Vanyda

J’ai lu cette série il y a quelques années, quand elle était encore publiée en noir et blanc sous les titres suivants : Celle que … Je ne suis pas, Celle que… Je voudrais être et Celle que je suis. Aujourd’hui la série est ré-éditée en couleurs sous le titre "Valentine", ce que je trouve bien dommage, puisque pour moi le titre "Celle que…" mettait bien en évidence cette phase de l’adolescence où l’on apprend à se connaître soit-même et a s’accepter.



"Celle que" retrace l’adolescence de Valentine, une jeune fille comme les autres, qui se cherche. Valentine n’est pas la plus jolie de ses amies, pas la plus drôle, ni la plus intelligente et elle cherche sa place. Ici pas d’événement extraordinaire, le quotidien de Valentine est tout à fait classique, elle ne doit faire face à aucun traumatisme particulier, seulement réussir à traverser cette période pas simple du mieux qu’elle peut. La nonchalance et les errements de cette période sont ici croqués avec beaucoup de réalisme, et un graphisme très doux. J’ai vraiment aimé le réalisme de la série qui ne montre pas les adolescents comme des monstres capricieux et égocentriques, comme ça peut être le cas dans certains ouvrages pour cet âge.



Chaque tome correspond à une année de la vie de Valentine, et c’est un plaisir que de la voir évoluer, elle, ses amies, leurs relations. Chaque année apporte son lot de nouveautés et d’apprentissages à la jeune fille. Je dois l’avouer je me serais bien laissée tenter par un quatrième tome, même si le troisième clôture bien le cycle. En Valentine, beaucoup d’adolescentes se retrouveront et c’est pour cela que je le conseille si souvent. Il me semble que c’est aussi une bonne lecture pour les parents qui auraient un peu oublié les errements de l’adolescence.
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J'aime bien ces BD où il est question d'immeuble, d'étages, de gens, de vies qui se croisent, qui s'interpellent, ces tranches de vie de tous les jours qui ressemblent un peu à la notre, nos histoires, nos rencontres, nos arrêts devant l'ascenseur que l'on attend et où, bien souvent; nous parlons de la pluie et du beau temps.

Ici, trois étages, un couple de jeunes, un couple de plus âgés avec un gros chien et une maman seule avec un garçon, enceinte.

A force de se croiser ils vont pénétrer dans les intimités des uns et des autres, échanger, s'inquiéter de leurs santés, du bébé à naître, le transport à la maternité, etc.

Ce n'est pas désagréable, bien au contraire : lecture plaisante. Jolis dessins de Vanyda, ligne claire, noir et blanc. Quelques pages sans dialogue que l'on suit bien, les dessins étant suffisamment expressifs.

Seul problème pour moi, comme j'ai lu l'intégrale de plus de 500 pages en une seule fois, c'était plus que roboratif, difficile à digérer, mais bon j'y suis arrivé et c'est de ma faute et non celle de l'album!
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Je suis un peu déçue par ce troisième tome, où trop d'histoires se suivent: difficile de s'adapter à chaque fois à un nouveau récit, de nouvelles rencontres. Heureusement, il y a en filigrane celle de Tristan qui suit une thérapie par le dessin, et se rétablit petit-à-petit.

J'ai moins aimé ces petites histoires, parfois un peu conventionnelles; En revanche, j'adore toujours autant le syle de Vanyda, les couleurs, les attitudes, la précision des traits. Si les personnages étaient moins parfaits - ils sont tous beaux - ce serait encore mieux.

A 28 ans, Coralie vient d’arriver à un moment charnière de sa vie. Tout juste séparée de Régis, elle doit réapprendre à vivre seule dans son nouvel appart, se trouver des activités, faire des rencontres si elle veut chasser la déprime et ne pas végéter dans cette espèce de morosité ambiante. C’est l’occasion pour cette jeune franco laotienne, pêchue et pleine de vie, de reprendre sa vie en main et d'approfondir enfin certaines questions existentielles quant à ses origines métissées. Par le biais de la capoeira et de ses rencontres amicales ou amoureuses avec Axel, Kamel, Béranger et Thibaut, la jeune femme va peu à peu redécouvrir ce qui est essentiel pour elle et renouer avec son histoire…



C’est avec plaisir que j’ai retrouvé le dessin en noir et blanc de Vanyda. J’apprécie les rondeurs délicates et enrobantes de son style, dont on sent les influences franco-belges et japonaises, ainsi que son côté “girly”. Avec la sensibilité et la justesse que je lui avais déjà trouvé dans “L’immeuble d’en face”, Vanyda nous offre cette fois un joli roman graphique aux allures intimistes qui aborde de multiples thèmes, notamment ceux des racines et de la quête de soi.



