AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Alberto Varanda (96)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Petit Pierrot, tome 1 : Décrocher la Lune

Petit Pierrot a bien des tourments. Quand il n’est pas sur la lune, il a la tête dans les étoiles. Heureusement que Monsieur l’Escargot, la voix de la sagesse et de la raison, est là pour l’aider à garder les pieds sur terre. Du soir au matin il rêvasse, philosophe, pense, raisonne et se pose des tas de questions sur la vie et la théorie de Newton : Pourquoi l’école ? « Un professeur de mathématiques c’est tellement terrifiant » ! Pourquoi grandir, apprendre et croire tout ce qu’on nous dit ? Pourquoi Madame la Lune est une menteuse ? Pourquoi garder les pieds sur terre ? Pourquoi ci, pourquoi ça ? La vie est bien compliquée alors qu’elle pourrait être si légère. Mais Monsieur l’Escargot, son ami bienveillant, a réponse à tout. Vous prenez un petit garçon à mille lieux de la terre, un escargot rusé et malicieux, vous rajoutez la poésie et le coup de crayon d’Alberto Varanda et vous obtenez deux magnifiques albums débordants d’humour, d’amour et de tendresse.



Poésie et douceur sont au rendez vous dans ces deux tomes. Pierrot accompagné de Monsieur l’Escargot nous décroche la lune et nous font toucher les étoiles. Les questions pertinentes du petit Pierrot et les réponses espiègles du limaçon sont étincelantes de beauté. Nous sommes surpris par les réflexions philosophiques du petit garçon et le super gastéropode a parfois bien du mal à canaliser l’imagination débordante de ce rêveur et un tantinet lunatique.



Les couleurs sépia nous offrent une douceur qui émerveille. Ce voyage parmi les astres nous transporte dans d’intenses moments de gravité sortant tout droit de l’imagination de Pierrot. L’effet apesanteur est instantané : C’est léger et féérique. Le trait et le texte de l’auteur sont précieux. Les expressions de Pierrot et de l’escargot sont craquantes. Les paysages lunaires enchantent et les répliques les unes après les autres sont judicieuses et nous laissent pensifs et rêveurs…



-Dis-moi l’escargot tu crois que je pourrais voler en remuant très fort mes bras ?

-Non !

-Et … en fermant très très fort mes yeux et en me concentrant ?

-Non plus ! question de physique !

-Et pourquoi est-ce que c’est à toi que je demande ça ?



Quand Petit Pierrot décroche la lune et touche les étoiles Cristina est sur un petit nuage…



« Visez toujours la lune. Même si vous la manquez, vous atterrirez parmi les étoiles. »


Lien : http://marque-pages-buvard-p..
Commenter  J’apprécie          344
Elixirs, tome 1 : Le sortilège de Loxullio

Le titre de cette série ne m'était pas inconnu ni même les graphismes liés aux personnages principaux. Ce n'est seulement qu'à la fin de ce tome que j'ai compris pourquoi. J'avais du la découvrir lors de sa parution dans le Lanfeust Mag et ne pas l'oublier car l'histoire m'avait intriguée, surtout la fin où un dieu sombre prévoit la fin d'un monde et parle à un curieux animal qui semble plus intelligent que ne laisse supposer son apparence physique de boule de poils...



Univers non issu de Troy mais où il est toujours question de magie et de dieux. Par contre, les femmes sont toujours aussi sommairement vêtues et pour le coup, plutôt potelées. Leur physionomie est singulière, très grosses cuisses sur de fins mollets... Peut-être que c'était voulu dans le scénario mais ça fait un rendu très bizarre. La fin est en tout cas suffisamment intrigante pour que j'en continue de suite la lecture.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          300
La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

Parfois des dragons apparaissent et leurs présences déforment la réalité, cela s'appelle : le veill. Les seules qui puissent s'en approcher ce sont les vierges. Dara a été dépêchée par l'ordre, mais sans nouvelles depuis des lunes, Jaïna et son écuyère Ellys, partent à sa recherche. Avant de pouvoir combattre le dragon, beaucoup vont se mettre en travers de leur chemin. A commencer par les vicieux de tout bord que fera bien sauter les belles sur leurs genoux, faut dire qu'elles ont pas mal d'arguments à faire valoir. Il y a aussi quelques bêtes maléfiques dans de sombres forêts qui les dévoreraient bien tout cru.

Mais ce ne sont pas les seuls dangers, bien d'autres les guettent …

C'est une histoire toute simple pour aborder ce tome numéro un avec deux magnifiques double-pages. L'une représente une magnifique cité, l'autre le gigantesque dragon, nos deux héroïnes paraissant minuscules aux premiers plans.

