Ils disaient que même si l’atelier n’existait plus, ils continueraient les activités d’Akindo. Mais ils n’ont jamais fixé de nouvelle date pour se rendre au flea market. Je crois que tout naturellement, chacun se dirigeait lentement vers son rêve. Il était alors bien normal qu’on ne puisse rester ainsi éternellement. Quant à moi, je sentais que l’introduction à notre vie d’adulte venait de s’achever. Le vrai combat allait maintenant pouvoir commencer.