Dans la vie, la vraie , les gens souffrent ; au cinéma, ils se contentent de quitter le plateau.
[ à propos de Hugh Grant...]
J'ai toujours éprouvé un certain réconfort à regarder ses films : on ne risque pas de voir qui que ce soit se faire exploser la tête au cours des trois premières minutes, les scènes de torture nous sont épargnées, et la vision la plus terrifiante que l'on puisse concevoir, c'est ce Gallois dégingandé en sous-vêtements en train de manger de la mayonnaise.
(...) lorsque toute cette histoire sera terminée, notre vie reprendra son cours, comme si de rien n'était .
Envie d’une lecture légère et romantique ? Un roman chick lit’ comme on dit. Si en plus vous êtes amatrice/eur de films romantiques alors là j’ai la solution : le roman d’Ali McNamara. Un zest de Hugh Grant et de Marc Darcy, un chouia de Richard Gere et encore un peu de Hugh Grant et c’est bon. L’histoire est celle de Scarlett, une jeune femme passionnée de cinéma qui fantasme sa vie comme dans les comédies romantiques. Sauf qu’en vrai elle est fiancée à David, un type radin et obsédé par son job, et qu’elle-même gère avec son père une entreprise de machines à pop-corns. Un jour elle décide de faire un break avec son quotidien et se retrouve à Notting Hill avec un charmant voisin nommé Sean, de nouveaux amis et la mission qu’elle s’est donnée : prouver à ses proches que la vie peut être aussi passionnante qu’au cinéma.
Ce résumé peut faire sourire et pourtant ce n’est rien à côté de ce qui vous attend si vous décidez de découvrir ce livre. Il est rempli de références et de citations de comédies romantiques, s’avère swoon à souhait malgré une héroïne un poil trop naïve et apparaît plus amusant qu’on ne le penserait. On passe un très bon moment, très léger. La première intrigue est vite complétée par une seconde centrée autour de la mère de l’héroïne. Bref une lecture idéale pour les vacances ou pour les amateurs du genre en général. J’avais passé une matinée à Notting Hill et revu le film avec Hugh Grant et Julia Roberts donc j’étais super calée pour toutes les références, même si un peu moins sur Pretty Woman.
I’ve always loved any film Hugh Grant was in. I don’t really know why – I don’t fancy him exactly, I just love watching him up on the screen. I was certainly at my happiest during the Four Weddings, Notting Hill, Bridget Jones era. There’s something very comforting about watching a Hugh Grant movie. You know no one’s head will be blown off in the first three minutes, no one will be tortured, and the worst thing that might happen is seeing a lanky Welshman eating mayonnaise in his underpants.
I’d always loved the painting that now hung in front of me. I thought it was because of Notting Hill : it wouldn’t be the first time I’d taken to something because I’d seen it in a movie.
Like when I’d first seen Sleepless in Seattle I’d taken to listening to late-night radio call-in-shows…just in case. But the callers in this country were rarely in the mould of the gentle Sam character portrayed by Tom Hanks. They were normally far scarier, and much more your Jeremy Kyle-style troll.
With Bridget Jones I’d kept a daily diary. Internet chat rooms with You’ve got mail. I’d even taken dance lessons at our local community centre when I’d first seen Dirty Dancing. But our dance instructor didn’t bear much resemblance to Patrick Swayze, not even Patrick Dempsey. No, imagine if you will an effeminate Patrick Stewart of the Starship Enterprise, crossed with Patrick Star of SpongeBob SquarePants fame, and you will have the perfect image of my salsa instructor. And when I’d seen Pretty Woman for the first time I’d firmly decided never to try out any part of that movie.
Cela aurait été l’idée du siècle si David avait été du genre bricolo,
mais force est de constater qu’en matière de réparations, David tient
moins de Bob le Bricoleur que de Bob l’éponge. Aussi, six mois après, je
vivais dans une maison dans un état si déplorable que, si elle avait été
un animal blessé, il aurait mieux valu abréger ses souffrances.
‘This is none of my business, I know. But I believe everything happens for a reason in life, and it may not seem like it now, but there will be a reason you introduced them to each other. You may not know why just at this moment in time, but I promise you, you will in the end.’
-Je m'appelle Bond. Sean Bond, lâcha-t-il, imperturbable. Scarlett, je suis dangereusement vôtre. J'ai obtenu le permis de vous aimer jusqu'à la fin de vos jours, si vous me le permettez.
J'essayai de lui répondre avec autant d'aplomb.
- Sean, je te couvrirai de bons baisers de Russie jusqu'à ce que tu meures un autre jour.
Il réfléchit une seconde.
- Qu'est-ce que tu dirais, bientôt, d'une petite... nuit blanche à Notting Hill ? me suggéra-t-il en souriant.
You don’t even like Robbie Williams or Ronan Keating for heaven’s sake ! Everything’s got to be black and white with you – there’s no room for daydreaming’