Malgré un scénario peu épais, les auteurs m'ont très vite embarqué dans cette quête. Pourtant les dessins même s'ils sont sympas ne sont pas au top, heureusement la mise en page donne de la vigueur et du rythme à l'ensemble. Alors est-ce dû à la tenue minimaliste dont sont vêtues nos deux guerrières ? Pas que. Il y a un je-ne-sais quoi qui m'attire à retourner chercher le deux.

Commenter  J’apprécie          260
La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

La geste des chevaliers dragons est un bel album d'heroïc fantasy!

Attirée par de belles planches aux dessins bien lėchés et aux couleurs rutilantes, je referme l'album avec un avis mi-figue mi-raisin.

Le scénario de facture classique met en scène deux donzelles bien pourvues sous tous rapports, style Barbarella des temps moyenâgeux, vierges pulpeuses chargées de débarrasser le monde de l'affreux dragon tapis dans les entrailles de la terre.

Où nous attendons la toute fin de l'album pour qu'enfin l'affrontement contre l'affreuse bêbête ait lieu! Cette Geste n'est pas désagréable mais manque de piment, la platitude du scénario n'est pas à la hauteur de la beauté bluffante des décors. Quant au côté appétissant des héroïnes je ne me prononcerai pas, après tout c'est de bonne guerre pour attirer le chaland. N'oublions pas que les lecteurs de Bd sont pour la grande majorité des Messieurs! Et puis avouons qu'il n'est pas déplaisant de voir des filles qui en ont dans le buffet au diable les varices et le sexisme rétrograde!

Pour conclure, un album un peu inégal comme une belle pomme juteuse qui manquerait de saveur! Je vais de ce pas voir de quoi il retourne dans le deuxième opus avant de jeter la bd avec l'eau du bain!
Commenter  J’apprécie          252
Elixirs, tome 3 : Le Souffle du néant

Je pensais que cette série se finissait avec ce tome mais en fait, non. J'espère en tout cas que la suite paraîtra bientôt, ce tome a déjà 3 ans.



L'histoire est toujours aussi intrigante où un groupe hétéroclite doit aider une déesse à sauver le monde de la méchanceté de son frère. Le groupe est composé d'un jeune étudiant frivole, d'un cuisinier et son gulpion, une princesse capricieuse et son garde du corps. Un groupe assez mal assorti qui n'est pas sorti d'affaire entre les bêtises de la princesse et les méfaits du frère maléfique, plus les différentes bestioles rencontrées en chemin. Une histoire intéressante dont il me tarde de connaître la fin.



Les graphismes sont superbes et Arleston a créé un nouveau monde original qu'il prend plaisir à nous faire découvrir au fur et à mesure des aventures de nos héros. Un univers différent de Troy à découvrir donc pour tous ceux qui apprécient les histoires inventées par Arleston. Pour ma part, j'en pisterais la suite !



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          243
La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

La saga des vierges guerrières tueuses de dragons commence avec ce tome 1 intitulé "Jaïna".





Le scénariste bicéphale ANGE passe toute la mythologie du dragon à la moulinette :

- avec une inversion des situations, la vierge sacrificielle victime des dragons devenant une vierge guerrière pourfendeuse de dragon

- avec la constitution d’un ordre militaire consacré à la disparition des dragons, que nous découvrirons au fil des épisodes, et qui va se révéler au centre de toutes les tractations politiques mais aussi dépositaire de nombreux secrets (les amateurs de manga feront la comparaison avec le "Claymore" de Norihiro Yagi)

- avec l’introduction d’éléments résolument horrifiques, puisque l’aura draconique déforme la réalité (le Veill, auquel seules les guerrières vierges sont immunisées), faisant muter minéraux, végétaux et animaux, et transformant les êtres humains en monstres affublés de diverses tares physiques ou psychologiques…





ANGE et Varanda concoctent un récit simple mais efficace qui nous présente un univers dark fantasy de bon aloi.

La chevalière Jaïna et son écuyère Ellys sont engagés par les dirigeants d’une Cité-Etat qui veulent se débarrasser du dragon qui les menace, sauf que ces derniers ont un peu trop joué aux apprentis sorciers en tardant à se manifester (selon l’idée que plus longtemps le dragon sévit, plus de métaux et de minéraux rares il y aura à récolté après sa mort… Ah l’appât du gain est vraiment le père de tous les vices !). La résolue Jaïna cherche a savoir ce qui est advenue de sa sœur Dara précédemment envoyée occire le dragon, tandis que la jeune Ellys se demande si elle sera à la hauteur de la tâche…



Le récit est divisé en 3 parties :

- la traversée des campagnes largement plus infectée/infestées que prévu par diverses horreurs mutantes comprenant garous, stryges, vampires ainsi que quelques saloperies empruntant aux xénomorphes de HR Giger…

Mine de rien on est un peu beaucoup dans un bon vieux survival horror et c’est tant mieux !