Que l’on soit métisse, étranger ou non, l’histoire est ancrée dans un quotidien auquel on peut facilement se rattacher et s’identifier, ce qui rend la lecture fluide et particulièrement réussie. Les personnages sont attachants, réalistes et bien incarnés et l’on se prend tout naturellement d’intérêt pour leurs questionnements, qu’ils soient terre à terre (est-ce que je vais y arriver?) ou plus spirituels (que se passe-t-il après la mort? est-on l’héritage de nos ancêtres?). Entre la France, l’Algérie et le Laos, cette bande dessinée est une invitation au voyage, à l’introspection et à l’ouverture vers l’autre.

Troisième et dernier tome. A moins que... Parce que la fin laisse présager que cela continue, comme la vie, quoi !



On en apprend un peu plus sur chaque personnage qui parfois se croisent et échangent. Un dessin noir et blanc épuré qui peut faire penser façon manga.

J enchaîne ce tome 2 à la suite du premier, pressée de retrouver ces voisins attachants. Dommage que les discussions de la voisine du troisième avec ses amies soient un peu brouillon.

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Le collège, les copines, les garçons,…

Il n'y a pas vraiment de gros rebondissements, mais on est immergé dans la routine des journées au collège qui se ressemblent toutes, mais où de petits riens changent tout, comme la première bise du garçon qui vous plaît.

Même si Vanyda retranscrit très fidèlement le quotidien de cette collégienne et de ses amies, j'avoue que je n’ai pas complètement adhéré à l’histoire : je suis sans doute plus dans le public ciblé. La bande de copines m'a semblé souvent un peu agaçante à cumuler les "bêtises" (sécher un cours, fumer, boire, se moquer parfois méchamment des moins populaires...).

Par contre, j’ai beaucoup aimé les dessins qui sont dans l’esprit manga, en noir et blanc, épurés.

Ce récit est un petit bonbons au citron. Il est très doux et plein de couleurs. Il retrace la vie de Valentine collégienne qui nous raconte sa vie. On est emporter par ce récit plein d'amour, de joie, de rires...

I LIKE !

Assez sceptique à la vue des couvertures plutôt enfantines, j’ai finalement dévoré cette jolie série. Attendez-vous à une plongée dans le quotidien d’une adolescente, entre premiers émois, doutes existentielles et expériences inédites. La simplicité et le naturel des personnages permet une identification immédiate. Le récit, frais et léger confère également une bonne dose de nostalgie (et un peu de mélancolie) !



Le graphisme, plutôt réaliste et largement inspiré de l’univers du manga offre une lecture fluide et agréable. Un soin tout particulier est apporté à l’architecture urbaine et à la ville de Lille, où se déroule le récit.



Lu via la plateforme Izneo, je reste néanmoins frustrée que le dernier tome ne soit pas disponible, il faudra attendre la réouverture de ma médiathèque !

Pour ce tome 2, Vanyda conserve la même recette : des petites histoires d'amour concernant différents personnages. Certains que l'on a déjà croisé dans le tome 1 et quelques nouvelles têtes.

Cest très fleur bleue, très léger même s'il y a une légère tentative d'aborder des sujets plus profond comme l'acceptation de soi, le deuil ou le désir de maternité.

J'aime beaucoup l'utilisation des couleurs. Une monochromie en aquarelle bien utilisée eg vraiment jolie au regard.

Un tome 3 nous est promis.

Coralie décide de se ressaisir et cela passe en partie par le sport, en l’occurrence, la Capoeira. Elle se fait de nouvelles relations et explore d'autres facettes de sa personnalité et de ses origines. Au fil des rencontres, elle s'enrichit, découvre d'autres cultures et renoue avec la sienne.



Les dessins sont agréables, de style contemporain assez simples, en nuances de noir/gris/blanc. J'ai trouvé que la première moitié de l'histoire un peu légère et sans grand intérêt. Les vignettes se suivent et se ressemblent, la narration est lente et s'arrête sur des détails qui ne nous font pas vraiment avancer. En revanche, l'histoire reprend du sens à mi-parcours, autour des questions sur les origines, les doutes, les traditions et les métissages. Les notions de racisme (ordinaire ou pas...) sont abordées de façon originale grâce au point de vue métissé. Paradoxalement, la fin est très rapide, au point de manquer un peu de réalisme...

Ce troisième et dernier tome m'a beaucoup plu, c'est même mon préféré de la série.

A la rentrée en première, Valentine et ses amis sont répartis dans des classes différentes et elle se retrouve à nouveau seule. Mais cette fois, elle semble moins perdue que dans le précédent tome. Au fil du temps, la personnalité de la jeune fille s'affirme tandis qu'elle prend conscience de la nécessité d'avoir ses propres opinions, et elle réunit autour d'elle un groupe d'amis soudés. Elle trouve aussi un petit-ami qui lui fait bientôt oublier le garçon qui l'obnubilait depuis le collège.

