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Critiques de Marvel (178)
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Spider-man les incontournables N°8 : Le sec..

Dernier tome de la collection Spider-Man les incontournables édité chez Panini-comics.



Ce volume nous plonge dans un combat épique, au prise avec un vilain très coriace, notre araignée préféré va devoir puiser dans ses dernière ressources, pour trouver comment ne pas se faire battre. mais rassurez-vous, il n’y a pas que des combats. La première moitié du tome lance quelques idées sur l’origine des pouvoirs des Spider-Man. Idées intéressantes, qui remettraient beaucoup de choses en questions.



Comme toujours avec cette collection, ce 8eme volume est accompagné par un petit livret qui nous raconte une petite histoire en quelques pages. Cette fois-ci, on retrouve Spider-Man et quelques amis super-héros qui assistent, impuissants, a l’attentat du 11 septembre 2001 et qui aident, du mieux qu’ils le peuvent.
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Marvel Heroes (V2) N°8 : Armes secrètes

Huitième numéro de la revue Marvel Heroes (deuxième version), Armes Secrètes nous envoie du lourd en terme de combat et d'artillerie en tous genres, il faut bien lui reconnaître cela.



Dans sa nouvelle série, Thor emploie les grands moyens pour installer Asgard en plein milieu des Etats-Unis. Le dessin d'Olivier Coipel s'adapte parfaitement à cette situation et J. Michael Straczynski nous guide parfaitement vers des aventures simples et ciblées pour le moment qui se laissent lire avec plaisir.

De son côté, par contre, World War Hulk s'embourbe davantage encore et on voit poindre une idée très farfelue de la part des scénaristes, avec la construction d'une arène en plein Manhattan ! On sent bien où veulent en venir les scénaristes des séries Hulk, Avengers : Initiative (que je n'apprécie toujours pas) et Escadron Gamma, mais est-ce pour autant pertinent dans ce climat de totale destruction, de combat total ? Pourquoi pas quand on sait par quoi est passé Hulk, mais c'est surtout un soutien scénaristique malhabile pour justifier d'une possible défaite à venir de Hulk et de ses comparses. Dommage que la ficelle soit trop grosse.



Un numéro encore intéressant évidemment, mais le gros morceau de World War Hulk commence vraiment à lasser par ses longueurs et par les incompréhensions qu'il crée dans nos esprits de fans.
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Marvel Icons (V1) N°69 : Le Messager du Fut..

Soixante-neuvième et dernier numéro de la revue Marvel Icons, cet opus n'a pourtant rien d'une fin : aucune série contenue dans ce numéro ne se termine, aucun point d'orgue dans l'histoire générale de l'univers Marvel, pas même des épisodes dignes d'un intérêt particulier ! Il faut tout simplement saluer ici l'incroyable habitude que prend constamment Panini Comics de faire repartir ses revues au numéro 1 pour gagner un petit peu plus d'argent encore, sur le dos des fans évidemment et en prenant en compte qu'ils sont bêtes au point de se jeter sur des numéros 1 qui n'ont rien de nouveaux départs puisque toutes les séries y sont prises en plein milieu !



Pour revenir davantage au contenu qu'au contexte, les cinq épisodes proposés sont une nouvelle fois particulièrement inégaux. Si les Nouveaux Vengeurs et les Quatre Fantastiques (avec mention spéciale pour ces derniers) sont crédibles, on ne peut pas en dire autant d'un Iron Man beaucoup trop mystique à mon goût (et encore, ce n'est rien, bientôt on aura droit à un Iron Man cosmique...) et d'un Captain America qui passe son temps à faire des leçons de morale. En résumé, le crossover Siège, dont sont censés être contemporains ces épisodes, est très loin d'être au niveau des qualités vantées par Marvel !
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Je suis le Docteur Strange

Merci à Babelio, dont la dernière édition de Masse critique spéciale bande dessinée m’aura permis de découvrir tout à la fois Je suis Doctor Strange et le genre des comics. Il s’agit également d’une première bulle dans le cadre du challenge BD 2017.



Les éditions Panini comics ont fait du beau travail et celui-ci est visible à l’œil nu. Il s’agit ici d’un recueil de 320 pages, en couleurs. Chacune d’entre elle est colorisée et imprimée sur du papier de qualité. Si le prix éditeur avoisine les 20€, l’objet – une fois en main – démontre rapidement qu’il s’agit d’un prix honnête. L’on pourra toutefois regretter un goût prononcé pour les couleurs sombres déjà très utilisées par les éditeurs de comics entraînant un manque de visibilité dans les rayonnages.



Cette impression d’honnêteté revient à plusieurs reprises au cours de l’ouvrage. Des explications assez longues (sans être trop intrusives) viennent agrémenter le texte en introduisant les différentes histoires qui nous sont proposées. Il est question de l’histoire du docteur, des équipes d’auteurs qui se sont succédé des choix opérés… Les auteurs expriment clairement leur objectif : faire connaître le personnage et accompagner la sortie du film. Cette justification pourra faire sourire les plus cyniques qui reprocheront également les sélections opérées et les renvois vers d’autres ouvrages… L’aspect commercial est présent mais il reste assumé.



