AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Ann Brashares (612)


_ Nous pourrons aller où nous voudrons!
_ Et quoi d'autre?
_ Nous pourrons faire tout ce que nous voudrons. Nous pourrons nous marier. Nous pourrons ne pas nous marier et vivre dans le péché. Nous pourrons travailler. Nous pourrons ne pas travailler. Nous pourrons paresser. Nous pourrons habiter tout en haut d'un gratte-ciel. Nous pourrons décider de vivre sur l'eau, dans une maison sur pilotis. Nous pourrons faire l'amour tous les jours.
_ Deux fois par jour.
_ Trois fois par jour.
Elle haussa les sourcils.
_ Trois fois par jour?
_ Nous avons pas mal de retard à rattraper!
Elle hocha la tête.
_ Nous pourrons vieillir ensemble.
_ J'aimerais beaucoup.
_ Avoir un ou deux bébés.
Elle avait l'air si enchantée par cette perspective qu'il craignait de la décevoir, mais il savait que sa réaction ne le trahirait pas trop.
_ ça, je ne sais pas si c'est écrit dans les astres pour moi, dit-il.
Commenter  J’apprécie          120
Sans mon nom, mon histoire ne serait rien qu’un long écheveau inextricable de souvenirs.
Commenter  J’apprécie          120
- En grandissant, on apprend qu'il y a une phrase, très courte, toute simple, qui apporte bien plus de réconfort que de longs discours. Et je vais te la confier... Prête ?
- Prête.
- Au moins, j'ai essayé.
Commenter  J’apprécie          120
La confiance et l'amour sont indissociables.
Commenter  J’apprécie          120
- Tu crois qu'il l'aime d'amour ?
- Je crois qu'il l'aime tout court.
Commenter  J’apprécie          120
Elle avait envie [...] de lui demander si son amour se conjuguait à un temps du passé. Elle aurait voulu lui dire qu'elle l'aimait toujours et que, même si cet amour été sans espoir, depuis longtemps révolu, il continuait à la consummer, année après année.
Commenter  J’apprécie          120
J’aurais voulu savoir mieux t’aimer..



Il la prendrait, elle, dans ses bras, et toutes ses craintes, toutes ses appréhensions s’évaporeraient. Elle lui laisserait prendre sa vie en main puisqu’elle ne savait plus quoi en faire.
Commenter  J’apprécie          120
Peut-être qu’elle s’imaginait que le monde n’existerait plus une fois qu’elle l’aurait quitté.
Commenter  J’apprécie          120
J'ai vu la beauté dans toutes sortes de choses. Je suis tombé amoureux, et c'est elle qui continue à vivre. Je l'ai tuée une fois et je suis mort pour elle plusieurs fois, et tout cela en vain. Je la cherche désespérément; son souvenir me hante. Je garde espoir qu'un jour ou l'autre elle se souviendra de moi et me reconnaîtra (P.10)

La pauvre mécanique de ta cervelle d'oiseau a eu raison de toi, et l'oubli seul était ta planche de salut (P.37)

Lorsque je me revois dans cette vie, c'est en général d'un point de vue extérieur. J'ai l'impression, malgré le souvenir que j'en ai, que ce n'était pas encore moi. Que c'était quelqu'un qui allait devenir qui je suis, et que j'observe cette personne de loin. Peut-être est-ce ainsi qu'il faut procéder pour pouvoir vivre avec. (p.42)

