Citations de Alexandre Astier (303)
Léodagan : Faites gaffe. Bon sang ! Vous allez me marcher sur les saucisses !
Karadoc : Mettez vos mains ailleurs, aussi ! Juste sous mes pieds, quelle idée !
Lancelot : Ne vous inquiétez pas, je m'occupe de tout. Si je ne suis pas revenu dans quatre jours, envoyez des renforts.
Arthur : Entendu.
Léodagan : Sauf que des renforts, on en a pas. Essayez de revenir avant quatre jours, du coup...
Perceval - Les travers de porc, c'est pas mauvais, mais ça vaut pas les côtelettes. Les côtelettes, c'est plus savoureux.
Arthur - C'est pas faux.
Perceval - Sans blague, vous savez pas ce que ça veut dire " savoureux " ?
Arthur - Quoi ? Ben... évidemment que si !
Perceval - C'est " côtelettes " que vous comprenez pas ?
Lancelot : Et ça, c'est quoi ?
Perceval et Karadoc : La technique du lancer "omniprésent" ! Imparable !
Karadoc : On envoie un objet d'usage courant sur l'ennemi sans spécifier sa provenance !
Perceval : Du coup, l'ennemi sait pas d'où ça vient : il croit qu'il a affaire à un adversaire "omniprésent".
Karadoc : Et boum !
Perceval : On va se péter une jambe, on aura l’air fin !
Karadoc : Non mais c’est quoi, ce détour pourri que vous nous faites prendre ?
Merlin : Pour la trentième fois, il y a une bestiole dans ce tunnel, alors on contourne !
Karadoc : Et vous pouvez pas la buter, la bestiole, avec votre magie ?
Perceval : ça sert à quoi qu’on vous ait fait venir si vous glandez rien ?
Merlin : Un druide, ça bute pas les animaux ! Je fais de la magie tellurique, moi !
Je suis pas dératiseur !
Léodagan : Je peux vous dire que si j’avais su la tannée que c’était, votre excursion à la noix, je serais resté chez moi !
Arthur : C’est pas encore trop tard ! Vous faites demi-tour, vous marchez tout droit pendant quinze jours et vous arrivez pile en Carmélide !
Guenièvre : Eh ben moi, ça me fait du bien de me promener un peu ! Toujours enfermée à Kaamelott, c’est pas la rigolade tous les jours !
Arthur : Je vous signale que personne vous tient spécialement enfermée à Kaamelott ! Je peux même vous dire que si vous me débarrassiez le plancher un peu plus souvent pour prendre l’air, je m’en porterais pas plus mal !
Dans le Languedoc, ils m'appellent Provençal. Mais c'est moi qui m'suis gouré en disant mon nom. Sinon, en Bretagne, c'est le Gros Faisan au sud, et au nord, c'est juste Ducon.
Léodagan : Qu’est-ce que c’est que ce merdier, que vous bouffez ?
Karadoc : Ça, c’est mon spécial « pleine lune ». Quatre rondelles de sauc’ à chaque coin sur une tartine à la graisse de rôti.
Léodagan : Quel rapport avec la pleine lune ?
Karadoc : Ben… c’est nostalgique.
Arturus: - Bon, mais vous êtes pas magicien ?
Merlin: - Tout dépend de ce que vous entendez par "magicien"! Je pourrais vous faire une Pluie de Pierres, si vous voulez, mais un Sort de Sommeil, par exemple, je saurais pas.
Arturus: - Une Pluie de Pierres !
Merlin: - Oui, ou la foudre... Tout ça, c'est bien ma branche.
Arturus: - Donc là, par exemple, vous pourriez faire tomber la foudre ?
Merlin (consultant le ciel) : - Heu.. Là, honnêtement, c'est quand même grand bleu. Et ça a pas l'air de vouloir se couvrir...
Arturus: - Je comprends pas. Vous pouvez faire tomber la foudre... mais il faut qu'il y ait déjà de l'orage ?
Merlin: - "Il faut, il faut..." Je vais pas vous mentir, ça aide.
- Ca vous embête si on parle un petit moment ?
- Au contraire... Je me dis que tant qu'on parle, je m'en prends pas une.
Merlin : Attendez, moi, j'ai une utilité dans le groupe ! Je suis celui qui s'occupe de la magie !
Arthur : Cela dit, vu vos performances en magie, on aurait pu tout aussi bien vous coller à la cartographie...
Leodagan : Ou à l'ouverture des huîtres...
Avec votre permission, je vais m'éloigner quelques instants pour pleurer. (Bohort)
ARTHUR (à Elias) - Non mais je vous refilerai pas la Reine, n'insistez pas !
ELIAS - Mais pourquoi ?
ARTHUR - Parce que... je m'y suis fait. Ça a pris assez de temps comme ça, je commence à peine à supporter sa présence - excusez-moi, beau-père...
LEODAGAN - ah, mais moi, je vous admire : j'ai jamais pu, moi.
Parce que d'un point de vue militaire, vous croyez qu'il n'y a que la partie magie qui déconne ?
Mineur : Je suis sûr que notre chef a détourné l’or et je suis sûr que l’or n’a jamais quitté le village.
Lancelot : Vous accusez votre chef ?
Léodagan : Et alors ? Nous aussi, on accuse bien notre chef de temps en temps ? Ça fait pas de mal.
Arthur - [...] à partir de maintenant on va tous de s'appeler "les Chevaliers de la Table Ronde"
Perceval - "Les Chevaliers de la Table Ronde." ?
Léodagan - Une chance que vous vous soyez pas fait construire un buffet à vaisselle...
Arthur (à ces soldats en train de combattre l'armée ennemie) : AU SUD ! ON A DIT AU SUD ! BANDE DE DÉBILES ! C'est pas croyable ! Ils pigent rien ! Rien !
Léodagan : Ce qui est pas croyable, c'est que ça vous surprenne encore.
Arthur : Ce qui me surprend, c'est qu'en tant que responsable de leur formation, vous ne vous sentiez absolument pas concerné par le fait qu'ils sont plus nuls les uns que les autres !
Léodagan : Ça fait des années que je vous répète qu'ils sont pas capables d'apprendre la signalisation des drapeaux ! Vous voulez rien comprendre !
Karadoc : Les drapeaux, c'est trop dur à comprendre...c'est bien simple, même moi j'y arrive pas.
On a tellement réfléchi que j'ai attrapé des plaques derrière les oreilles !
PERCEVAL : Peut-être que les mirages dans des yeux, c'est seulement dans le désert... Du coup, quand il fait froid, ça passe aux oreilles.
Arthur : Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Avec tout le pognon qu'on vous a fait tomber l'autre fois, vous êtes déjà à sec ?
Karadoc : Ah oui mais, attention ! On l'a pas dépensé à des bêtises !
Perceval : Sûrement pas !
Karadoc : C'est pas notre genre !
Arthur : Et vous l'avez dépensé à quoi, sans indiscrétion ?
Karadoc : On l'a pas dépensé, on l'a paumé.
Perceval : Nuance !