- le « répit » du fort du prince Jahn d’Epsard, assiégé chaque nuit par les créatures corrompues du Veill, où les auteurs installent une ambiance délétère voire étouffante, où tout le monde semble au bord de la crise de nerf…

- la confrontation finale avec l’infâme dragon et l’horrible révélation qui la précède







J’ai beaucoup apprécié la synergie entre les dessins de Varanda et les couleurs de Delphine Rieu (je n’ai pas eu l’occasion de voir la prime édition colorisée par Jung). Outre cette splendide double page initiale, dans la plus grande tradition de l’heroic fantasy, on arrive bien à rendre palpable l’immatérielle aura de corruption du Veill avec une ambiance lourde et pesante malgré des planches lumineuses et colorées.

Mais j’avoue que cette deuxième lecture a été moins ravissante que la première, car j’ai découvert quelques facilités, limitations ou précipitations dans le scénario d’ANGE, et quelques maladresses dans les dessins de Varanda (comme sur le charadesigen d’Ellys qui évolue trop rapidement de la force à la fragilité, ou de manière plus générale, les personnages féminins qui se ressemblent un peu trop et subissent la malédiction boobesque qui les oblige à voyager et combattre assez largement dénudées… ^^)

Mais il faut replacer les choses dans leur contexte : cette saga démarre chez Vents d’Ouest en 1998 et on est au tout début du revival fantasy en France, les éditions Soleil venant de tourner une page du genre avec sa série phare "Lanfeust de Troy". ANGE se démarquait en nous offrant une fantasy adulte, sombre et sérieuse, presque dark et horrifique, mais qui va malheureusement quelque peu se trahir de mon point de vue en empruntant justement aux séries à la Lanfeust… (ce qui s’explique peut-être justement par la reprise en 2003 de la série par l’éditeur créateur des lanfeusteries qui a voulu tenter l’expérience américaine avec le dessinateur Philippe Briones).





Pas de souci donc, il s’agit d’un bon début pour une saga qui va bientôt atteindre les 20 tomes… Mais cette série est capable du bon comme du moins bon, du meilleur comme du pire, donc ce tome-ci ne reflète pas la valeur d’ensemble de "La Geste des chevaliers dragons".
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
Commenter  J’apprécie          240
La mort vivante

Olivier Vatine et Alberto Varanda revisitent le mythe de Frankenstein en adaptant la version futuriste du roman éponyme de Stefan Wul. Colonies humaines dans l’ensemble du système solaire, cyborgs et recherches génétiques articulent l’histoire. Le graphisme apporte une ambiance un peu glauque et sombre, le trait s’inspire de la gravure de Gustave Doré, avec des trames linéaires, fantastique et futuriste en même temps, les décors mélange allègrement le côté science fiction et l’univers XIXe du roman de Mary Shelley, c’est de ce point de vue une très belle réussite, et c’est ce qui donne à ce récit toute sa grâce, son élégance rétro et son inquiétante atmosphère, gothique et steampunk à la fois. En tant que variante sur le thème de Frankenstein, c’est aussi bien abouti, même si certains rebondissements semblent arriver un peu vite, ne nous laissant pas le temps de nous immerger totalement. Mais le choix d’avoir proposé cette œuvre en seulement un tome est tout à fait justifié, les auteurs vont à l’essentiel sans négliger l’atmosphère trouble, les personnages sont suffisamment approfondis pour porter le récit, le rythme est solide, et l’ensemble est tout simplement beau. Voici encore une très belle adaptation d’un roman de Stefan Wul qui, décidément, inspire les auteurs de bande dessinée pour mon plus grand bonheur.
Commenter  J’apprécie          220
La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

Je choisis souvent une bande dessinée en fonction du graphisme.

En feuilletant ce premier tome de "La Geste des Chevaliers Dragons", je suis tombée sur une magnifique double page et cela a suffi pour guider mon choix.

Paysage magnifique d'une ville grimpante construite sur des rochers au beau milieu d'une chute d'eau tombant à pic. Vision vertigineuse et sinueuse d'un fatras de maisons imbriquées les unes aux autres, dominé par une majestueuse église.

Bref, il n'en fallait pas plus pour me tenter et j'ai emprunté les trois premiers tomes de cette série.

La déception fut à la hauteur de cette sublime double page.





Dans des contrées sauvages et reculées , des dragons sévissent, ravagent tout sur leur passage et transforment les humains en d'horribles monstres. Tous les humains ? Non, pas tous. Seules les vierges échappent au maléfice des dragons. Seule les vierges restent belles et indemnes et peuvent approcher la bête pour la tuer. Ainsi fut créé l'Ordre. L'Ordre des Chevaliers Dragons qui regroupe des vierges combattantes.





Bon, l'idée de départ est sympathique mais le scénario qui suit n'est pas franchement folichon.