Pour débuter dans le genre des comics, les aventures du docteur Strange ne sont pas forcément les plus indiquées. Il est question de magie, de créatures et de mondes étranges, de dessins et des formes souvent éthérées. Tout cela donne une ambiance très particulière, psychédélique, qui s’adresse à un public difficile à trouver. Si les adultes devraient être plus réceptifs, ils risquent d’être dépités par les nombreux échanges étrangement enfantins ! Si l’on n’accroche pas, il va être difficile d’aller au bout de cette lecture qui du coup se révélera particulièrement longue.



Au vu des objectifs fixés, il est délicat de reprocher d’avoir retenu tel ou tel histoire ou d’avoir privilégié telle ou telle époque. A priori les auteurs nous permettent d’accéder ici à une bonne variété. Malgré quelques lacunes (d’autant plus agaçantes qu’elles annoncent systématiquement plusieurs épisodes qui se suivent), le panel est assez varié : Cléa, L’ancien, Wong, Dormammu, un nouveau Raspoutine sans oublier Mordo sont notamment de la partie.



Hélas, il n’est pas certain que toutes les histoires parviennent à faire l’unanimité (notamment celles dessinées par Craig Russel ou les récits intitulés Le feu au poudres, La Terre a disparu ou encore Automédication). D’autres frisent le ridicule, notamment lorsque le maître des arts mystiques affronte Dracula ou lorsqu’il s’allie à Spiderman et enfin lorsqu'il lutte avec Hulk et ses amis.



Stan Lee rencontre le docteur Strange nous offre un grand moment, notamment grâce aux dessins, sublimes et à l’histoire, plutôt amusante pour un hommage. Les premiers chapitres, ceux qui présentent le personnage, restent les plus intéressants. D’autres restent assez intéressants (notamment grâce à Dane Whitman), mais dans l’ensemble les épisodes les moins immersifs semblent être de loin, les plus nombreux…



Voici donc un ouvrage que l’on réservera aux curieux qui ont découvert le film et qui désirent en savoir davantage en optant pour une approche éclectique, de manière à avoir une idée générale avant de spécialiser sur telle ou telle période. Cela dit il faudra vraiment adhérer à l’univers atypique et ne rien connaître du maître des arts occultes pour apprécier cette plongée dans son univers…
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Marvel Classic N°3 : N'oublions jamais !

Ce Marvel Classic est un des meilleurs de la série (je les achetais en format kiosque, à l'époque). Centré sur l'emblématique Captain America, il contient sept épisodes : "Captain America" #107 (novembre 1968), "Captain America" #109-113 (janvier à mai 1969) et "Captain America Comics" #1 (mars 1941), autrement dit le tout premier épisode mettant le Cap en scène, scénarisé par Joe Simon et dessiné par l'immense Jack Kirby (ses créateurs). Pour les épisodes du Silver Age, on retrouve toujours un Kirby au mieux de sa forme aux dessins, alternativement avec Jim Steranko, et Stan Lee aux scénarii.



Au niveau des dessins, certes les codes graphiques de cette époque n'ont plus cours aujourd'hui, mais ces épisodes sont quand même l'occasion d'admirer le travail de Kirby et Steranko, qui possèdent un des traits les plus dynamique et expressif de l'industrie des comics. Quant aux histoires, elles se concentrent sur les origines du héros et mettent l'accent sur l'homme, plutôt que sur le symbole. La volonté de Stan Lee est clairement d'humaniser le personnage, en révélant ses failles (c'est ce principe d'humanisation des héros qui fut d'ailleurs la clef de voute de l'essor de Marvel dans les 60's). Et avec le bonus du tout premier épisode de Cap (mettant en scène sa première confrontation avec Crane Rouge), là on passe carrément dans le registre de l'histoire de l'art !



Pour tous les amateurs du Cap et pour les amateurs du Marvel du Silver Age, ces épisodes sont clairement indispensables.
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Les grandes alliances, tome 2 : Avengers & ..

• « ʟᴇs ɢʀᴀɴᴅᴇs ᴀʟʟɪᴀɴᴄᴇs, ᴛᴏᴍᴇ 𝟸 : ᴀᴠᴇɴɢᴇʀs & x-ᴍᴇɴ » , ᴘᴜʙʟɪé ᴄʜᴇᴢ ᴍᴀʀᴠᴇʟ ᴘᴀɴɪɴɪ.



• Me voilà de retour chez Marvel, avec la collection suivant celle mettant en scène les antihéros de la firme des supers : Les grandes alliances. C'est donc ici l'occasion de découvrir, à bas prix, des rencontres et coopération super-héroïques dessinés au fil des années. Une collection qui m'emballe clairement moins que la précédente, mais qui pourrait me réserver des surprises.. Du moins, je l'espère.



