Citations de Alexandre Astier (303)
Lancelot : S'il s'agit de bandits, on a toutes nos chances de tomber dessus : on emprunte la même route que le convoi...
Karadoc : Moi j'ai mieux : si on emprunte la même route que le convoi...
Perceval : ... on a toutes nos chances de tomber sur le convoi !
Karadoc : Et ça, c'est balaise.
La question elle est simple : est-ce qu'un type qui s'occupe d'enterrer les morts aurait décoré son entrée avec des crânes empilés ?
Avec votre permission, je vais m'éloigner une peu pour pleurer...
PERCEVAL : "Dites... Une supposition... Mettons que ce soit une révolte et qu'ils nous attendent... Est-ce que ça vaudrait pas le coup d'arriver en formation ?"
LANCELOT : "Arriver en formation ? En formation de quoi ?"
KARADOC : " Bah en truc, là..."
PERCEVAL : "En quinconce machin..."
LANCELOT : "En "quinconce-machin" comme son nom l'indique, il faut être cinq. Quatre en carré et un au milieu."
KARADOC : "Et ben ? Si nous, on se met au milieu, vous ne pouvez pas vous mettre au carré ?"
PERCEVAL : "Ou sinon, on joue la sécurité : on se met tous au milieu !"
Une règle, il vaut mieux lui désobéir intelligemment plutôt que la suivre bêtement.
Il faut parfois rompre les liens quand cela est nécessaire.
Perceval - Faut arrêter ces conneries de nord et de sud ! Une fois pour toutes, le nord, suivant comment on est tourné, ça change tout
"- Sire ! Mon Dieu … Quelle méprise ! La vigie ne vous avait pas reconnu …
- Ça y est, ça va être de ma faute.
- Comme quoi, ça se confirme : vous n’avez rien à foutre en bas.
- Et sans indiscrétion, à part moi, vous attendiez qui ?
- Nous vivons dans l’angoisse depuis plus d’une semaine ! Il faut absolument faire quelque chose, Sire !
- Attendez, il faut quinze secondes à deux clampins de la garde pour en venir à bout ! Venez pas dire qu’on vit dans l’angoisse !
- On n’a même pas eu un blessé !
- Au château peut-être, mais des paysans ont été attaqués sur les terres !
- Les paysans, de toute façon, il y a toujours quelque chose qui ne va pas …
- Qu’est-ce que vous comptez faire ?
- Dormir. Demain on s’occupera de cette histoire.
- Bravo, Sire !
- Mais il n’y a rien à s’occuper, je vous dis ! On leur souffle dessus, ils tombent !
- Ce qui m’intéresse moi, c’est celui qui s’occupe de les relever."
— Allez-y.
— Pourquoi moi en premier ?
— Parce que votre vie vaut moins que la mienne.
ROI ARTHUR : "C'est pas croyable ! Ils pigent rien ! Rien !"
LÉODAGAN : "Ce qui est pas croyable, c'est que ça vous surprenne encore..."
L'intelligence mène au pacifisme.
- Perceval : Bon, ça suffit maintenant ! Vous allez pas me dire que ça sent pas le roussi !
- Karadoc : Je vois pas ce qui sent le roussi, on est paumés...
- Perceval : Attendez, vous voyez bien que c'est encore un glandu de sorcier qui nous a changé la route au dernier moment !
- Karadoc : Changé la route ? Qu'est-ce que vous voulez dire ?
- Perceval : Ben on est sur la route de Kaamelott et boum ! comme par hasard, on se retrouve paumés en rase campagne ! C'est pas de la sorcellerie, ça, peut-être ?
- Karadoc : Remarquez, c'est pas bête, ce que vous dites... Moi, je croyais qu'on était juste des gros mauvais !
- Perceval : Pour moi, ça fait pas un pli ! Si on se paumait une fois de temps en temps, je dirais : "OK, on est nuls en orientation." Mais comme on se paume systématiquement à chaque fois, là je dis : "Il y a du glandu de sorcier là-derrière!" C'est tout.
Perceval: Non ! Là, y en a marre ! On nous confie jamais rien, à nous !
Karadoc: On est chevaliers ou pas ? Jusqu'à quand on va se laisser traiter comme des clodos ?
Merlin: Et qu'est ce que j'ai à voir avec vos histoires, moi ?
Perceval: Ben, c'est parce que vous, c'est un peu pareil...
Karadoc: Tout le monde vous prend pour un con et vous partez jamais en mission.
Perceval: Là, c'est l'occasion de remonter votre cote !
Perceval -Une fois à une exécution, je m'approche d'une fille, je lui fais : "vous êtes de la famille du pendu?" C'était sa sœur. Bonjour l'approche.
Merlin (solennel) - " Qu' est ce qui est petit et maron ? "
Elias - Un marron
Merlin (encaissant le coup à Arthur et Lancelot) - Putain il est fort, ce con
(Les défis de Merlin)
J’aime casser les genoux aux préjugés historiques. Dans Kaamelott, Arthur est sans noblesse et sa quête est réduite à une formalité administrative et poussive. Kaamelott, ça aurait dû être Le Seigneur Des Anneaux, mais finalement bah... finalement, non
Le Répurgateur : (avec poésie) Les feux, c’est ce qui se voit le mieux, vu du ciel.
À force de ne jamais être singulier, on finit par ne parler à personne.
Ygerne - A Tintagel on mange quand on l’a mérité, quand on sait qu’on a accompli ses commandements avec humilité et qu’on a glorifié sa famille !
Arthur - Oui… non, nous on mange quand on a faim.
5. INT. TAVERNE - SOIR
PERCEVAL et KARADOC, tout en buvant une coupe de vin, discutent du Graal.
KARADOC- Franchement, vous êtes Joseph d'Arimathie, vous vous pointez devant Jésus qui pisse le sang, dans quoi vous le récupérez le sang ?
PERCEVAL - Dans un bocal à anchois...
KARADOC - Ah bon ?
PERCEVAL - Déjà pour la contenance - je peux pomper un demi-gallon de sang, je suis tranquille - et surtout qu'après, je peux refermer le bocal, j'en fous pas partout dans le sac.
NOIR
PERCEVAL (OVER) - Si Joseph d'Arimathie a pas été trop con, vous pouvez être sûr que le Graal, c'est un bocal à anchois.