je m’égare avec l’image de Gabriel incrustée sous chacune de mes pensées. Je suis une façade, vide, creuse, en sursis. Mon cœur, lui, hurle en silence… Condamnée, brimée, je n’ai plus le choix : je m’occupe l’esprit au maximum, tente de faire illusion par n’importe quel moyen.
-Tu me plais beaucoup, trop sûrement. Avec toi, je suis différent, je suis quelqu’un d’autre. Mais j’ai peur que mes excès, ma vie, mon passé, te fassent fuir. Ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas eu de constance, pas vraiment de limites non plus… Tu es mon tourment, Rose.
Tu es la plus belle contradiction que j'ai jamais vue.
Je pose ma tête contre son dos. Je n'ai jamais été aussi bien de toute ma vie, jamais aussi bien que quand je suis avec lui et que je le suis dans ses folies.
Je retiens mon souffle quand il s’immisce doucement en moi… Aucune douleur, c’est assez étrange… Étonnant, mais agréable, très agréable. Je ne peux m’empêcher de le bouffer des yeux. Ce mec est vraiment magnifique ! Attentif à chacune de mes réactions, il recule, revient doucement en me pénétrant plus profondément et il étouffe mon petit cri de surprise, sa bouche sur la mienne. Les muscles bandés, il s’immobilise, me laissant le temps de m’habituer. Je me sens entièrement emplie. Mon ventre se contracte autour de lui, m’offrant une vague de plaisir. Mes mains hésitantes glissent sur sa nuque et je me noie au fond de ses yeux. J’en veux encore…
Cet homme est un diamant brut. Mon diamant, ma merveille..... ET j'ai la chance inouïe de pouvoir le découvrir un peu plus chaque jour.
Le protéger est ma priorité absolue et passe avant mes propres sentiments. C'est terminé, j'ai donc décidé de ne plus jamais le revoir et de continuer ma vie comme s'il ne s'était rien passé, comme si Gabriel avait été un rêve. Le plus beau de tous les rêves.....
Avant d’attaquer les choses sérieuses, un bon café s’impose.
Les baisers qu'il me donne, je ne les oublierai jamais! Un mélange de douceur, de brutalité et de sensualité.
C’est trop. Pas assez. Je veux tout de lui. Ce ne sera jamais suffisant.
Mon cœur frémit. Je me languis. Je brûle. Je suis glacée. Je suis brisée. Non…
Vic, Vic, Vic.
Ses prunelles indescriptibles, aussi profondes que la noirceur de l’océan en pleine nuit, tombent dans les miennes. Putain de regard qui me torpille de l’intérieur !
Je l’aime. Terriblement !
Alors pourquoi j’étouffe ? Pourquoi j’agonise ?
J’ai besoin d’air, de son souffle, de sa bouche sur la mienne. Il me la donne. Alors, je revis, je fais le choix égoïste de respirer à nouveau, de désengorger mes poumons de cette eau glaciale qui me noie.
J’aime tellement cet homme que c’est impossible à décrire. C’est beaucoup plus intense qu’un simple sentiment : je suis moi parce qu’il est lui. S’il n’est plus lui, je ne suis plus moi…
Chaque marche gravie me ramène un peu plus près d’elle, brouille mes pensées. Tout dans cet appartement m’oblige à ne penser qu’à elle : chaque endroit, chaque objet, chaque particule d’air… Ma réalité est déformée par son souvenir. Ça me détruit autant que ça me rassure. Souffrir, c’est l’assurance que tout ceci a bien existé et je m’y accroche comme un forcené. J’en ai besoin, sinon je risque de virer dingue.
Il y a des êtres qui ne sont pas faits pour se rencontrer. Osez les mettre ensemble : vous obtiendrez les plus beaux des sourires, les plus violents battements de coeur, le plus puissant des désirs et la plus divine des passions…
« C’est ma plus grande peur. Je ne l’avouerai jamais à personne, mais depuis que je l’ai rencontré, c’est ce qui m’effraie le plus… le perdre, ne plus sentir ce regard qu’il pose sur moi, ne plus voir son merveilleux sourire, sa petite fossette quand il m’observe du coin de l’œil, ne plus pouvoir toucher sa peau divinement douce… »
Il a une sale tête, même s’il reste incroyablement beau, quelle que soit la situation. Sa bouche charnue est une pure merveille, mais il n’en sort que des grossièretés. Son regard gris perçant vous déstabilise en un seul coup d’œil et son sourire divin se veut toujours des plus provocateurs.
Manger toute seule ne me dérange pas. J’aime ma tranquillité, faire ce dont j’ai envie, manger quand je le décide et lire autant que je le souhaite : rien n’est plus satisfaisant pour moi.
La lueur qui brille dans ses yeux abat toutes mes défenses. Mon coeur martèle en cadence. Mes poumons oublient leur fonction vitale primaire : respirer ! Ses lèvres courent le long de ma mâchoire, jusqu'aux miennes. Leurs caresses, leurs courbures indécentes s'ajustent si proprement à chacun de ses baisers que j'ai l'impression de recevoir un choc dans la poitrine. Il m'embrasse, nos langues se trouvent, s'enroulent tandis que ses doigts se faufilent dans mes cheveux humides. Comme s'il cherchait à ce que jamais je ne me détache de son emprise.