Deux pucelles très peu habillées aux formes très avantageuses. Un combat en taverne face à des gros lourdauds. La quête du dragon. La rencontre avec un beau mâle qui s'avèrera être un méchant. Et pour finir, évidemment, le combat avec le dragon.

Au travers de cette Bd, on a plutôt l'impression que l'auteur et le dessinateur se font plaisir en mettant en scène deux belles nénettes, combattives et fières, qui ne sont pas sans rappeler la légende des Amazones. En outre, en cas de problème de vue du lecteur, le texte s'attache régulièrement à rappeler combien la tenue des Chevaliers Dragons est légère.

J'aurais tendance à dire qu'il doit s'agir ici d'un fantasme typiquement masculin mais en y regardant de plus près, il s'avère que le scénario est écrit par un couple et non pas par un seul auteur. Bref, en ce qui me concerne, ça ne m'emballe pas plus que ça !





Ma curiosité m'a tout de même poussée vers le deuxième tome. Changement de dessinateur, changement de décor mais le scénario reste à peu près le même ! Les mêmes ficelles (enfin, à ce niveau ce sont plutôt des cordes à nœuds) qu'au premier tome. On reprend deux nouvelles pucelles et hop, c'est reparti pour une nouvelle chasse au dragon !



Par dépit, j'ai abandonné le troisième tome.



Petite note : Visiblement, (et après ma petite enquête sur Internet) les tomes qui suivent (18 à ce jour) reprennent le même chemin basique : apparition d'un dragon qui sera chassé et tué par des membres des Chevaliers Dragons à la fin du même tome. Pour chacun de leur tome, les auteurs Ange ont fait appel à un dessinateur différent.

Il y a de quoi se régaler si on aime ce genre de bande dessinée ! Pour ma part, et comme dirait l'autre, l'aventure s'arrête là !

Commenter  J’apprécie          223
La mort vivante

Dans un futur lointain, l'humanité vit divisée, l'une sur mars, l'autre sur la Terre. Sur mars, tout ce qui vient de la Terre, l'Ancienne Terre comme la nomment les Terriens de Mars, est illégal. En particulier, les livres sont proscrits, surtout les traités scientifiques. Joachim Bostrom en fait la douloureuse expérience. Il a acquis des ouvrages au marché noir. Sa renommée de scientifique en prend un grand coup et il est condamné à cesser sur le champ ses recherches. Interpellé devant chez lui par deux personnages étranges, il va être emmené sur Terre où l'attend une chercheuse dont la fillette de 10 ans vient de décéder. Elle va lui demander de réaliser l'impossible : ramener sa fille à la vie.



La Mort Vivante est une très belle BD sur le deuil vu par le prisme du mythe de Frankenstein. A mi chemin entre Lovecraft et Kafka, le récit met en lumière une humanité aigrie et un futur assez sombre. J'ai beaucoup aimé les métamorphoses que subit la fillette et l'impuissance du scientifique face à sa créature. Le thème est bien traité sans condescendance ni moralisme appuyé.



Les illustrations sont magnifiques dont certaines, en pleine page, très détaillées. La découpe du scénario donne un bon rythme, on ne s'ennuie pas.



Un bon one-shot.

Commenter  J’apprécie          211
La mort vivante

L'humanité a été détruite et pour perpétuer l'espèce les êtres humains se sont exilés vers Mars. Médecine et technologies ont fait d'énormes progrès bien sûr, mais même le progrès à ses limites et ne saurait résoudre parfaitement tous les incidents de la vie. Aussi lorsqu'une femme cherche à faire ressusciter son enfant, il faut s'attendre à ce que tout ne se déroule pas comme prévu...



Certes, si l'on s'en tient au découpages et aux graphismes, cette bande dessinée est une vraie réussite. En revanche, pour ce qui est du scénario.... Je l'ai trouvé un peu trop facile avec beaucoup d'éléments (monstres, cyborgs, génétique, etc) qui se mélangent sans qu'on y voit un réel intérêt. Quant à la fin qui part un peu en cacahuète quand même... Bof bof bof
Commenter  J’apprécie          210
Elixirs, tome 1 : Le sortilège de Loxullio