-Tu aimes tes souvenirs, mais c'est ton amie que tu dois aimer, lui recommanda-t-elle en guise d'adieu. Tu te souviens de ce qui est perdu, et tu oublies ce que tu as sous les yeux.
Il comprenait ce qu'elle essayait de lui dire, mais il ne raisonnait pas comme elle et ne lui ressemblait pas.
-Si j'oublie, qui se souviendra? s'enquit-il avec une irrépréssible mélancolie. Cela n'existera plus.
-Cela n'existe déjà plus, soupira-t-elle. (p.295)
Commenter  J’apprécie          120
Alice attendait Paul sur le quai. Il avait laissé un message inaudible sur le répondeur, pour prévenir qu'il arriverait par le ferry de l'après-midi. C'était tout lui. Il ne pouvait pas préciser s'il prenait celui de 13 h 20 ou celui de 15 h 55. Elle était là depuis une éternité, plantée devant le panneau des horaires, à essayer de deviner ses intentions.
En se maudissant intérieurement, Alice s'était postée sur le ponton dès 13 h 20, sachant pertinemment qu'il ne serait pas à bord du premier bateau. Elle avait vaguement regardé défiler les visages des passagers qui en descendaient, en se répétant que, de toute façon, elle était venue pour rien. Elle s'était assise sur un banc un peu à l'écart, pieds nus, son livre sur les genoux, pour éviter d'avoir à entrer en contact avec quiconque. En pensée, elle le détrompait : «Je sais que tu n'es pas dans ce bateau, Paul ! Ne va pas t'imaginer que je me fais des idées.» Mais même là, sous son contrôle, il restait taquin et imprévisible.
Avant l'arrivée du ferry de 15 h 55, elle étala du baume sur ses lèvres et se brossa les cheveux. Le suivant était à 18 h 10, ce que Paul aurait raisonnablement appelé «le soir». À moins qu'il n'ait raté le «ferry de l'après-midi», comme il disait, ce qui était fort possible.
Commenter  J’apprécie          120
"Il est tout à fait naturel de ne pas prendre la mesure des choses qui font partie de notre quotidien et de les sacrifier sans réfléchir, sans hésiter. Je te demande solennellement de ne pas commettre cette erreur."
Commenter  J’apprécie          110
"On ne peut pas toujours faire cohabiter son passé et son avenir."
Commenter  J’apprécie          110
Il y a beaucoup de choses comme ça dans la vie. Des choses qu'on ne peut imaginer, et pourtant quand elles arrivent, on sait qu'elles étaient inévitables.
Commenter  J’apprécie          110
" l'amour c'est comme la guerre, on sait quand ça commence mais jamais quad ça fini "
Commenter  J’apprécie          110
Elle voulait qu'il voie tout d'elle. Elle voulait qu'il ne voie rien d'elle. Qu'il soit ébloui par chaque détail, aveugle à ensemble. Qu'il ait une vision globale, pas morcelée. Ses désirs semblaient inconciliables.
Commenter  J’apprécie          110
Il sait. J'ignore quoi, mais il sait quelque chose. A mon sujet. Il sait que je suis différente, qu'il y a un truc qui cloche chez moi. Et il le sait depuis longtemps. C'est pour ça qu'il s'occupe de moi, je suis sa bonne action permanente. Il sait que je ne peux pas parler, et il n'insiste pas, mais il m'observe, il essaie de comprendre. Il y a des moments de transparence entre nous où je sens tout ça aussi.
Commenter  J’apprécie          110
Se souvenir, c'était facile, mais vivre, c'était plus dur.
Commenter  J’apprécie          110
J’étais si proche de toi… Soudain tu as disparu. Tu m’as laissée croire en toi, puis tu m’as laissée tomber. C’est comme ça que tu fonctionnes ? Tu fais croire aux gens que tu es proche d’eux pour mieux les décevoir ?
Commenter  J’apprécie          110
Parfois, on a besoin de se dire ce qu'on a besoin d'entendre.
Commenter  J’apprécie          110
" Il y a des moments dans la vie ou tout bouge, tout change. Les grands bouleversements ne se produisent pas toujours par étapes, parfois tout change d'un seul coup. C'est ce qui nous est arrivé. Ce jour-là, nous avons découvert que les amis peuvent vous apporter des choses dont les parents ne sont pas capables."
Commenter  J’apprécie          110



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ann Brashares Voir plus

Quiz Voir plus

Quatre filles et un jean

A qui appartient le jean à l'origine?

Carmen
Tibby
Bridget
Lena

6 questions
283 lecteurs ont répondu
Thème : Quatre filles et un jean, tome 1 : Le premier été de Ann BrasharesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}