Séparez-nous de nouveau, nous nous réunirons encore. Vous avez décidé que le peuple russe est mort et vous vous hâtez de partager son héritage. Mais il n'est pas mort. La grave maladie passera, le peuple reprendra ses forces, se redressera de toute sa taille énorme et vous demandera, terrible : "Qu'avez-vous fait de ma Patrie, tandis que dans ma démence je me flagellais moi-même, que je me débattais entre les griffes du monstre, que mon sang coulait et que la faim me torturait ?"