[ʟᴇ ʟɪᴠʀᴇ]



• Si les Avengers m'intéressent moyennement, les X-Men en revanche font partie de mes héros favoris de l'écurie Marvel. Bercé par les adaptations animées et cinématographiques de l'équipe de parias de l'humanité, je n'ai cessé de leur vouer un amour presque inconditionnel (pour certains films, c'est très limite.). J'ai même entamé il y a quelques années le projet de longue haleine qui consiste en la lecture de la quasi-totalité des aventures traitant des mutants.. J'ai fait une très grosse pause pour me concentrer sur le travail et découvrir d'autres lectures, en m'arrêtant aux alentours des années 88-89. Oh, et je les ai principalement lus en anglais, langue dans laquelle je les trouve étrangement plus adaptés.



• Le recueil contient deux aventures différentes des X-Men, avec des époques et donc des équipes relativement différentes. La première est une histoire que j'avais déjà lue, et beaucoup appréciée lors de ma quête d'aventures mutantes. Et bien, j'ai été très surpris de beaucoup moins l'apprécier lors de cette lecture, même si après réflexion, je pense avoir saisi le pourquoi du comment. Ce n'est pas une mauvaise histoire, elle est même excellente à mon sens, car elle traite de plusieurs sujets importants de la saga des exclus du monde humain tel que le racisme, la comparaison entre la séquestration des mutants dans cette fiction et la population juive dans la réalité, ce qu'est le droit à la justice, à la défense, à la paix.. Mais elle est sortie totalement de son contexte, et c'est ce qui perd énormément de sa pertinence et de son efficacité. J'ai lu progressivement leurs aventures et c'est pour ça que l'histoire était si intéressante, pour quelqu'un qui arrive en cours de route, il passe à côté de beaucoup de choses.



• Pour la deuxième aventure, que je ne connaissais pas pour le coup, elle est assez appréciable, mais à certains défauts. La chose qui m'a le plus perturbé, c'est cette impression que des passages, ont été retirée de l'histoire pour la compiler dans ce recueil. Des personnages qui arrivent tout à coup à un endroit où ils n'étaient pas dans les pages précédentes, comme si de rien n'était notamment.. Étrange. Aussi, la galerie de personnages est assez impressionnante pour des lecteurs qui ne connaîtraient pas les deux équipes et leur histoire, ils ne sont pas vraiment présentés d'ailleurs. L'histoire est intéressante à suivre, mais est très bordélique dans sa narration, on peut assez vite perdre le fil dans les nombreux rebondissements qui composent cette confrontation.



• J'ai oublié d'en parler lors de ma critique du premier tome de cette collection, mais les couvertures revêtent un aspect d'acier brillant, qui s'il est plutôt joli sur le papier (enfin la page cartonnée, vous m'avez compris) n'est pas la meilleure idée du siècle. Les couvertures se raillent très facilement, abîme l'aspect chromé de celle-ci pour rapidement perdre de son charme.. Dommage pour une collection qui a fait le choix d'installer une frise de continuité sur la tranche des livres, qui se frottent inévitablement donc. Sinon, l'illustration est très cool !



[ʟᴀ ᴘᴇᴛɪᴛᴇ ᴠᴏɪx ᴅᴇ ʟᴀ ғɪɴ]



• Légèrement déçu par celui-ci, j'en attendais un peu plus concernant mes héros favoris. Des histoires pas mauvaises, mais qui manque de contexte, ce qui dénote avec la volonté de cette collection qui consiste à présenter les héros aux grand public.



𝘖𝘯 𝘦𝘴𝘱è𝘳𝘦 𝘶𝘯 𝘳𝘦𝘵𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘳𝘪𝘰𝘮𝘱𝘩𝘢𝘭 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘢𝘶 𝘤𝘪𝘯é𝘮𝘢 𝘦𝘵 à 𝘭𝘢 𝘵é𝘭é𝘷𝘪𝘴𝘪𝘰𝘯, 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘧𝘳𝘢𝘯𝘤𝘩𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵, ç𝘢 𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦. ~

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Miles Morales Spider-Man

Clairement pas ce à quoi je m'attendais...!



Ici on adore les films d'animation Spider-Man avec Miles Morales (« New génération » pour le 1 et « Across the Spider-Verse » pour le second). Je pensais retrouver avec cet ouvrage jeunesse plus ou moins la même histoire... Et beh non. Ici Miles se fait piquer en sortie scolaire (tout comme Peter Parker?), se voit approcher par le SHIELD... par exemple. Je ne connais pas la ''véritable histoire '' de Miles Morales - je n'ai jamais lu les comics - cependant comme je le disais plus haut, je m'attendais à avoir la même trame scénaristique que les films. Finalement, même le jeu vidéo est différent alors je ne sais plus où donner de la tête.



