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3.9/5 (sur 31 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Champagne Ardennes , 1983
Biographie :

Auteure de romance sentimentale, A.J.Kauffman vit dans une petite campagne dans laquelle elle gère sa propre société.

"The Hope of Love" (avril 2014) est son premier roman et "Jamais sans vous" (septembre 2014) le second.

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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
À cet instant, une seule chose peut me calmer : compter.
Je me laisse glisser le long du mur, ramène mes genoux entre mes bras et commence ma litanie.
Un, deux, trois…
Souffle Axel.
Quatre, cinq, six…
Respire.
Sept, huit, neuf…
Ça va aller, calme-toi, me dis-je mentalement, avant de sombrer.
Quand je reprends conscience, je sens une présence à mes côtés, je n’ose pas relever la tête de peur que ce soit lui, qu’il soit non loin de moi. Une main solide et forte se pose sur mes épaules, et par réflexe, mon corps se raidit.
C’est lui, je le sais, cela ne fait aucun doute.
Je pensais être sorti de cet enfer depuis bien longtemps, mais apparemment, je me suis trompé. Oh mon Dieu ! Je ne veux pas relever la tête. Je ne veux pas le voir. Je ne veux pas lire sur son visage toute la haine qu’il ressent envers moi, la subir me suffit amplement...
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Nom de Dieu, mais qu’est-ce qu’il m’a pris !
Pour la première fois de ma vie, j’ai frappé quelqu’un, chose que je m’étais juré de ne jamais faire.
JAMAIS
Je ne me serais pas cru capable de faire comme lui. Même si au vu de ses propos ; il l’a mérité.
Est-ce que moi aussi je les avais mérités
Est-ce que moi aussi j’ai mérité de subir cela ?
Non, en aucun cas. D’une, parce que j’étais trop jeune et deux, parce que je lui adressais rarement la parole, juste pour le nécessaire. Boire, manger, faire mes besoins. Je n’irais pas dans les détails, mais je pense que les détenus dans les pires prisons sont mieux traités que je l’étais.
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« Fin d’après-midi, je sors d’une visite quand tout bascule. Au détour d’une rue, je me retrouve devant un restaurant nez à nez avec Josh…
… C’est un tel choc que je manque de tomber à terre et de ne pas me relever… Il s’est bien fichu de moi, et j’en ai la preuve devant les yeux. À quel jeu a-t-il voulu jouer ? Je ne sais pas, mais une chose est sûre : je viens d’être à nouveau trahie par une personne en qui j’avais confiance.
Malheureusement, Je n’ai pas d’autre choix que de continuer ma route, tout en les ignorant. À mon grand regret, ce n’est pas ce qui se passe.
- Tiens ! Lou, comme en se retrouve ! Dit fièrement Josh. »
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« Je suis devant la porte d’entrée, je sais qu’il n’est pas ici, sa voiture n’est pas là. Je n’ose pas entrer, je m’adosse à la porte et attends.
Un bruit me fait sursauter, Maxence est accroupi à côté de moi. Il a des cernes, il est fatigué, je tends la main et lui caresse la joue. Il ferme les yeux et soupire.
— Je suis désolée.
— Moi aussi.
On se lève, on se jette dans les bras l’un de l’autre. Maxence me soulève et ouvre la porte. On s’embrasse à perdre haleine. Il me plaque contre le mur de l’entrée. Je passe mes mains dans ses cheveux, puis caresse ses bras, son ventre. Il me pose à terre, juste le temps de nous déshabiller en vitesse, et nous reprenons notre position de départ. C’est rapide, intense, fusionnel. Nous mettons quelques minutes à reprendre notre respiration. Je repose mes jambes à terre et le regarde dans les yeux. »
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Elle venait toujours ici quand elle doutait ou quand elle n’avait pas le moral. Elle trouvait une sorte d’apaisement et de bien-être. Elle entourait souvent ses bras autour du tronc, pour sentir toute l’énergie qui s’échappait de cet être centenaire. Selon certaines croyances, le pommier aidait à acquérir l’immortalité, la fécondité, la beauté, améliorait les connaissances et procurait la sagesse. Selon la légende, le pommier est l’un des sept arbres sacrés du bosquet des druides. Qui aurait pu croire que plusieurs années auparavant, un lien imaginaire aurait pu être créé entre eux.
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 Parfois, j’aimerais tellement avoir la chance de la regarder, de discuter, de la serrer contre moi et lui dire combien je l’aime.  Juste une fois, une ultime fois, car on ne sait jamais à l’avance quand ce sera la dernière, seulement je ne peux pas, je ne peux plus.
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Il est treize heures, et me voilà seule. Seule comme tous les autres jours, sauf qu’aujourd’hui tout est différent. J’aimerais que Raf’ soit ici, à mes côtés, et non entre la vie et la mort.
Triste ironie.
J’ai passé tellement de temps à l’éloigner de moi, à le faire fuir, qu’à cet instant, je regrette chaque mot, chaque parole blessante que j’ai pu avoir à son encontre. Je me déteste encore plus face à mon comportement d’hier. Certes, il a des secrets envers moi, et comme me l’a si bien fait remarquer Vic’, c’est à moi et à moi seule de lui ouvrir la voie. Il doit pouvoir me raconter toute l’histoire sans que je n’en devienne hystérique.
Je dois évoluer, faire des efforts.
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— Alors, comment va mon très cher malade ?

Putain ! Encore ce toubib à la noix. Je garde mes paupières closes dans l’espoir qu’il vaque à ses autres occupations.

— Axel, Axel, Axel, que vais-je faire de toi ?

Toi ? Depuis quand il prend autant de liberté ? Je ne suis en aucun cas un de ses amis, juste son patient.

— Je savais qu’elle aurait dû agir autrement… C’est une une tête de mule… il soupire en lançant cette dernière phrase.

De qui parle-t-il ? De l’infirmière ? En quoi est-ce une tête de mule ? Je n’y comprenais déjà plus grand-chose, mais là, tout m’échappe.
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Rafael

— Nous y sommes ma chérie.
Je sais qu’elle déteste que je l’appelle ainsi, c’est bien pour cela que je n’ai aucune réponse. Je la regarde alors dans le rétroviseur de ma Peugeot 206. Ma fille dort profondément allongée comme elle le peut. Elen vient d’avoir seize ans, l’âge où comme tout parent, je devrais m’inquiéter de ses fréquentations, et même lui intimer un couvre-feu, mais pas avec elle non. Elle, elle est différente. Je le sais, elle le sait, tout le monde le sait, même si on aimerait tous pouvoir passer outre. J’espère que cette fois-ci avec ce nouveau départ, tout ira enfin pour le mieux.
Je détourne mon attention pour me focaliser sur notre nouveau « chez nous ». Cette maison de cent vingt mètres carrés se situe dans un cul-de-sac au bout d’une ruelle non goudronnée, et parsemée de trous en tous genres, plus miteuse que dans mes souvenirs. Nous voici arrivés en pleine campagne marnaise, au carrefour de trois grandes villes importantes. Ici, ne vivent guère plus de trois cents âmes, autant dire que nous sommes loin de tout, et que l’offre de services y est assez réduite.
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Offre-moi ton cœur que nous puissions construire une vie à deux
Une seule femme me comble, toi
Sois mon épouse, ma vie, mon tout
En nous, vibre l’amour, le vrai
Ma chérie, ne faisons plus qu’un pour toute la vie
Ouvrons nos bras à notre destin
Idyllique et merveilleuse soit mon existence à tes côtés
Je t’aime, je t’aime, tu me rends heureux chaque jour un peu plus.
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