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3.24/5 (sur 94 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Philadelphie, Pennsylvanie , le 08/07/1952
Biographie :

Anna Marie Quindlen est écrivain et journaliste.

Née d'un père irlandais et d'une mère italienne, elle est diplômée de Barnard College à l'Université Columbia en 1974.

Elle est l’auteur de plusieurs best-sellers, dont "Contre Cœur" ("One True Thing", 1994) dont le film éponyme a été adapté en 1998 avec Meryl Streep et Renée Zellweger, "Noir comme l’Amour" ("Black and Blue", 1998), "L’Enfant sourira peut-être" ("Blessings", 2002) et "Tous sans exception" ("Every Last One", 2010).

Elle a également écrit des essais tels que Petit Précis du bonheur.

Journaliste célèbre, elle a signé dans le New York Times une série de chroniques qui lui ont valu le prix Pulitzer en 1992, ainsi qu’une autre série pour Newsweek, de 2000 à 2009.

Anna Quindlen vit à New York avec sa famille.
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Une femme sans mari, c'est comme un poisson sans bicyclette.
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"Peter est tellement européen", disaient les femmes de son entourage ; par la suite, Rebecca se demanderait si c’était leur façon de lui faire comprendre que Peter avait des aventures.
Mais ça, ce serait plus tard.
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Ainsi va le monde : des gens décident qu'ils veulent telle ou telle chose puis tentent de vous faire croire que vous le désirez autant qu'eux. (dans le prologue)
Pourtant, elle n'avait commencé à regimber lorsqu'il s'agissait de quitter son domicile que deux ans après avoir aménagé à côté de chez nous.
Dans mon esprit, l'enfance consistait en majeure partie à essayer de comprendre les adultes et de prévoir ce qu'ils allaient faire, puisque toutes leurs actions avaient des répercussions sur moi d'une façon ou d'une autre.(chapitre 6)
Ce qui me manquait le plus que tout, c'était la Mimi que j'avais été. (chapitre 10)
La conception que ma mère avait de la poussière était celle qu'un évangéliste fanatique avait du diable : elle était comme lui partout et à l'origine de tous les mots.(chapitre 13)
En fait, ce que l'on se rappelle, ce sont les petits moments étranges qui vivent en nous et qui passent de temps en temps la tête lorsque des fenêtres s'ouvrent dans notre esprit. (chapitre 21).
Référence en lecture numérique
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A la fin du dîner, la tête lui tournant un peu à cause du vin, elle s'était sentie comme chaque fois qu'elle voyageait : elle appréciait l'attrait de la nouveauté mais aurait préféré la contempler depuis sa maison et dans des vêtements confortables.
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This sense of women reading, reading, always reading, was in fact reinforced by what I read […] There are very few books in which male characters, much less boys, are portrayed as devoted readers. Actually, there are far fewer coming-of-age books for boys in general, and most are unabashed action stories: raft rides, pirate ships, and battlefields. By contrast, friendship and reading are the central themes of much of the best-loved literature for girls.
When I was younger, I figured that this was because we women had so little to do in the world that the closest we would ever come to real life was to read about it. In fact, that’s probably why I loved reading so myself; part of my dissatisfaction with my life was clearly, in retrospect, a dissatisfaction with the traditional roles available to me as a girl at the time, neither of which—nun or housewife, take your pick—particularly suited my temperament.
But it may also be true that the psychology of women lends itself to a keen interest in the vicarious experience of life.
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Perhaps it is true that at base we readers are dissatisfied people, yearning to be elsewhere, to live vicariously through words in a way we cannot live directly through life. Perhaps we are the world’s great nomads, if only in our minds. I travel today in the way I once dreamed of traveling as a child. And the irony is that I don’t care for it very much. I am the sort of person who prefers to stay at home, surrounded by family, friends, familiarity, books. This is what I like about traveling: the time on airplanes spent reading, solitary, happy. It turns out that when my younger self thought of taking wing, she wanted only to let her spirit soar. Books are the plane, and the train, and the road. They are the destination, and the journey. They are home.
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Bof,bof,bof .....
Lenteur,longueur,ennui tout au long du livre ....
Sans intérêt !
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In books I have traveled, not only to other worlds, but into my own. I learned who I was and who I wanted to be, what I might aspire to, and what I might dare to dream about my world and myself. More powerfully and persuasively than from the ‘shalt nots’ of the Ten Commandments. I learned the difference between good and evil, right and wrong. […] There was waking, and there was sleeping. And then there were books, a kind of parallel universe in which anything might happen and frequently did, a universe in which I might be a newcomer but was never really a stranger. My real, true world. My perfect island.
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The writers of books do not truly die; their characters, even the ones who throw themselves in front of trains or are killed in battle, come back to life over and over again. Books are the means to immortality […] Through them all we experience other times, other places, other lives. We manage to become much more than our own selves. The only dead are those who grow sere and shriveled within, unable to step outside their own lives and into those of others. Ignorance is death. A closed mind is a catafalque.
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Je suis souvent perturbée par la particularité de mes sentiments pour Ruby. Peut-être est-ce parce qu’elle est mon premier enfant, que j’étais si jeune quand elle est née, et que j’ai découvert qui j’étais en apprenant à la connaître. J’ai découvert que je pouvais me passer de sommeil, de stimulant, qu’en me forçant un peu, je pouvais m’améliorer. Je me sentais fière d’avoir survécu à ses coliques, à sa chute du lit, à la fois où ses doigts minuscules s’étaient coincés dans la porte.
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