La politique désormais remplaçait l’héroïsme et la grandeur. Grandberger ne siégeait plus aux responsabilités suprêmes. Il s’était retiré des affaires et des luttes, furieux et empressé de se soustraire à leur médiocrité. Il avait quitté précipitamment la baraque. A ses alliés, il conseillait d’en faire de même. Il disait : L’essentiel en politique est de se retirer à temps. Il avait toujours appliqué ce principe. Claquer la porte quand il n’y avait plus rien à faire, voilà quel était son tempérament. Vous n’entendez rien ? Vous ne voulez rien savoir ? Eh bien, débrouillez-vous sans moi, je m’en vais ! Et je vous salue bien ! Ce fut un plaisir de vous connaître ! Les formules polies devenaient chez lui des missiles.