Un premier tome qui me laisse partagée ! Certes, l'histoire commençait bien : une école de magie dans la petite ville d'Amproche avec des étudiants et apprentis magiciens. Alors que certains sont studieux et ne demandent qu'à apprendre, ce n'est pas le cas de tous, j'ai nommé notre "don Juan" héros de cet ouvrage, le dénommé Tolriq. Eh oui, vous l'aurez compris, notre personnages préfère largement les belles jeunes filles aux heures ennuyeuses (selon lui) passées à l'université de magie. L'arrivée de la princesse Murmilla en tant que nouvelle élève est loin d'arranger les choses car, Tolriq, voulant à tout prix attirer son attention, va tenter de se montrer plus héroïque que ce qu'il ne l'est en réalité lorsque la cité est attaquée. Aussi, est-ce bien pratique d'étudier dans une université qui se trouve justement être sur un bateau car, dans ce genre de situation, cela permet de fuir mais cela n'aurait de toute façon fait que retarder le terme de cette conquête du mal dans ce monde. Tolriq, resté à terre avec la princesse et sa précieuse garde du corps vont alors s'embarquer dans une épopée qu'ils sont loin d'oublier ! Comment combattre le néant ? Les dieux ont en effet choisi cette première forme de cataclysme afin d'anéantir le monde de la magie ! mais quel sera leur prochain assaut ? Vous en aurez un léger aperçu si vous vous décidez à vous plonger dans cette aventure aussi bien féerique que diabolique !



Un graphisme extrêmement bien travaillé (ce qui constitue déjà un très net avantage pour moi) avec des personnages attachants et très variés du point de vue caractère (notamment une princesse on ne peut plus agaçante pour ne nommer qu'elle) et des drôles de petits personnages que l'on ne peut s'empêcher d'adorer tellement ils son craquants ! En revanche, pour ce qui est de l'histoire, j'avoue m'être un peu emmêlé les pinceaux et essayant de retenir tous les noms des différents monstres qui interfèrent ici (d'où ma note mitigée pour cet ouvrage) mais j'attends de voir la suite, on se sait jamais !
Commenter  J’apprécie          210
Petit Pierrot, tome 3 : Des étoiles plein les..

Livre reçu de masse critique , merci aux éditions Soleil et à babelio.

Bravo à Alberto Varanda pour ce merveilleux conte pour enfants relié dans une belle couverture cartonnée.

Petit Pierrot , son amoureuse Emilie ainsi que monsieur l’escargot , vous font retomber en enfance .Nous atterrissons dans un univers imaginaire ,très agréable .Entre la lune et les étoiles on voyage comme dans un rêve . Ce livre est une étoile pour les petits et les grands .



Commenter  J’apprécie          150
Petit Pierrot, tome 3 : Des étoiles plein les..

Petit Pierrot est un petit garçon aux cheveux en bataille et aux yeux grand ouverts... sur la lune et les étoiles... et oui, un doux rêveur pas très à l'aise dans ses baskets quand il doit se plier à la discipline. Toujours à ses côtés pour veiller sur lui, lui prodiguer des conseils et souvent essayer de le ramener à la réalité, non pas le cricket Giminy mais un escargot, Monsieur Escargot, très cartésien et se voulant plein de sagesse... Mais aujourd’hui, Petit Pierrot accorde peut d’importance à son ami, il a des étoiles plein les yeux, et pour cause : il a rencontré Émilie, et… il est amoureux !

Mon avis : Lors de la dernière Masse Critique de Babelio dédiée à la bande dessinée, je m’étais promis de ne demander aucun ouvrage… mais curieuse comme je suis, je n’ai pu m’empêcher d’aller consulter les titres qui étaient proposés ! Aussi, quand j’ai vu le troisième volume de Petit Pierrot, j’ai oublié immédiatement ma promesse, j’ai coché et validé sans le moindre scrupule. Il faut dire que je suis tombée sous le charme de cette petite bouille dès ma première rencontre avec lui et que j’adore le suivre dans ses rêveries et questionnements. Le texte est toujours plein de poésie, d'humour et de tendresse, avec de petites touches de philosophie et d’onirisme car Petit Pierrot pose un regard critique sur le monde et aimerait visiblement le voir devenir meilleur et plus humain. S’y ajoutent une petite touche de romantisme avec l’arrivée d’Émilie qui rend Petit Pierrot tout chose, et l’apparition des pages du dico de Petit Pierrot qui n’étaient jusqu’alors visibles que sur le blog. Les illustrations sont dans des teintes sépia, le trait rond est tout en douceur ce qui fait de nos petits protagonistes des poulbots des temps modernes auquel on a vite fait de s'attacher. On s’amuse aussi beaucoup avec l’introduction d’un ballet imaginaire d’animaux grande taille nés de la pensée des deux enfants. Un petit plus, un clin d’œil à l’impressionniste Monet, par l’entremise d’une promenade de nos deux jeunes amoureux à travers ses toiles. Et pourtant, je reste sur ma faim, et je rumine une légère déception, d’autant qu’il s’agit ici du dernier opus. J’ai trouvé l’album un peu décousu, moins fluide que les deux précédents, les saynètes manquant un tant soit peu de lien entre elles. Il n’en reste pas moins que le plaisir des yeux demeure entier et qu’il serait vraiment dommage de s’en priver.