Quoi qu'il en soit, mon 4 ans approuve, c'est ce qui compte le plus ! Après tout cela reste une histoire dynamique avec de chouettes dessins. Il est indiqué que Miles devient le nouveau Spider-Man de New-York, est-ce sous-entendu le seul ou simplement le deuxième ? On ne sait pas... À noter qu'on voit bien Ghost-Spider sur une illustration à la fin (je suis obligée de le notifier, mon fils l'adore).



En brève conclusion : un album de qualité avec de jolies illustrations, parfait pour les enfants qui apprécient (ou veulent découvrir) ce super-héros. Attention cependant, c'est une histoire différente du film d'animation « New génération »!

Dès 3 ans d'après la maison d'édition.
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Spidey et ses amis extraordinaires : Missio..

Petit nouveau dans notre très grande collection de Spidey et ses amis extraordinaires, l'album « Mission fête surprise » fût sympa comme tout.



C'est l'anniversaire de Gwen et ses proches Aka Peter, Spin, Iron-Man et compagnie décident de lui organiser une fête - comme le titre l'indique si bien ^^. Malheureusement... Les super-vilains ont tous décidés de sortir en même temps ! Les petites missions s'enchaînent pour nos héros afin de rétablir l'ordre à New-York, rendant la lecture divertissante... Et l'on vient à se demander... La surprise aura t-elle finalement lieu ?



Heureusement, tout est bien qui finit bien !

Et mon fils, lui, en redemande encore et toujours :-). Notre petit trio de super-héros digne des ''Pyjamasques'' a assurément de quoi séduire son public cible !
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Décennies : Marvel dans les années 40 - La Torc..

Ce tome est le premier d'une série de 8 pour célébrer les 8 décennies d'existence de l'entreprise Mavel. Il contient les histoires mettant en scène Human Torch ou Sub-Mariner contenues dans Marvel Mystery Comics 7 à 10 initialement parus en 1940, et Human Torch Comics 3, 5B, 8 et 10 initialement parus en 1940-1942. Les histoires de Sub-Mariner ont été réalisées par Bill Everett, et celles de Human Torch par Carl Burgos, avec d'autres créateurs : John H. Compton, Al Fagaly, Carl Pfeuffer, Ed Hamilton, John Jordan pour les épisodes 3, 8 et 10 de Human Torch Comics. Ce tome commence avec une introduction d'une page évoquant rapidement le choix de faire un tome par décennie pour l'anniversaire des 80 ans, d'avoir un recueil thématique par décennie, ainsi qu'une vague évocation des origines des 2 personnages, et la mise en avant que ces rencontres constituent les premières formes de crossover de l'univers partagé Marvel qui débutera vraiment en 1961 avec le premier épisode de la série des Fantastic Four.



Marvel Mystery Comics 7 - Namor se tient devant le roi d'Atlantis et lui indique qu'il va s'attaquer à New York. Il décide de s'y rendre seul et se livre à des actes de sabotage contre des navires, le métro, s'en prend au maire lui-même dans son bureau. Il finit par partir, après que Betty Dean l'ait mis en garde contre Human Torch qui travaille pour la police. Marvel Mystery Comics 8 - Sub-Mariner continue de se livrer à des actes malveillants, inondant le tunnel sous la rivière Hudson, abattant un avion, libérant les animaux du zoo. Human Torch finit par intervenir et un premier affrontement a lieu sur le pont George Washington. La même histoire est ensuite racontée du point de vue de Human Torch jusqu'au même affrontement. Marvel Mystery Comics 9 - Sub-Mariner est allé récupérer des bonbonnes de gaz sur l'épave d'un avion gisant au fond de l'eau, et il les emmène au sommet de la statue de la Liberté. Il y est rejoint par Human Torch et le combat reprend entre eux. Sub-Mariner réussit à estourbir Human Torch et à l'entraîner au fond de l'eau où il l'emprisonne dans une bulle d'air.



Human Torch 5 - La seconde guerre mondiale fait rage. Dans une maison, The Patriot, The Angel, Toro et Human Torch sont réunis à table pour dire au revoir à Casey, un reporter qui part pour le front en Europe pour Consolidated Press. En pleine mer, Sub-Mariner assiste à un combat naval opposant avions et navires, des nazis contre des communistes. Il constate que tous les débris se retrouvent au fond de l'océan, devenu une véritable poubelle. Il pénètre dans un refuge sous-marin où il retrouve sa mère saine et sauve. Il y entre une femme réfugiée, s'appelant Rathia. Elle explique sa ville a été détruite par des charges sous-marines. Elle enjoint Sub-Mariner de réunir un conseil de guerre. Il suit son exhortation et il décide de se lancer dans une offensive de grande envergure contre le monde de la surface. Il prend contact pour savoir où se rend Casey. Ce dernier lui répond sur le front russe. Sub-Mariner lui conseille ne pas y aller ; le message est également lu par Human Torch et Toro. Casey se retrouve à couvrir une bataille le long du fleuve Dniestr. Il se produit un énorme tourbillon au milieu du fleuve emportant soldats, tanks et canots à moteur. Alors qu'une lame de fond balaye les 2 rives, Human Torch et Toro arrivent juste à temps pour sauver Casey de la noyade.



