Quoique cette lettre [du cardinal de Bouillon au Roi] contienne autant de sottises, d'impudence et de folie que de mots, on ne peut s'empêcher d'en faire quelque analyse. Premièrement, il faut avoir bonne haleine et bonne mémoire pour aller jusqu'au bout de la première phrase, et travailler pour démêler les continuels entrelacements de ses parenthèses, et de son sens si suspendu. Dans cette phrase, autant de faux et de vent que d'insolence.