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Citations de Andy Vérol (19)


on avance, mais si on n’avance pas, si on ne parvient pas à s’en sortir, on devient quoi ? Comme ces ravagés claqués par des divorces, le chômage, le terne d’une existence bien charpentée publique et de prévention ? Dans les chiottes, je n’y tiens plus. Je vomis puis je vais m’installer devant mon PC
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Bertrand ,êtes vous si cruel?,ou vous jouer à la devinette ,ma plume est un sujet pour que je me sente élevée de t aimer😘😙avant que je trépasse embrasse moi
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Chanter là couleur de l amour jouer la carte de l'humour, et aimons nous pour toujour,allumer la flame de l espoir pour que le désespoir vous dises aurevoir
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Demain les dents auront poussé dans ma gorge
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J’aime le poids du flingue dans la paume de ma main. La crosse est ferme. C’est le paradis. Le paradis des hommes occidentaux, c’est un flingue très lourd dans la paume d’une main ferme.
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La vie, c’est ainsi. C’est assez lourd et inutile à porter, et puis, au moment décisif, ça devient sympa. Jouissif.
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Une clope. C’est bon de fumer. Les douleurs. Et le dégueulis partout. C’est affreux et indigne.
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On est des cow-boys hein ? Ça me réjouit. Des choses comme ça me réveillent le cœur.
Ça m’ouvre le champ infini de l’espoir. Être le plus grand. Être le Billy the Kid de maintenant, d’aujourd’hui – c’est celui que je préfère, on peut pas préférer un autre parce que c’est le plus grand des plus fascinants –, ça m’offre un avenir. Le bon.
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On dit que ta vie défile lorsque tu sais que tu vas mourir. On le dit souvent dans les films catastrophes américains ou dans les émissions de santé sur le service public. Je ne suis pas très sûr.
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C’est une chose très importante pour les hommes. Les femmes ne comprennent pas l’importance de ce sexe, cet objet absolu qui construit à lui seul les trois quarts de nos personnalités.
J’aime bien les méchants et les personnages stéréotypés… Les mecs charismatiques aux visages carrés… Mais je n’aime pas les aimer. Je n’aime pas en avoir peur… Je veux, sans fin, les massacrer… et les baigner… dans d’atroces souffrances.
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Faut trouver une autre voie. Choisir autre chose que la révolte classique, revendiquer pour soi et pour les autres des droits qu’on n’aura jamais. Nos droits, faut les choper comme ces Norvégiens ont volé notre force de travail. Faut se donner la peine mon gars, gros péquenot.
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Les Norvégiens sont de féroces racistes. Ils n’ont aucune considération pour les autres peuples. Ce sont des gens très renfermés qui se méfient de tout. On bossait dans leurs mines ou dans leurs gisements d’enfoirés. On n’avait le droit à rien. Mais au fond, ils avaient raison. C’est comme ça que l’on doit être. Autant s’en branler complètement de l’autre, et tirer son parti des faiblesses des dites victimes. Personne ne peut m’attraper. C’est moi le chasseur. C’est moi qui débusque la proie, même si elle se croit en sécurité sous la surface de l’océan. Je suis un balbuzard, péquenot ! Tu vois, le monde d’avant s’est effondré.
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En
Chine, la plupart des gens sont des racistes infects. En Afrique, les castes cultivées et dominantes ne rendent jamais rien à ceux qu’elles prétendent défendre. Tu es un mauvais flic. J’aime pas ce que tu as été en tant que flic. Il faut que les énergumènes de ta sorte ne puissent pas emmerder le monde avec leurs questionnements. T’es un peu un abruti fini. À cause de petits pédés comme toi, les gamins ne reçoivent plus de corrections. Faut pas se laisser faire. Les mecs, flics, intellos et en plus de gauche, c’est de la daube.
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Partir, c’est aussi fuir. Bien évidemment. C’est oublier, mettre ses mains sur ses yeux. Mon regard parfois trop optimiste sur l’Humanité, et ma qualité infer-nale à diaboliser l’Occident… C’est puant. C’est infect. J’ai accepté qu’ils déferlent sur nous. Peu importe que nous ayons zigouillé des millions de leurs ancêtres, que nous ayons pillé leurs terres, leurs sous-terres, leurs dessus-terres… Que nous ayons violé leurs femmes, leurs gosses… Que nous ayons écrasé leurs traditions, leurs histoires, leurs conceptions du monde. À présent nous faiblissons, nous « décadançons » et ils se préparent, affinent leurs armes, gonflent leurs muscles, s’entraînent à la haine extrême…
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« J’ai besoin de savoir qui je suis. Il faut que je vole de mes propres ailes pour pouvoir savoir qui je suis vraiment. C’est – la voix rauque, pas oublier la voix rauque avec de l’arrogance dedans – important pour moi tu sais ? Ce n’est pas que je ne t’aime pas, mais tu es mon seul vrai premier mec, et je te trouve intelligent. Trop intelligent pour moi. Je ne te mérite pas. »
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Avec le numérique, l’ordinateur, les logiciels de retouche d’images et l’ensemble de l’arsenal des technologies nouvelles/ la/révolution, on est passé au stade : « Je prends tout en photo, je manipule l’image et je chie des œuvres d’art intimistes/autobio de qualité supérieure. » À mourir de rire. Les soirées entre amis devenaient, dès lors, des sortes de vernissages pitoyables.
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Mes pensées/gangrènes se juxtaposent aux envies de sexe en toute liberté. La désolation. Les trahisons. Mettre des mots les uns derrière les autres. Ma tête est capharnaüm. Naturellement la flasque est vide et empeste. Ces «dosettes» de cognac sont infectes.
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Chaque époque a livré son lot de malheurs aux hommes. Chaque période de rupture génère ses tonnes/décès, ses vagues de massacres et de dépit.
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Les Occidentaux sont victimes d’une gemmiparité redoutable permettant la confusion entre les individus, leurs messages contendants, parfois, ou leur passivité à toute épreuve. En fait, les destins obscurs se croisent. Plus le monde est marché, et plus le quidam devient lycose, terré dans un immeuble immonde au loyer excessif et aux fuites de robinetterie ingérables. Les enfants. Peut-être les enfants ne sont-ils finalement plus que des êtres spumescents (jolie écume, écume grise pourquoi pas, que l’on voit s’accumuler sur les plages en hiver) ou même d’affreux aspergillus. Leur sort ne dépend plus de leurs parents trop infantilisés par le scintillant des vitrines. Ils sont livrés à eux-mêmes. Livrés comme des bêtes au temple des sans/dalle. Ils sont simplement les gonades de l’avenir, les glandes reproductrices assurant une pérennité évidente à un capitalisme rageur, crevard, affamé de non-sens, de destruction massive enjolivée.
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