Ces histoires portent le poids des ans qui fait ressortir avec force l'inanité des intrigues. En additionnant l'ensemble des forces armées allemandes décimées au cours de ces épisodes, il semble que l'Allemagne n'avait plus un seul soldat à mettre sur un champ de bataille par la suite. Sub-Mariner s'attaque à plusieurs reprises à New York, tue des civils, mène une campagne militaire pour devenir empereur de toute la planète. Il n'empêche qu'il n'est jamais puni pour ses actes, et que Human Torch est toujours prêt à renouer les relations avec lui. Human Torch mène une compagnie de soldats anglais dans un tunnel sous-marin qui est inondé. Il ne tente à aucun moment d'essayer de sauver ne serait-ce qu'un seul soldat, et ce massacre n'est plus jamais mentionné dès la page suivante, n'occasionnant aucune culpabilité chez Human Torch, aucune demande d'explication de la part de l'armée britannique.



Le lecteur de comics est habitué aux inventions farfelues, mais il ne pensait pas qu'il soit possible d'avoir des sortes de ventilateur géant n'ayant visiblement besoin d'aucune source d'énergie et pouvant être déplacés sans difficulté. Il sait également que le comportement des personnages est parfois sujet à caution surtout quand le scénariste a besoin d'un rebondissement pratique pour remplir quelques pages de plus. Là, cet art atteint un sommet inouï : Human Torch s'avère capable de retenir sa respiration des dizaines de minutes durant quand Sub-Mariner l'entraîne sous l'eau, et Sub-Mariner ne trouve rien de mieux que de l'enfermer dans une bulle d'air sous l'eau lui permettant ainsi de s'enflammer à nouveau. Dans ce contexte, le lecteur ne s'étonne pas de passer de bataille fantaisiste en bataille absurde n'ayant jamais existé, ou que Human Torch passe par l'Afrique pour rallier la Grande Bretagne en partant de la Méditerranée car ça permet de dire le bonjour à Ka-Zar. L'avertissement donné à ce dernier débouche sur une scène d'Arche de Noé, aussi surréaliste qu'opportune pour remplir quelques pages de plus.



D'un autre côté, le lecteur ne s'attend pas à une narration moderne. Pour autant, les couleurs sont claires, visiblement refaites pour cette édition, sans aller jusqu'à les moderniser. Les traits de contour sont nets et précis, avec une reprographie de grande qualité. La narration visuelle s'avère un peu plus saccadée que dans les comics modernes, tout en utilisant les mêmes raccourcis pour dessiner plus vite : des gros plans sur les visages, des arrière-plans représentés sporadiquement. Les dessins en eux-mêmes sont moins détaillés, avec une approche descriptive plus naïve qu'aujourd'hui, mais pour des hauts faits tout aussi improbables et tout aussi spectaculaires. Ces hauts faits restent en phase avec l'intrigue aussi spectaculaire qu'infantile, avec des liens de cause à effet sujets à caution. Les environnements sont représentés de manière simplifiée, que ce soit les buildings de New York dessinés en 3 traits, ou le champ de bataille à la topographie basique. Les superhéros sont moins musculeux qu'à l'époque moderne. Sub-Mariner passe la plupart de son temps en slip de bain, et Toro (l'assistant adolescent de Human Torch) également, mais lui a droit à des bottes. L'histoire comprend de nombreux civils, ainsi que des militaires, même si d'autres superhéros apparaissent le temps de 2 pages dans le numéro 5 de la série Human Torch. Finalement le lecteur contemporain s'adapte rapidement à la narration visuelle, appréciant les traits fins de Bill Everett qui combine une forme de tête étrange pour Namor, avec une sorte d'élégance. Par contre, les fonds marins bénéficient d'une luminosité similaire à celle du grand jour, et l'architecture d'Atlantis fait conte de fée au rabais.



Le lecteur éprouve plus de difficulté à s'adapter à la narration en mots. Pour commencer, les scénaristes/dessinateurs ont la fâcheuse habitude de dire dans des cellules de texte ce que montrent les dessins. Le lecteur finit par se lasser de cette manie, tout en n'osant pas sauter ces cartouches, au risque de laisser passer une information. Human Torch apparaît comme un superhéros sans vie privée, qui travaille pour la police, qui n'hésite pas à tuer si nécessaire, sans arrière-pensée. En fait à cette époque, les héros n'hésitaient pas à tuer leurs ennemis, en particulier les soldats nazis tous méchants (d'opérette) sans discrimination. Bill Everett fait de Namor un individu déjà prêt à s'emporter et d'une irresponsabilité sans borne. Le lecteur ne peut vraiment pas voir en lui un héros, au point que cela en devient très déconcertant. Il est difficile d'imaginer une telle interprétation du personnage aujourd'hui. Le numéro 8 de la série Human Torch est composé d'une unique histoire de 60 pages qui met bien en lumière le mode d'écriture : le scénariste rallonge la sauce avec des péripéties invraisemblables tant qu'il n'a pas rempli son quota de pages. Arrivé au tiers du récit, le lecteur n'en peut déjà plus des invraisemblances, des illogismes, des rebondissements venant de nulle part, et du comportement des deux héros. Les 40 pages suivantes lui apparaissent interminables. Au cours des aventures, il découvre une nouvelle de 2 pages (en texte) dans laquelle les 2 héros se battent pour savoir quel est le meilleur créateur entre Bill Everett et Carl Burgos dans un moment de cassage du quatrième mur inattendus, un épisode miroir présentant d'abord l'histoire du point de vue de Namor, puis la même histoire du point de vue de Human Torch, Namor se battant déjà contre le fait que les hommes de la surface utilisent les mers comme des poubelles, ou encore 2 pages de texte dans lesquelles Adolf Hitler expose sa crainte de Human Torch et Sub-Mariner, en versant des larmes. Aussi étonnant que kitsch.



