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4.04/5 (sur 37363 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Malo , le 22/07/1979
Biographie :

Agnès Martin-Lugand est une romancière française.

Après 6 ans d'exercice en qualité de psychologue clinicienne dans la protection de l'enfance, elle s'est tournée vers l'écriture. En devenant maman, le premier sujet de son roman lui vient tout de suite à l’esprit : et si elle perdait son mari et son enfant, que ferait-elle ? La question du deuil mûrit en elle. De là, elle créée le personnage de Diane dont le récit la propulsera au rang d’autrice à succès dès sa parution.

Elle a publié un premier roman, "Les gens heureux lisent et boivent du café", en auto-édition sur la plate-forme Kindle d'Amazon.com le 25 décembre 2012.

Elle a été abordée par Florian Lafani, responsable du développement numérique des Éditions Michel Lafon, avec une proposition d'entrer dans l'édition traditionnelle. Le roman une fois entré au catalogue de Michel Lafon, l'éditeur a vendu les droits de traduction en plusieurs langues, notamment en allemand, coréen, espagnol, italien, néerlandais, polonais, russe et turc. En 2013, ce livre connaît un immense succès littéraire.

Un deuxième roman, "Entre mes mains le bonheur se faufile", a été publié en juin 2014, et un troisième, "La vie est facile, ne t'inquiète pas", le 23 avril 2015, toujours chez Michel Lafon.

Son quatrième roman, "Désolée, je suis attendue" (2016) est suivi de "J'ai toujours cette musique dans la tête", en 2017. En mars 2018, est sorti "À la lumière du petit matin", qui se classe quatrième dès sa première semaine dans le classement des ventes de livres de Livres Hebdo tous genres confondus.

Après dix romans et dix années de carrière, l'autrice renoue avec le sujet par lequel elle a commencé à écrire, celui de la mort. Pour elle, la sortie de son dixième ouvrage, " La Déraison" (2022), est l’occasion d’observer rétrospectivement son œuvre littéraire et de revenir à ce pourquoi elle écrit depuis le début

Avec plus de trois millions d'exemplaires vendus, Agnès Martin-Lugand a conquis le cœur des lecteurs en France comme à l'étranger.

Depuis 2017, Agnès Martin-Lugand participe aux recueils collectifs "Treize à table" chez Pocket, édités au profit des Restos du cœur.

son site : http://www.agnesmartinlugand.fr
page Facebook: https://www.facebook.com/agnes.martinlugand.auteur/

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A l'occasion de la parution en livre audio de 'Les gens heureux lisent et boivent du café' (Lizzie), l'autrice Agnès Martin-Lugand nous présente en quelques mots ce livre audio, à travers la critique d'une lectrice Babelio. Abonnez-vous à la chaîne Babelio : http://bit.ly/2S2aZcm Toutes les vidéos sur http://bit.ly/2CVP0zs Suivez-nous pour trouver les meilleurs livres à lire : Babelio, le site : https://www.babelio.com/ Babelio sur Twitter : https://twitter.com/babelio Babelio sur Facebook : https://www.facebook.com/babelio/ Babelio sur Instagram : https://www.instagram.com/babelio_/