A travers ses dessins en noir et blanc qui évoquent les manga, Vanyda décrit avec une grande justesse la vie au lycée, tout comme les premières expériences amoureuses, dépeintes avec beaucoup de tendresse mais aussi une bonne dose de prosaïsme : on n'est pas que romantique à 17 ans...

J'ai passé un très bon moment avec Celle que je suis... et c'est avec regret que je quitte Valentine, qui semble avoir enfin trouvé la place qu'elle se cherchait...

Je ne me souviens plus comment j'ai découvert les BD de Vanyda, mais depuis ce jour, j'ai hâte de découvrir ses œuvres.

Dans ce tome, nous retrouvons de courtes histoires d'amour, comme des anecdotes, des tranches de vie parsemées ici et là.

Dans ce tome, le monde artistique et littéraire est présent avec comme personnage une auteure et une dessinatrice.

Ce que j'aime c'est que chaque personnage a un physique différent, une personnalité différente.

Ces récits sont fidèles à la vie sentimentale.

J'apprécie également les retours en arrière et retrouver avec plaisir l'ambiance des années 90, par exemple.

Bref, j'apprécie toujours autant les illustrations toutes en douceur.

En attendant patiemment le tome 3 :) je pense relire le tome 1.

Dans ce deuxième opus, Vanyda nous revient avec quatorze nouvelles histoires entremêlées avec lesquelles je me suis délectée une fois de plus. Des tranches de vies pour nous conter l’amour sous toutes ses formes et les rencontres qui jonchent notre existence, les bouleversent parfois.



Des fragments de vies pour évoquer notamment des retrouvailles, des rencontres inattendues mais aussi l’amour à sens unique ou qui résonne comme une évidence. Ce sont également les jeux innocents de deux enfants dans un parc, les rencontres sur internet ou bien un premier baiser au goût de noisette et de framboise échangé sur un banc.



Vanyda récidive pour notre plus grand plaisir. Le procédé est similaire au précédent volume avec une couleur attribuée judicieusement à chaque personnage.



Quel bonheur de découvrir ces nouvelles trajectoires de vies qui sont toujours aussi savoureuses et de retrouver certains des protagonistes du premier album. L’auteure croque les sentiments amoureux avec tendresse et délicatesse. sans jamais tomber dans la mièvrerie. Un très beau roman graphique.
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Après avoir lu quelques pages de ce nouveau tome d'"un petit goût de noisette" je me suis rendue compte que certains intervenants étaient les même que dans le premier volume. J'ai donc relu ce premier tome avant de me glisser dans le second.

La recette est la même. Des intervenants qui se croisent, se désirent, s'interrogent et/ou s'aiment. C'est très plaisant, c'est moins léger qu'il n'y parait et c'est traité avec beaucoup de délicatesse.

Côté dessin, j'aime beaucoup. Vanyda affine sa mise en page et sa gestion de l'espace tout en exploitant avec brio, et par légères touches, les couleurs comme autant d'indices de trame narrative (ce qu'elle avait déjà fait dans le tome un : tel personnage est représenté pat telle couleur et si cette couleur apparait dans une histoire, c'est que cette histoire lui est liée.)

Une jolie lecture.

Le lycée, les copines, les garçons,… comme dans le premier tome, mais j'ai davantage apprécié ce deuxième tome car j'ai eu l'impression que l'héroïne évoluait davantage. En effet, à la rentrée au lycée, Valentine est séparée de ses amies, toutes dans des classes différentes. Se retrouvant seule, elle est obligée de se faire de nouveaux amis, puis de trouver l'équilibre entre les nouveaux et les anciens amis. Elle peine à trouver sa place, et du côté des amours, c'est encore plus compliqué, entre les garçons à qui elle plaît, ceux qui lui plaisent à elle et celui qui fait vraiment battre son cœur mais qui ne la voit pas.

Les dessins, toujours dans l'esprit manga, reflètent bien l'atmosphère de l'histoire et les humeurs de l'héroïne, entre légèreté et mélancolie. Comme dans le premier tome, Vanyda raconte avec beaucoup de justesse le quotidien au lycée et les états d'âme d'une adolescente.

J'ai beaucoup aimé voir la jeune fille évoluer pour se rapprocher d'amis plus intéressants. J'ai hâte de lire le dernier tome...

Il n'y a pas vraiment de personnage principal dans ce roman graphique qui raconte l'histoire d'un immeuble et de ses habitants : un jeune couple, un vieux couple sans enfants et une mère célibataire.



Comme souvent chez Vanyda, tout est plus suggéré qu'expliqué. Les gens évoluent devant nos yeux et se construisent avec leurs silences.