En se lançant dans ce tome, le lecteur a pour envie de découvrir les tout débuts de Marvel, au travers des superhéros de Timely. S'il veut vraiment les premiers épisodes, il faut qu'il se tourne vers Marvel Masterworks: Golden Age Marvel Comics Volume 1 qui contient Marvel Comics 1 et Marvel Mystery Comics 2 à 4. Ici, il trouve comme l'indique le titre les principaux combats entre Sub-Mariner et Human Torch, réalisés par Bill Everett et Carl Burgos. Ce tome satisfait sa curiosité, mais il n'y découvre pas de pépite : il ne vaut que pour sa valeur de témoignage d'une autre époque.
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Ultimate Fantastic four issue 30 Frightful ..

ça vanne pas mal donc c'est plutôt drôle (mais c'est une sorte de tradition dans les aventures des Fantastic Four). Les dessins de Greg Land sont superbes dans le genre manga qui ferait dans le réalisme; très clairs, lumineux même, des effets pyrotechniques dignes des blockbusters hollywoodiens - le personnage de Johnny Storm a vraiment été soigné - du grand art, j'apprécie. Mais je reste quand même nostalgique des approximations cubistes et expressionnistes du grand Jack Kirby...

Malheureusement ce Frightful, n'est pas l'épisode où les héros rencontrent leurs doubles zombies. En fait, dans celui-ci, ils les ont déjà sur les bras et ils sont bien embêtés car la "convergence" qui permettrait de voyager entre les mondes parallèles et donc de les renvoyer dans leur univers d'origine, celui des Marvel Zombies, est sur le point de s'achever et elle ne se reproduira que dans cinquante millions d'années. Le problème technique, c'est que, comme dans toute bonne communication, il faut un émetteur et un récepteur pour effectuer le voyage et si un récepteur est activé dans le monde des zombies, ils pourront passer en masse et envahir celui-ci. Est-ce que cela peut arrêter Reed Richard ? Mais pas du tout, voyons ! C'est Monsieur Fantastique, n'est-ce pas ! Heureusement. L'histoire s'entortille cependant un peu autour de références à Lovecraft, il est question de possession et de magie très noire. Ils sont même obligés de faire alliance avec le docteur Fatalis; mais comme toujours ils finissent par l'emporter ! Ouf ! Il y aura un autre épisode le mois prochain. Bon, moi, il faut que je mette la main sur l'histoire précédente : Crossover.
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Les grandes alliances, tome 1 : Spider-Man ..

• « ʟᴇs ɢʀᴀɴᴅᴇs ᴀʟʟɪᴀɴᴄᴇs, ᴛᴏᴍᴇ 𝟷 : sᴘɪᴅᴇʀ-ᴍᴀɴ & ғᴀɴᴛᴀsᴛɪᴄ ғᴏᴜʀ » , ᴘᴜʙʟɪé ᴄʜᴇᴢ ᴍᴀʀᴠᴇʟ ᴘᴀɴɪɴɪ.



• Me voilà de retour chez Marvel, avec la collection suivant celle mettant en scène les antihéros de la firme des supers : Les grandes alliances. C'est donc ici l'occasion de découvrir, à bas prix, des rencontres et coopération super-héroïques dessinés au fil des années. Une collection qui m'emballe clairement moins que la précédente, mais qui pourrait me réserver des surprises.. Du moins, je l'espère.



[ʟᴇ ʟɪᴠʀᴇ]



• Ce premier tome des grandes alliances s'intéresse au justicier arachnéen, Spider-Man, et à la famille de super-héros la plus connue au monde, les 4 Fantastiques. Des piliers de l'univers Marvel en somme, qui ont contribué fortement au renouveau du genre à leur époque. C'est sans surprise qu'on peut donc les retrouver dans cette série.



