Jeanne ne parvenait à nourrir Belle (son cheval ) que grâce à la générosité du baron de Caralou. Il voulait Belle comme on veut une maîtresse, il accompagnait toujours l'ouvrier agricole du domaine qui livrait la paille et l'avoine. Il saluait Jeanne d'un sempiternel : - Je vous rends une petite visite , ma pauvre Jeanne ( P 7 ).