TOME 1 : Décrocher la lune

TOME 2 : Approcher les étoiles

TOME 3 : Des étoiles plein les yeux

Public : à partir de sept - huit ans en lecture accompagnée mais sans autre limite d'âge.

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l'auteur et illustrateur, Alberto Varanda, vous pouvez suivre cette adresse :

http://albertovaranda.vefblog.net/

Cependant, et vous n'en serez pas étonné, Petit Pierrot a son propre blog que vous pourrez visiter en suivant cette adresse :

http://petitpierrot.vefblog.net/

Vous y trouverez des planches originales ne paraissant pas dans les trois albums existants. J'adore alors je partage celle-ci qui reflète bien le rapport entre l'enfance et l'âge adulte :

" J'ai entendu les grands dire que la fin du monde était pour cette année !

- Carabistouilles tout ça ! ils ne savent plus quoi imaginer !

- Et pourquoi est-ce que les grands ne se servent de leur imagination que pour nous faire peur ?
Commenter  J’apprécie          140
La mort vivante

Un bel album qui commence très bien et qui perd peu à peu pied à partir de la moitié. La fin semble facile et bâclée, j'aurais aimé quelques pages de plus pour avoir des explications sur le twist de l'intrigue (qu'on voit évidemment venir) et que la narration soit plus développée.

Sinon, l'univers de rétrofutur option steampunk fonctionne bien et les graphismes, bien que sombres, sont somptueux.
Commenter  J’apprécie          120
Petit Pierrot, tome 3 : Des étoiles plein les..

Petit Pierrot fait partie de ces personnages attachants en diable que l’on a plaisir à retrouver. C’est un rêveur, fasciné par la lune et amoureux de la petite Émilie, qui le fait rougir à chaque fois qu’il la voit. Son camarade préféré est un escargot, sorte de Jiminy Cricket, à la fois bonne conscience et confident terre à terre un poil rabat-joie. Dans ce troisième tome, Pierrot s’égare avec sa belle parmi les coquelicots de Claude Monet et sur le pont japonais du bassin aux nymphéas. Il se lance dans la rédaction d’un dictionnaire, philosophe toujours un peu et laisse son imagination prendre le pouvoir. C’est un contemplatif qui a la tête dans les étoiles, et c’est un peu l’enfant que j’aurais aimé être.



Varanda possède cette capacité rare à dire beaucoup avec trois fois rien. Il préfère jouer sur les attitudes, les regards notamment, plutôt que de lancer ses personnages dans de longs discours. Ses illustrations pleine page muettes sont autant de tableaux d’une stupéfiante expressivité. Petit Pierrot, c’est la douceur incarnée, une bulle hors du temps et des modes à savourer avec gourmandise. Une série inclassable et véritablement tout public qui prouve, s’il en était encore besoin, qu’il est possible de faire de la poésie en bande dessinée.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
Commenter  J’apprécie          110
La mort vivante

Je suis enfin parvenu à me procurer La mort vivante d'Olivier Vatine, adaptation du roman éponyme de Stefan Wul.

Malgré ses 70 pages, cette bd se lit vite, beaucoup trop vite. Et ce sera là le seul défaut que je lui relèverai.

Elle se lit trop vite pour plusieurs raisons.

La principale étant son fort potentiel addictif dû à son ambiance toute particulière; ambiance réalisée et rendu à la fois par le texte que par les graphismes. C'est simple, je n'ai pu décrocher avant la dernière page. Et même après avoir refermé cette bd, je suis resté la bouche et les yeux remplis de relents de satisfaction et cette espèce de sentiment qui ressemble à un mélange de frustration mêlé d'aboutissement. En effet j'ai eu l'impression que toute l'oeuvre de Stefan Wul tenait dans cette seule Mort Vivante mais j'y reviendrai...

L'autre raison tient à la fois du récit et des graphismes, qui se répondent et se complètent parfaitement. les graphismes sont d'une qualité telle qu'ils racontent à eux seuls l'histoire. Ils sont calqués sur la progression du récit, et ce que ne dit pas le texte, le dessin nous le dit.

Il y a en effet une nette évolution dans les dessins. Si au début, les personnages sont plutôt lumineux avec des traits clairs, tout comme les décors, le tout sombre vite dans le noir à l'image du ton du texte. Le point de chute se situe quelque part dans le chapitre 4 ( le récit est divisé en 5 chapitres), juste avant le dernier qui s'intitule L'éveil de monstre.