• Le recueil est composé de trois séries différentes, couvrant différentes époques et moments clé de leur parcours, ce qui est une bonne chose pour les non-initiés. Cette porte ouverte ne m'a pour ma part pas réellement transcendé, j'ai même été presque ennuyé par moments. L'explication en est très simple, j'ai du mal avec l'ego surdimensionné de la Torche qui m'insupporte au plus haut point dans presque toutes ses apparitions, mais aussi avec l'humour parfois trop lourd de l'homme araignée.. C'est le premier qui a creuser le plus le fossé, Spider-Man n'étant pas aussi gênant à côté de l'enflammé.



• Certaines runs offre des moments très intéressants concernant le parcours de nos héros, notamment les tragédies par lesquelles sont passer Peter Parker (c'est Spider-Man, mais chut, c'est un secret.), et la façon dont sa relation avec Johnny Storm (c'est la Torche, mais lui ne se cache pas aux yeux du monde, tu peux le répéter.) l'aide à surmonter en partie les passages difficiles de sa vie. La deuxième série est une histoire d'invasion extra-terrestre qui n'est pas désagréable, peut même prêter à sourire, mais n'est pas non plus des plus mémorables. La dernière est tout simplement historique, et donc d'une grande importance dans le domaine du comics de super-héros, un peu vieillotte mais enrichissante pour la culture.



[ʟᴀ ᴘᴇᴛɪᴛᴇ ᴠᴏɪx ᴅᴇ ʟᴀ ғɪɴ]



• Ce n'est pas une surprise, ce premier volet des grandes alliances ne m'a pas foncièrement intéressé. Je ne repars pas avec rien ; cela dit, j'ai pu étendre mes connaissances dans le parcours de ces personnages historiques du milieu de la planche.



𝘓'𝘢𝘳𝘢𝘪𝘨𝘯é𝘦 𝘴𝘦 𝘳𝘦𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘧𝘭𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘳𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘢𝘯𝘵𝘦,

𝘭𝘦 𝘣𝘳𝘢𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘴'𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘢 𝘵𝘰𝘪𝘭𝘦 𝘢𝘤𝘤𝘶𝘦𝘪𝘭𝘭𝘢𝘯𝘵𝘦. ♪ ~

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Marvel Saga n°5

Une fois n'est pas coutume, la revue Marvel Saga propose, dans ce numéro, des épisodes distincts les uns des autres et non une maxi-série complète ou bien une saga sur un personnage clé de l'univers Marvel. Ce mois-là, l'accent est mis sur les "What If ?", ces épisodes uchroniques par rapport aux canons des comics Marvel et scénarisés à partir d'un événement majeur ayant une issue différente.



Ainsi, cinq séries sont ici retravaillées pour explorer sporadiquement une nouvelle issue : House of M, Fantastic Four, Spider-Man, Secret Wars et Captain America. Si on peut juger un "What If ?" sur l'originalité et l'importance du changement provoqué, alors seule le deuxième récit pêche un petit peu (Et si les nouveaux fantastiques étaient restés ensemble ?) par la faiblesse des conséquences engendrées, à l'inverse des autres intrigues super-héroïques. Les quatre autres récits valent leur pesant d'action et d'uchronie et répondent à des questions aussi fondamentales que "Et si la sorcière rouge avait dit "plus de pouvoirs" ?", que "Et si Mary-Jane était morte à la place de tante May ?", ou "Et si Fatalis avait gardé le pouvoir du Beyonder ?", voire "Et si Iron Man était mort à l'issue de la guerre civile ?".



Revue instructive donc, qui a la qualité de pouvoir se lire sans avoir les numéros précédents et suivants, et qui possède un intérêt en soi, ce qui est déjà beaucoup par rapport à d'autres revues du même type.
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Spider-Man : Les origines

Un petit livre sur le héros Marvel Spider-Man que mon enfant adore. Il est très agréable à lire et à feuilleter. De nombreuses illustrations. Un texte d'un format et d'une police de caractère idéale pour un début de lecture seul.

Une histoire qu'il peut lire et relire et bien qu'il connaisse déjà l'histoire, il ne s'en lasse pas.

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Spidey, n°91

« Spidey n°91 » s’inscrit incontestablement dans un fort courant de modernité.

Facteur-X fonctionne très bien avec une histoire dense, prenante, des super criminels charismatiques et crédibles et un style graphique des plus convaincants.

L’Escadron suprême est également la bonne surprise de ce numéro et malgré une surenchère de personnages, fait souffler un bienfaisant vent de nouveauté sur Spidey.

Seule Puissance 4, sans nul doute le pire comics de l’histoire de Marvel vient plomber l’ensemble avec ses aventures de super-mômes affrontant des rebuts d’ennemis dans des scénarios à dormir debout.

Dommage car sans cela, ce « Spidey n°91 » serait d’excellente facture !
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Je suis le Docteur Strange

J'ai découvert le personnage de Dr Strange de l'univers Marvel grâce au film sorti en 2016. L'univers du personnage m'a de suite plu et j'ai eu envie d'en découvrir plus sur ses origines et ses ennemis. Avec cette anthologie, j'ai pu découvrir pas mal de choses sur Dr Strange !



