Marvel

Depuis un moment, la série voit revenir dans ses pages les grands ennemis classiques de Spider-Man… Après L’Homme Sable, Mysterio, Le Vautour, Le Rhino, Le Fléau, voici le retour du Lézard !
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Action, suspense et espionnage au programme : le tout mené par un steve Rogers en grand patron des Vengeurs. L'histoire amène son lot de bonnes surprises surtout lorsque nous découvrons certains des protagonistes. Le tout mis en avant par le dessin hors-pair de Mike Deodato qui sait vous mettre dans l'ambiance.
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Bon, Loeb ne semble plus trop inspiré par Hulk, qu'il soit rouge, vert, bleu ou autre.

Tout comme Matt Fraction dont on attendait mieux sur Thor. Là, l'épisode est plutôt du genre...ennuyeux. Cela devrait bouger mais c'est un peu trop statique. Dommage.
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Hickman a réussi son pari de faire des Quatre Fantastiques (ici, le Fantastic Four 580), une série très lisible. Son récit amène de nouvelles choses intéressantes sur l'univers de ces héros. La suite semble aussi bien prometteuse.



Un numéro qui vous séduira, vous verrez, et qui ne vous décevra pas.
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A peine remis du cataclysme "Second Coming", les X-Men se retrouvent embarqués dans un conflit qui s'avèrera sans doute sanglant : des vampires ourdissent un plan qui les implique. On pourra lire aussi comment Ilyana est ramenée des Limbes et suivre les pérégrinations d'un Daken en proie au doute (épisode assez raté en outre). Le meilleur est encore pour Facteur-X grâce à la truculence de Peter David, décidément en verve.

Fin d'époque pour un Wolverine très touché par la mort de son ami, mais aussi par les choix qu'il a dû faire face à Romulus et Daken. Ces épisodes ont un goût de déjà-vu mais restent intéressants pour lancer la suite des aventures du mutant griffu, désormais en pleine possession de ses moyens et libre de ses actes.

Le retour du Messie s'est terminé : l'heure est aux comptes. Certains tirent les leçons de la survie, et s'en réjouissent, malgré les extrémités immorales auxquelles ils ont été contraints ; d'autres ne voient aucun avenir malgré la présence de Hope. Tout est à faire.

Deux épisodes des X-Men très denses et accrocheurs et un nouvel arc pour les Nouveaux Mutants qui décidément ne peuvent pas se reposer.

Pendant que Thor finit son contrat contre les Dises (un arc assez intense mais qui manque de flamboyance), les Prochains Vengeurs nagent en plein paradoxe temporel : l'épisode est confus mais jouissif et annonce de grands lendemains. On en profite pour jouir aussi de l'histoire des origines du Hulk rouge, qui nous pousse à relire les précédents épisodes de Jeph Loeb.

Excellent numéro.

Chez les Nouveaux Vengeurs, l'arc "Possession" prend une nouvelle tournure : on souffle avant un nouveau sommet (car on connaît désormais le responsable de ce cataclysme). Iron Man, toujours excellent, subtil et bien tourné. Le développement des personnages est le point central des aventures signées Fraction & Larrocca. Captain America suit son bonhomme de chemin, avec plus de facilités que d'habitude, et un dessin qui rappelle Kirby. Déconcertant.

Quant aux FF, toujours brouillon et ennuyeux, mais il y a l'amorce d'un prochain arc intéressant.

Bien qu'il finisse un certains nombres d'arcs entamés, on a l'impression d'avoir un numéro de transition qui nous pousse vers Shadowland. En attendant, on en a donc terminé avec le premier volet des Vengeurs secrets, qui nous laisse sur notre faim (beaucoup trop de secrets). Pareil avec Hulk, avec un choc des titans attendu et dévastateur, plutôt bien emmené par Pelletier ; on s'étonnera de la fin un peu trop heureuse. Quant aux Secret Warriors, on est engoncé dans un schéma très touffu où les ennemis de leurs ennemis ne sont pas leurs amis.