Les références à Frankenstein sont palpables. Cette histoire commence par la douleur d'une mère qui perd son enfant et qui veut tout faire pour la retrouver. Elle commence d'abord par garder son corps intact avant d'embaucher un savant pour la faire renaître. D'emblée, ne serait ce que par le titre de cette oeuvre, et par le postulat de départ, on sent bien qu'on va assister à une tragédie, et que malgré le bon vouloir de cette femme, tout comme celui du savant qui met tout son savoir à son service pour cette noble tâche, cela ne finira pas bien. Le récit entier "respire" la mort, que ce soit dans les décors, l'ambiance, les lieux ( un vieux château isolé perché au sommet d'une montagne inaccessible), les personnages mêmes. La maman fait preuve d'une telle telle froideur et d'une tel détachement face à ce qui est présenté comme un événement heureux, le savant est comme mort après qu'on lui eût retiré sa bourse d'étude et ses crédits, et confisqué son matériel, le cyborg fait de métal, et dont la mémoire défaillante fait seule le lien avec l'histoire de la terre et rappelant le contexte dans lequel se déroule cette histoire ( les fans de Stefan Wul reconnaîtront des formes présentes dans un autre roman)

À l'image du récit qui progresse inexorablement vers la mort, les graphismes nous plongent également dans le noir ( les décors de plus en plus sombres ne sont alors que le miroir de l'âme humaine dans ce qu'elle est de plus obscur), nous emmenant petit à petit vers un climax final qui donne la chair de poule, et qui en révèle long sur la nature humaine. Le monstre n'est alors pas forcément celui que l'on croyait....
Commenter  J’apprécie          102
La mort vivante

Dans un futur très (très) lointain, un scientifique qui a élu domicile sur Mars, mène des expériences exploratoires peu appréciées par ses compères. Au même moment, sur terre, une femme vient de perdre sa fille de 10 ans dans un tragique accident. Est-ce vraiment une bonne idée de former une alliance pour ressusciter un cadavre ? Sérieusement ? A croire que les types n’ont jamais vu de films d’horreur avec des petites filles flippantes aux long cheveux qui reviennent d’entre les morts.

Lorsqu’une bande dessinée n’est composée que d’un seul volume, j’ai toujours peur de manquer. Manquer de contextualisation, manquer d’éléments me permettant de rentrer complétement dans l’histoire, manquer d’attachement ou même de considération pour les personnages. Ici, sans réussir à m’immerger immédiatement dans cette histoire, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce scénario riche et peu banal. Ce dernier mêle en effet, atmosphère futuriste sous fond de drama post-apocalyptique et ambiance création contre nature à la Frankenstein. Et Thor seul sait à quel point j’apprécie l’œuvre cultissime de Mary Sheller.

De plus, les dessins sont vraiment à tomber. C’est surement l’un des gros atouts de cette œuvre ! En effet, les coloristes sont remarquables ; le détail ainsi que la minutie avec laquelle sont réalisées les planches contribuent énormément à crédibiliser un univers qui se veut sombre, froid et angoissant. Le style est rapidement identifiable et les expressions des personnages parfaitement exécutées. Et apparemment, une édition grand format en noir et blanc a été éditée en même temps que celle-ci, pour apprécier encore davantage cette explosion visuelle de talent !

En bref, vous l’aurez compris, j’ai passé un très bon moment en compagnie d’une mort vivante. J’aimerais beaucoup que l’aventure ne s’arrête pas là car le sujet mériterait d’être développé sous différents angles et dans plusieurs autres tomes. A bon entendeur… bisous.


Lien : http://www.chroniquesdurenar..
Commenter  J’apprécie          100
Petit Pierrot, tome 1 : Décrocher la Lune

Petit Pierrot est un petit garçon aux cheveux en bataille et aux yeux grand ouverts... sur la lune et les étoiles... et oui, un doux rêveur pas très à l'aise dans ses baskets quand il doit se plier à la discipline scolaire. Toujours à ses côtés pour veiller sur lui, lui prodiguer des conseils et souvent essayer de le ramener à la réalité, non pas le cricket Giminy mais un escargot, Monsieur Escargot, très cartésien et se voulant plein de sagesse...

Mon avis : Cet album est le premier volume de "Petit Pierrot" au titre très évocateur de "Décrocher la lune". Sur la quatrième de couverture, une citation de Buffon, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle n'est pas là par hasard :

"La science décrit la nature,

la poésie la peint et l'embellit."

On peut penser que la science est le regard de Monsieur Escargot, la poésie ne peut-être que celle de Petit Pierrot.

Ce livre peut s'apparenter à une bande dessinée avec des vignettes de formes et formats différents (certaines occupant toute la page) mais le texte n'est pas dans une bulle délimitée par une bordure. Le texte est plein de poésie, d'humour et de tendresse, avec de petites touches de philosophie car Petit Pierrot pose un regard critique sur le monde et aimerait visiblement le voir devenir meilleur et plus humain. Les illustrations sont dans des teintes sépia, le trait rond est tout en douceur ce qui fait de notre petit bonhomme un poulbot des temps modernes auquel on a vite fait de s'attacher. Pour moi, c'est un véritable coup de cœur, renforcé par la qualité du livre lui-même : un beau papier, épais, et une impression de qualité.