J'ai apprécié les liens qui se tissent progressivement entre ces hommes et femmes. Chacun est intéressant avec ses failles. Ils semblent tous se demander s'ils ont ou non réussi leur vie... et nous avec. Intéressant

Caroline a 28 ans, elle sort d'une relation amoureuse et a bien du mal à s'en remettre. Et puis quelque part au fond d'elle une petite voix lui dit qu'elle n'est pas prêtre, qu'elle a un travail à faire, sur elle même, sur ses origines. Issue d'un métissage entre la France et le Laos, elle a envie de savoir d'où elle vient avant de savoir où elle va.



Nous retrouvons ici ce qui fait la marque de fabrique de Vanyda. Outre les dessins noirs et blanc d'un style simple et japonisant. Nous revoici devant une jolie bluette pleine de bons sentiments où de jeunes gens auxquels on peut facilement s'identifier dans leurs problèmes du quotidien, recherchent l'amour. Et le plus souvent la trouve. Un monde un peu bisounours où tout fini pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Comme ça mes propos font un peu cyniques mais pas du tout. Ca fait du bien aussi les bluettes!! même si trop de chamallow ça fait grossir.

Bon là, en plus, nous avons le droit à des réflexions sur le racisme, l'acceptation des différences et des cultures, la recherche de soi et des origines. Curieusement si ça pourrait donner un peu de profondeur à la BD, ce n'est pas ce qui m'a le plus plut. Pour même vous avouer j'ai trouvé certains passages même un peu... chiants... Mais ne le répétez pas hein, après on pourrait croire que je préfère les passages cuculs!! ^^ Plus sérieusement je pense juste que je me sentais peut être pas assez concerné par cette quête d'identité de notre jeune héroïne. Et que donc ça plaira surement à d'autres, peut être à ceux qui ce sont déjà posé ce genre de questions existentielles. D’où je viens? la culture de mes parents fait-elle de moi quelqu'un d'autre?

Je ne connaissais pas Vanyda avant de découvrir cette BD dont j'avais lu de nombreuses critiques positives. Le titre avait aussi attiré mon attention pour le choix de cette lecture.



Hélas, j'ai été déçue par ce livre. J'ai d'abord eu du mal à définir ce qui ne m'avait pas plu car mes impressions ont d'abord été confuses et c'était difficile de savoir ce qui ne m'avait pas plu dans cet album.

En réfléchissant, j'ai trouvé cette BD difficile à suivre entre autres car il y a beaucoup (trop) de personnages à mon goût.

Elle m'a paru aussi décousue, on se perd dans l'histoire avec ces petits scénarios mélangés, les dialogues m'ont semblé assez creux et n'ayant rien de particulièrement remarquable, de même que l'histoire en elle-même qui ne m'a pas paru spécialement surprise ou interpelée. D'ailleurs, s'il fallait en faire un résumé comme je fais toujours quand je rédige une critique, j'aurais du mal ici.

J'ai l'impression d'être passée à coté de cet album, de n'avoir pas saisi l'intention particulière de l'auteur.



Je n'ai donc pas spécialement envie de lire le 2ème tome qui porte pourtant un titre poétique par crainte de passer aussi à côté.

Quand j’ai vu cette BD à la bibliothèque, j’ai saisi l’occasion de découvrir l’univers de Vanyda et j’ai apprécié cette tranche de vie d’une année dans la vie de Coralie, qui vient de se séparer de son compagnon et doit réapprendre à vivre seule, ce qui n’est pas facile et plutôt déprimant au début. Heureusement, grâce à son frérot facétieux, elle va s’inscrire à un cours de capoeira (sport de lutte brésilien qui se joue sur fond musical), elle va aussi suivre une formation dans le cadre de son travail, toutes occasions qui lui font rencontrer de nouvelles personnes, et particulièrement trois hommes avec qui elle va nouer des relations d’amitié, d’amour, et je ne vous dirai pas jusqu’où tout cela va la mener. L’amitié avec Kamel, Kabyle d’origine, met aussi l’accent sur les racines laotiennes de Coralie.



J’ai trouvé ce roman graphique léger et profond à la fois, fin dans son approche d’une jeune femme qui reconstruit sa vie, redéfinit ses valeurs en se nourrissant d’expériences et de rencontres diverses. C’est une histoire moderne, intime, sans tabous (mais pas exhibitionniste) sur le rapport aux hommes, sur les choix à poser, sur l’identité et les origines, sur l’ouverture au autres.



Dans les scènes d’intérieur, le dessin des visages, il y a un peu du manga chez Vanyda. J’ai bien aimé les scènes de nuit, les ambiances tantôt oniriques, tantôt orageuses qui reflètent l’évolution intime du personnage de Coralie. (Et cet album est en noir et blanc, j’ai donc trouvé ces atmosphères particulièrement réussies.)



Une découverte sympathique !
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