On découvre les ennemis de Dr Strange au fil des pages et celui que j'ai le plus apprécié c'est Dracula, quand j'ai découvert le titre, j'ai rigolé. J'ai jamais lu de comics Marvel dont ils ont intégrés les vampires dans l'histoire mais en tout cas, j'ai trouvé l'épisode sympathique.



Dr Strange n'est pas un personnage qui a été apprécié par les lecteurs, les scénaristes ont essayé de le lancer plusieurs fois. Je pense que la sortie du film lui a redonné un peu d'importance.

En tout cas, je suis contente car le film est une bonne adaptation du comics dont ils se sont inspirés.



Les anthologies Panini sont de très beaux ouvrages. Je suis Doctor Strange n'est pas ma première anthologie et les avoir toutes dans ma bibliothèque embellie celle-ci.



Je tiens à remercier Babelio et les éditions Panini pour cette découverte !
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Encyclopédie Marvel

c`est très étudient pour apprend sur Marvel
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Marvel heroes 14 (fear itself)

Mon premier "Marvel Heroes". J'aime beaucoup le principe, les histoires et bien sur les dessins.



Un plaisir de retrouver les héros de son enfance.
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Maken-ki tome 1

Dans un monde où chacun dispose d'une capacité physique spéciale, un jeune ados,Takeru Ohyama, victime d'un traumatisme dans sa plus tendre enfance, ne peut en faire l'usage.

De ce même traumatisme en résulte une incapacité profonde à affronter une fille en combat, difficile alors d'évoluer dans un système scolaire où les combats sont la clefs.





Heureusement pour lui son amie d'enfance, Amaya, Haruko, sera là pour l'accompagner.



Ce magma laisse entendre dès le premier volume que de lourds secret sont à découvrir pour comprendre toute la valeur de notre héros.

Bien entendu destiné à un public de jeunes adolescent en plein puberté, l'auteur ne lésine pas sur les scènes de bikini.



Sympathique mais qui pourtant ne m'a pas donné envie de suivre l'adaptation animé réalisée en 2011

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Deadpool Team-up, Tome 2 :

Depuis que la sortie du film Deadpool est annoncée, ce personnage m'intrigue particulièrement et je me suis promise de le lire en comics avant de voir l'adaptation cinématographique. Je le découvre donc pour la première fois avec Team-up, tome 2 : Amis pour la vie et j'en sors enchantée et accro !



Deadpool est un héros complétement dément. Sa répartie est extra, ses actions défient toute logique, il est provoquant et dingue. On l'adore ! Et puis, comment ne pas s'attacher à lui quand il "kiffe" de se faire tabasser par le célèbre Thor et qu'il lui demande ensuite un autographe ou encore quand il fait tout pour sauver la vache de l'enfer. De plus, l'humour est omniprésent, les nombreuses références culturelles (Indiana Jones, Peter Pan, Doctor Who, Die Hard...) et la présence des cases jaunes et blanches, qui pourraient être interprétées comme des discussions avec lui-même (vive la schizophrénie) ou avec des tierces personnes (scénaristes ?), ajoutent beaucoup d'humour au personnage. Enfin, le fait qu'il puisse briser le quatrième mur, ce qu'il fait allègrement dans l'épisode de La vache, est une vraie démonstration des pouvoirs illimités de ce héros pas comme les autres.



Ces six épisodes ont été réalisés par différentes équipes artistiques. On note le changement de trait dans le dessin, toutefois l'ensemble reste de qualité et assez homogène. Notre héros va faire équipe avec différents acolytes et affronter des criminels, plus ou moins connus et charismatiques, mais qui, assurément, valent le détour ou du moins servent de faire-valoir à Deadpool.



En conclusion, si ce personnage vous intéresse, lancez-vous, vous ne le regretterez pas et en redemanderez !
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Avengers, Tome 2 : Zone Rouge

Le mont Rushmore a été attaqué. Un nuage rouge dévaste la foule de touristes pris par surprise qui subit cet acte terroriste. L'Amérique vient d'être frappée en son sein et les Avengers sont chargés de découvrir l'origine de cette attaque chimique. Sur le front, Captain America et son équipe rentrent dans la zone rouge alors qu'à l'arrière, Iron Man et Black Panther tentent de coopèrer pour trouver un remède à cette peste rouge.



Avengers : zone rouge de Geoff Johns et Olivier Coipel (entre autres) est un run qui mêle intrigue politique et menace terroriste. Derrière cet écho aux attentats du 11 septembre, le scénario cache une critique légère du pouvoir établi tout en donnant la part belle à des justiciers indépendants de tout contrôle. D'une certaine façon, les avengers deviennent les gardes fous de dérives potentielles du pouvoir. Si Ivan Reis n'a pas encore la prestance de ses travaux actuels, Olivier Coipel se montre déjà à l'aise avec les codes du comics américain.La spontanéité de son dessin donne toute sa puissance à une intrigue oppressante et passionnante



Chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/avenger..
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