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Citations et extraits (1210) Voir plus Ajouter une citation
Si je commence une histoire avec toi, je te reprocherai un jour ou l’autre de ne pas être lui… d’être toi. Je ne veux pas de ça… Tu n’es pas ma béquille, ni un médicament, tu mérites d’être aimé sans condition, pour toi seul et non pour tes vertus curatives. Et je sais que… je ne t’aime pas comme il faut. En tout cas, pas encore. Il faut d’abord que je me reconstruise, que je sois forte, que j’aille bien, que je n’aie plus besoin d’aide. Après ça, seulement, je pourrai encore aimer.
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L'aboutissement d'un deuil normal n'est en aucune façon l'oubli du disparu, mais l'aptitude à le situer à sa juste place dans une histoire achevée, l'aptitude à réinvestir pleinement les activités vivantes, les projets et les désirs qui donnent de la valeur à l'existence.
Monique Bydlowsky, Je rêve un enfant
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- Maman, s'il te plaît?
- Clara, j'ai dit non.
- Allez, Diane. Laisse-la venir avec moi.
- Colin, ne me prends pas pour une imbécile. Si Clara vient avec toi, vous allez traîner, et on partira en vacances avec trois jours de retard.
- Viens avec nous, tu nous surveilleras!
- Certainement pas. Tu as vu tout ce qu'il reste à faire?
- Raison de plus pour que Clara vienne avec moi, tu seras peinarde.
- Maman!
- Bon, très bien. Filez! Oust! Je ne veux plus vous voir.
Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier.
J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux.
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"J'ouvris les yeux et les vestiges de mon téléphone apparurent sous mon nez. [...] Je fixai les lambeaux d'électronique qui avait failli nous coûter la vie, surtout la sienne. Puisque finalement, la mienne se résumait à ça. cette chose. Le monde, les autres n'existaient plus, je n'avais plus aucune notion de ce qui était bon, mal juste ou injuste. Mon existence se résumait au prisme des informations délivrées par cette chose inanimée, sans émotions. J'étais une coquille vide de tout, sans considération pour mon entourage. Et j'avais failli tuer Marc pour sauver mon téléphone, cet iPhone6 avec lequel je dormais, qui finalement était mon bien le plus précieux, l'unique d'ailleurs."
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Il faut d'abord que je me reconstruise,que je sois forte, que j'aille bien, que je n'ai plus besoin d'aide. Après çà, seulement, je pourrai encore aimer
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Tout le monde éclata de rire, Marc balança son mégot à l’extérieur du bus, qui put enfin démarrer. Le trajet de Saint-Paul jusqu’à la place Léon-Blum dut être relativement pénible pour les autres usagers, vu le bruit que nous faisions. Ma vie était parfaite, merveilleuse, je ne souhaitais rien d’autre que de rester toujours auprès de ces cinq personnes que j’aimais, me promettant de ne jamais m’en éloigner, quoi qu’il se passe. Jeanne s’ébroua comme un chien devant la porte de l’immeuble avenue Ledru-Rollin, c’était sa technique pour dessaouler juste avant d’affronter la concierge. Nous traversâmes à pas de loup la cour intérieure pour l’attendre en rang d’oignons devant l’ascenseur, où elle nous rejoignit, Emma emmitouflée dans une couverture.
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"Un stage de chaleur humaine irlandaise devrait être obligatoire au programme scolaire."
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- Vous allez me regarder boire ?
- Je veux juste être payé.
- Ne nous inquiétez pas, je comptais vous régler en partant.
- Ici, on paye avant de boire. Service à l’anglaise.
- O.K., O.K.
Je lui tendis un billet, il me rendit la monnaie aimablement. Quitte à me brûler, j’avalai à toute vitesse mon café et partis. Quel pays étrange, où les gens étaient tous gentils et accueillants, exception faite de ce rustre d’Edward, mais où l’on vous forçait à payer direct vos consommations. À Paris, ce charmant barman se serait fait remettre en place sans comprendre comment. Sauf qu’en France, ce même barman n’aurait pas été aimable, il n’aurait pas dégoisé un mot, quant à se fendre d’un sourire, même pas en rêve.
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Je n'en peux plus que tout le monde s'inquiète pour moi, toi, Olivier. Arrêtez de penser que je vais m'écrouler à la première épreuve. Je ne suis plus la même, j'ai pris ma vie en main, je vais bien, je sais ce que je veux. Et ce que je veux, ce que mon cœur me dicte, c'est d'aller dire au revoir à Abby, et d'être aux côtés de ces gens que j'aime.
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Je resterais coupée en deux à vie L’Iris de Pierre. L’Iris de Gabriel. Deux hommes, deux amours. Je rirais au nez de quiconque me dirait que l’on ne peut aimer deux personnes à la fois. Si, c’était tout à fait possible. Sauf qu’on n’aimait pas de la même façon. Avec Pierre, c’était un amour routinier, rassurant. Avec Gabriel, un amour explosif, sur le fil, un amour en terre inconnue.
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