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Citations de Ann Brashares (612)


Aimer ou être aimée, là est la question.
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Elle se tourna vers l'horizon, cette ligne floue entre le ciel et la mer, vers le grand vide, l'endroit où allaient toutes les choses qui lui étaient arrachées.
Sauf que, ce matin là, l'horizon n'était pas vide. Ce matin là, elle pouvait à peine ouvrir les yeux parce qu'il y avait quelque chose d'immense, de flamboyant au beau milieu. Le soleil.
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Au cœur d'un été inoubliable,une histoire avec de liens d'amitiés très forts se crée entre 4 amies: Carmen,Tibby, Bridget et Léa.

RECOMMANDÉ!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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" Toujours main dans la main, nous nageons jusqu'à ne plus avoir pied. C'est effrayant, dangereux, mais c'est aussi palpitant.
Car qui sait ce qui peut arriver ?"
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J’ai du mal à supporter qu’une telle souffrance puisse être résumée en une phrase correcte avec des mots ordinaires. On peut même la résumer en un mot : épreuve.
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J'aime sentir son cœur battre contre ma tempe. Il bat en rythme avec la rivière qui coule à nos pieds.
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Pour nous, c'est tout l'un ou tout l'autre. Il n'y a pas d'étape intermédiaire entre l'isolement physique total et la relation sexuelle. Ce qui, par conséquent, rend généralement cette dernière assez impersonnelle et éprouvante.
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Parfois, j'ai l'impression d'entendre exclusivement ce que nous ne disons pas. De penser seulement ce que je ne devrais pas penser et de ne me souvenir uniquement de ce que je devrais oublier.
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Des gens comme toi, qui sont nés ici et maintenant. Bref, pas nous.
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Mais les gens d'ici ont une drôle de manière d'agir pour éviter le désastre. Ils organisent la journée mondiale de la planète et achètent des produits bio pour se donner bonne conscience. Comme s'il suffisait de porter des chaussettes en chanvre et de dormir dans des draps en coton produits sans pesticide pour y changer quelque chose. En revanche, personne ne s'attaque au plus important. Parce que ça leur coûterait trop. Personne n'est prêt a faire les sacrifices nécessaires.
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Les inondations, la sécheresse, les tempêtes endommagent la surface de la Terre. Les habitants ont à peine le temps de se remettre d'une catastrophe qu'un autre désastre s'abat sur eux. Le prix des produits de base comme le blé et le riz monte en flèche. Les gouvernements sont renversés parce qu'ils sont incapables de nourrir leurs peuples.
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Les pôles se réchauffent, la calotte glacière fond, le niveau de la mer monte. Cela progresse assez lentement si bien que les gens pensent pouvoir s'adapter. Je me rappelle avoir vu les ruines d'immenses digues qui avaient été construites le long des côtes dans les années 40, pour lutter contre la mer.
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Livre qui nous prouve que le vrai amour existe et qu'il ne faut pas désespérer parce que même au fond du gouffre il y a toujours un moyen de s'en sortir...
Bonne chances aux prochains lecteurs qui risquent sûrement de verser toutes les larmes de leur corps!
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Maman me reproche sans arrêt de passer trop de temps dehors.
Elle dit que les jeunes d'ici restent à l'intérieur.
Elle a raison. Ils regardent la télé, sont sur l'ordinateur, au téléphone ou jouent aux jeux vidéo. Non que ce soit dangereux ou interdit, ils peuvent aller dehors quand ils veulent. Au contraire, leurs parents les poussent à sortir. Mais ils préfèrent rester dedans.
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12 février 2011

Cher Julius,

Tu n'imagines même pas tout ce qu'on trouve ici.
Dans un endroit immense qu'ils appellent "centre commercial", ils ont réuni une ville entière de magasins où ils vendent des millions et des millions de choses, beaucoup plus que les gens ne peuvent en acheter.
Pas parce qu'ils n'ont pas les moyens, pour la plupart, mais parce que leur maison est déjà tellement remplie qu'ils n'en ont pas besoin.

Quand le centre commercial ferme, le soir, les rayons sont encore presque aussi pleins que le matin. Les gens ne se précipitent pas pour acheter, ils ne font pas la queue. Ils se baladent au milieu de tous ces trucs dont ils n'ont même pas besoin. Et c'est NORMAL.

Je ne sais pas d'où viennent tous ces objets car on ne voit jamais personne les fabriquer.

Bisous,
Prenna
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Je me fige en entendant le vrombissement sournois d'un moustique.
Je le guette, tendant l'oreille. (...)
Là d'où je viens, les moustiques étaient notre plus grande peur, la peur centrale autour de laquelle gravitaient toutes les autres. (...) Difficile de se défaire de ces angoisses, même maintenant. Ici, ils ne sont pas porteurs de maladie, mais pour moi, ils sont porteurs de souvenirs atroces et de cauchemars.
PAS ENCORE. Ils ne sont pas encore vecteurs de mort. (...)
C'est les moustiques qu'il faut craindre lorsque le monde devient plus chaud et plus humide. Parce que, alors, le territoire du moustique s'étend à la Terre entière et sa saison à l'année complète.
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Cela fait quatre ans que j'habite ici et je n'en reviens toujours pas.
Quelle beauté. Au début, c'était trop pour moi - les sons, les couleurs, les odeurs, le chant des oiseaux, les facéties des écureuils, le simple fait de pouvoir rester dehors. J'étais sous le choc.
Maintenant, je savoure tout cela intensément chaque jour.

Je suis abasourdie par la luxuriance, la générosité de la nature, par tout ce qu'on peut planter, cueillir, ramasser, par les endroits où l'on peut se baigner.
Les gens d'ici prétendent que les plus belles choses ont déjà disparu, mais ils se trompent. Ils ont encore tant à perdre.
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J'avais des difficultés respiratoires. Ma mère disait que c'était une chance incroyable d'avoir été sélectionnée pour le voyage [temporel] malgré mon asthme. Elle affirmait que mon "QI exceptionnel compensait". (...)
Mais en février, j'ai attrapé un rhume qui a dégénéré en pneumonie.
Ma mère a pu établir le diagnostic parce qu'elle est médecin généraliste (...)
Un capteur mesurait mon taux d'oxygène, qui était très bas.
Je n'arrivais pas à respirer, à remplir mes poumons d'air. Si ca ne vous est jamais arrivé, je peux vous dire que c'est affreux.
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- Comment peux-tu dire ça ? Je ne suis même pas censé être née ! Ce n'est pas naturel. Le temps ne veut pas qu'on soit ensemble.
- Le temps ne veut rien. C'est toi qui l'as dit, il me semble.
- Oui mais…
- Nous sommes ensemble. Le temps ne décide pas de tout
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Du jour où je t’ai aperçue ici, au bord de la rivière, Prenna, je n’ai jamais cessé de penser à toi. Je ne t'ai pas vue pendant deux ans, pourtant pas un jour tu n’as quitté mes pensées. Le fait que j'ai été là au moment tu es arrivée, que je vois les choses que je vois, que nous ayons accompli cette folle mission ensemble… ça prouve que nous sommes faits l’un pour l’autre.
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