Il y des lois et il y a des limites, et liberté n’est pas licence, mais s’il fallait donner crédit aux frayeurs de chacun, le monde ne serait peuplé que de barbus et de corbeaux. Nos amitiés ont survécu aux goûts particuliers mais cela ne fut possible que parce que nous avions vingt ans et que notre intolérance était toute molle. Encore quelques années et la rigidité des goûts aurait brisé notre amitié.