L'atmosphère saturée d'injures, d'invectives, de gémissements, se chargeait de débris sanguinolents et de poussières incandescentes. Gorgé de sueur, imprégné de l'odeur acidulée du fer, l'air exalait le goût aigrelet de l'urine et celui, âcre et fétide, des excréments car, parmi les troupes de Gereins, hommes et chevaux pissaient et déféquaient d'effroi.(284)