Tu sais quoi ? Tu me fais penser à ce que tu disais sur ton père "il bossait tout le temps, il était jamais là pour moi".
Tu es en train de reproduire EXTACTEMENT ce qu'a fait ton père.
Ce qui importe c'est pas destination. C'est ave qui on y va.
C'est beau ce que tu dis, on dirait une pub pour une agence de voyage.
- J'ai jamais vraiment su ce que je voulais faire dans la vie...
- Où était ma place, Si d'ailleurs j'en avais une, de place ?
- Mon père n'en avait pas l'air convaincu
- C'est horrible le doute chez un père... c'est tellement proche de la déception
- J'étais prêt à tout pour qu'il ne doute pas de moi... voire pour qu'il soit fier...
- Même à devenir ingénieur !
- Comme dirait Lao Tseu : "Si tu fais un truc débile qui te fait du bien, alors, fais-le" Ou alors c'est mon cousin Bertrand qui disait ça...
- Celui qui est en prison ?
Partir à l'étranger, c'est comme repartir à zéro. C'est laisser derrière soi son histoire, ses casseroles, et se dire que devant, tout est à écrire. C'est comme voyager sur une page blanche.
Vivre dans une cage dorée avec graines à volonté, ou en liberté frugale dans un nid instable ?... Telle est la question.
Après le travail vient l'argent et le repos.
Le monôme de Bordel's
Unis au coeur de ce monôme
Sous vos regards intrigués,
Nous sommes trois cents uniformes
Défilant plein de gaité
Et si l'un de vous
Se soucie de nous
Il n'y a rien de bizarre,
Si nous sommes amis
Si nous sommes unis
C'est que nous sommes GLADZ'ARTS