Les précédents épisodes de cette saga de ce qui aurait pu être étaient déjà aussi poussifs qu'inintéressants, ceux-ci achèvent de sombrer dans le ridicule. Mal écrit, sot et laid.

A éviter.

La conclusion de "Second coming" ne prend qu'une petite partie de l'ouvrage, et intervient un peu trop abruptement par rapport au précédent épisode. Mais elle est riche en tensions et implications, et le potentiel de Hope y explose littéralement. Il était temps.

En parallèle, on assiste à "Hellbound", la quête de Magie dans le monde des limbes : c'est brouillon, furieux mais intéressant.

Ce deuxième opus confirme la qualité de ce récit, qui nous laissait pour le moins dubitatif à son annonce. Cela tient surtout à un scénario bien ficelé, qui ne ménage pas un instant le lecteur, l'emmenant de surprise en surprise.
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Probablement l'un des numéros les plus excitants de ces dernières années concernant les mutants : le combat sur deux fronts temporels contre Bastion tient toutes ses promesses, les stratégies implacables répondent aux tactiques désespérées et chacun y met du sien pour mettre un terme au conflit. Intense et enfin passionnant.

Ah... Déception que cette fin de cycle. C'est bien traité, assez fin, mais on ne peut s'empêcher d'attendre davantage de ce duel à trois entre Wolverine, Romulus et Daken, tant les épisodes précédents étaient lourds de possibilités. Trop de facilité dans la conclusion, qui laisse néanmoins la porte ouverte à de possibles retours.

Bavard, poussif et inintéressant. Les 6 épisodes de cette série avec Oeil de Faucon et son ex-ex-femme Oiseau moqueur sont d'un ennui mortel, rarement tempéré par des combats sporadiques et plombé par des ressorts scénaristiques trop usés.

Ca commence enfin à se décanter chez les Vengeurs, il était temps ! Quelques noeuds gordiens se défont et les révélations alternent avec des confrontations de masse tonitruantes. Pareil pour Thor, avec toujours ce petit côté pince-sans-rire propre à Mephisto : le finale approche à grands pas. L'épisode sur les origines de Rulk est moins cataclysmique que prévu, il sert surtout à prendre une bonne respiration avant la conclusion de World War Hulks à lire par ailleurs - et à inviter quelques artistes perdus de vue, comme Dale Keown. L'épisode sur l'Académie des Vengeurs se poursuit dans celui des Thunderbolts qu'on trouve dans Marvel Stars, plus réussi.

Est-ce dû à une fatigue de Millar ? A des dessins insipides de Dillon ? En tous cas, je n'ai trouvé que peu d'intérêt à cette histoire décousue voyant un vampire tenter de dominer le monde en s'en prenant aux super-héros : ni la présence d'un nouveau Daredevil, ni l'apparition de Ultimate Blade ne donnent le piment nécessaire au projet. Reste que la révélation finale rehausse l'intérêt.

Numéro de haute-volée, avec une résolution un brin facile pour les Vengeurs secrets, mais qui ouvre d'énormes perspectives ; la conclusion attendue de World War Hulks, ou comment Banner parviendra à sauver le monde et sauver Betty. Celui des Thunderbolts vient compléter l'épisode des Avengers Academy, avec trois des jeunes Vengeurs qui provoquent une panne au Raft afin de se confronter avec Osborn : c'est rondement mené et plus palpitant que prévu. Le dernier morceau concerne les Secret Warriors et vient terminer un arc un peu confus mais brillant sur les Howling Commandos, où la politique interfère avec l'action sur le terrain.

Si Bendis se lâche enfin sur les Nouveaux Vengeurs, après 2 épisodes de l'arc "Possession" pleins de suspense, si Iron Man est toujours aussi bon et cynique, on commence à s'ennuyer un peu avec les manigances de Zemo contre Bucky/Captain America et j'avoue être complètement désintéressé par les FF : l'ampleur cosmique du conflit des 4 Cités est insuffisante pour m'y accrocher.