Nota Bene : A venir, " Approcher les étoiles " et " Des étoiles plein les yeux "

Public : à partir de sept - huit ans en lecture accompagnée mais sans autre limite d'âge.

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l'auteur et illustrateur, Alberto Varanda, vous pouvez suivre cette adresse :

http://albertovaranda.vefblog.net/

Cependant, et vous n'en serez pas étonné, Petit Pierrot a son propre blog que vous pourrez visiter en suivant cette adresse :

http://petitpierrot.vefblog.net/

Vous y trouverez des planches originales ne paraissant pas dans les deux albums existants. J'adore alors je partage celle-ci qui reflète bien le rapport entre l'enfance et l'âge adulte :

" J'ai entendu les grands dire que la fin du monde était pour cette année !

- Carabistouilles tout ça ! ils ne savent plus quoi imaginer !

- Et pourquoi est-ce que les grands ne se servent de leur imagination que pour nous faire peur ?

Commenter  J’apprécie          100
Petit Pierrot, tome 2: Approcher la lune

Petit Pierrot est un petit garçon aux cheveux en bataille et aux yeux grand ouverts... sur la lune et les étoiles... et oui, un doux rêveur pas très à l'aise dans ses baskets quand il doit se plier à la discipline scolaire. Toujours à ses côtés pour veiller sur lui, lui prodiguer des conseils et souvent essayer de le ramener à la réalité, non pas le cricket Giminy mais un escargot, Monsieur Escargot, très cartésien et se voulant plein de sagesse...

Mon avis : Cet album est le deuxième volume de "Petit Pierrot" au titre très évocateur de "Approcher les étoiles", et non la lune comme nous l'indique Babelio. Sur la quatrième de couverture, une citation, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle n'est pas là par hasard :

"Visez toujours la lune.

Même si vous la manquez, vous atterrirez parmi les étoiles."

Ce livre peut s'apparenter à une bande dessinée avec des vignettes de formes et formats différents (certaines occupant toute la page) mais le texte n'est pas dans une bulle délimitée par une bordure. Le texte est plein de poésie, d'humour et de tendresse, avec de petites touches de philosophie car Petit Pierrot pose un regard critique sur le monde et aimerait visiblement le voir devenir meilleur et plus humain. Les illustrations sont dans des teintes sépia, le trait rond est tout en douceur ce qui fait de notre petit bonhomme un poulbot des temps modernes auquel on a vite fait de s'attacher. Pour moi, c'est un véritable coup de cœur, renforcé par la qualité du livre lui-même : un beau papier, épais, et une impression de qualité.

Nota Bene : Ce titre fait suite à " Décrocher la lune " et précède " Des étoiles plein les yeux ", à venir.

Public : à partir de sept - huit ans en lecture accompagnée mais sans autre limite d'âge.

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l'auteur et illustrateur, Alberto Varanda, vous pouvez suivre cette adresse :

http://albertovaranda.vefblog.net/

Cependant, et vous n'en serez pas étonné, Petit Pierrot a son propre blog que vous pourrez visiter en suivant cette adresse :

http://petitpierrot.vefblog.net/

Vous y trouverez des planches originales ne paraissant pas dans les deux albums existants. J'adore alors je partage celle-ci qui reflète bien le rapport entre l'enfance et l'âge adulte :

" J'ai entendu les grands dire que la fin du monde était pour cette année !

- Carabistouilles tout ça ! ils ne savent plus quoi imaginer !

- Et pourquoi est-ce que les grands ne se servent de leur imagination que pour nous faire peur ?
Commenter  J’apprécie          90
La Geste des Chevaliers Dragons, tome 1 : Jaïna

Ce tome 1 est de toute beauté, les dessins sont magnifiques. L'histoire n'est pas très compliquée, le public visé est clairement jeune puisqu'on nous épargne pudiquement toute scène un peu trop "trop"...

Même les combats sont assez peu sanglants. J'ai lu ailleurs "j'ai trouvé ça trop violent", euh, what ? C'est quand même gentillet, faut pas exagérer !

J'ai bien aimé comment les dragons "contaminent" leur environnement, c'est intéressant.

Bref, en se mettant niveau "jeune", c'est d'une lecture très agréable, et les dessins sont vraiment superbes. Reste à savoir (comme tout change à chaque tome) si la suite sera aussi bien... En tous les cas, c'est plutôt un bon début !
Commenter  J’apprécie          81




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Alberto Varanda (491)Voir plus

Quiz Voir plus

Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

Le silence des agneaux
Psychose
Shinning
La nuit du chasseur
Les diaboliques
Rosemary's Baby
Frankenstein
The thing
La mouche
Les Yeux sans visage

10 questions
966 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}