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3.96/5 (sur 306 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Anna Wayne vit dans le sud de la France où elle partage sa vie entre son mari, ses trois jeunes enfants et sa passion pour les livres. Elle a déjà publié Rock Me,Play Meet Teach Me

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Citations et extraits (79) Voir plus Ajouter une citation
On ne peut pas sauver quelqu'un qui refuse de l'être.
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Nos peaux s'attirent, s'électrisent lorsqu'elles entrent en contact.
Peut-être parce que c'est elle.
Peut-être parce que c'est nous.
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Les nuits sont froides. Mais c’est le principe de l’hiver ; donc, pas de raison de se plaindre. D’ailleurs, c’est un des trucs qui m’agacent prodigieusement : les journalistes qui font des dizaines de reportages chaque année pour nous expliquer qu’il fait froid en hiver et chaud en été !! Ils nous prennent pour des poissons rouges anencéphaliques ou quoi ? Premièrement, dans les régions tempérées, par définition, les étés sont relativement chauds, voire très chauds, et les hivers sont froids, voire très froids. Et deuxièmement, pas la peine de le répéter plusieurs fois par an et chaque année !! ON A COMPRIS ! Et dernièrement, il suffit d’ouvrir la fenêtre et on le voit bien ! À croire que nous sommes tous vraiment très stupides. Mais bon, je suppose qu’ils ne font que leur métier. Si cela se trouve, ils doivent ouvrir le champagne quand il y a une légère différence entre les statistiques météorologiques et la réalité ; au moins, ils ont quelque chose d’un peu plus pertinent à raconter ?! 
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Je ne peux pas lui dire que sur cette plage je me sens complexée et malheureusement il a raison, mon vêtement goutte de partout – ce qui n’est pas non plus super glamour. Après un moment d’hésitation, je me lance. J’enlève ma tunique et l’essore un peu. Je me dépêche de prendre mon sac pour me couvrir un peu, tel un rempart entre mon corps et le reste du monde. Oui, ce n’est qu’une illusion mais laissez-la-moi un peu, c’est ça ou je pique la pelle d’un gamin pour m’enterrer dans le sable puisque courir comme une dératée n’est pas envisageable – nous sommes trop loin de l’appart. Oui, c’était ma première idée.
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Nom de dieu, cette fille ! Quand je suis monté porter sa valise dans sa chambre et que je l’ai vu endormie, si belle, si sensuelle, allongée dans ce grand lit… Je me suis surpris à la mater. Ce n’est que quand elle s’est retournée sur le côté que je suis sorti de ma transe. Je me suis vite éclipsé sans trop comprendre ce qu’il s’était passé. Mais, ensuite, quand elle est descendue manger dans sa petite robe mauve… et ses chaussures… Comment est-ce possible que des bouts de cuir me donnent envie de la baiser avec ces escarpins pour seul habillement ? Ses jambes enroulées autour de ma taille…
Nous voilà dans la même pièce, au milieu de nos amis et quelques membres de la famille d’Oli que je ne connais pas bien. De toute façon je ne suis pas parvenu à détacher mon regard de cette femme. Maya. Même son prénom m’excite. Je suis sûr que c’est la frustration des derniers mois qui provoque cet effet sur moi. C’est impossible de ne penser qu’à une femme, avec qui je ne m’entends même pas. Enfin, c’est vrai que je n’ai pas vraiment fait d’effort pour la connaître… Mais, si déjà je deviens fou rien qu’en la voyant, qu’est-ce que ça serait si je devais parler avec elle, rire avec elle… Non. Garder ses distances a fonctionné jusque-là, il faut que je continue ainsi. Je suis même sûr qu’en couchant avec suffisamment de filles, je finirai par faire sortir Maya de ma tête.
Quand elle s’est enfin décidée à retourner dans sa chambre, j’ai pu de nouveau respirer. Je suis tout de même, moi aussi, monté, car cette tension m’a vidé.
Après avoir salué tout le monde, je grimpe les escaliers et c’est en rentrant dans ma chambre que je réalise que j’ai pour voisine Maya… C’est une blague ? Putain. Il ne manquait plus que ça. Elle va dormir de l’autre côté de ce mur. Étendue sur les draps blancs de son lit. Est-ce qu’elle dort nue ou bien avec une petite nuisette ? Non, si cela se trouve elle porte un vieux pyjama. Mais même en l’imaginant ainsi, elle me fait de l’effet. Elle va avoir ma peau. Il me faut une douche froide. Une longue douche bien froide. J’enlève mon tee-shirt et le balance par terre. En entrant dans la salle de bains, je commence à déboutonner mon jean. Mais mes mains s’arrêtent au deuxième bouton, car je viens de faire un arrêt cardiaque.
Elle est là. Devant moi. Sous la douche. Nue. L’eau ruisselant sur son corps de déesse. Sa peau légèrement halée. Ses mains derrière sa nuque, elle laisse la chaleur l’envelopper. Il y a de la buée mais pas assez pour que je rate le moindre centimètre carré de sa peau parfaite. De ce corps parfait.
Elle se retourne et me voit. Elle devrait se mettre à hurler ou à m’engueuler. Je la mate sans vergogne et ma queue a réagi au quart de tour. Déjà habillée, Maya me rend complètement dingue, mais nue… En l’apercevant j’ai bien cru que j’allais avoir un orgasme. Elle ne me quitte pas des yeux, et son regard, d’abord surpris, se transforme peu à peu, à mesure qu’il descend le long de mon corps. Quand elle arrive au niveau de mes mains, toujours positionnées à proximité de la preuve de mon excitation… ce n’est plus de la surprise, mais du désir que je lis dans son regard. Et quand sa petite langue pointe pour venir lécher sa lèvre inférieure, il ne m’en faut pas plus. En deux enjambées, je suis devant la douche. J’ouvre d’un coup les portes qui me séparent de l’objet de mon désir. Pas besoin de dire quoi que ce soit, Maya se jette dans mes bras, ses lèvres sur les miennes, sa langue contre ma langue. C’est puissant et intense. Toutes la tension de ces derniers mois se libère enfin. Je ne pense à rien, si ce n’est à lui donner autant de plaisir que j’en reçois.
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Chapitre 7 : Ivy
Choose (David Guetta - feat. Ne-Yo, Kelly Rowland)
" - nous partirons demain dans la soirée. D'ici là, réfléchissez à ma proposition. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à me les poser. Je vais vous donner mon numéro de portable.
Il me tend la main comme s'il attendait quelque chose.
- Si vous me prêtez votre portable, je pourrai enregistrer mon numéro.
OK. Ça y est, il a repris son ton «Je parle à une idiote profonde».
- Oui, ou vous pouvez me le dictez, je lui réponds sur le même ton en sortant mon téléphone, mais en le gardant à a main.
Il me dicte son numéro.
- Envoyez-moi un SMS. Comme ça, j'aurai le vôtre, continue-t-il.
- Ou pas. Vous n'avez pas besoin de mon numéro pour l'instant, que je sache.
Je sais, je fais ma chieuse, mais je ne suis pas à son service. pas encore. Alors, je préfère garder encore mes distances. Lui obéir au doigt et à l'œil dès maintenant pourrait créer un fâcheux précédent. Autant qu'il comprenne tout de suite que je ne suis pas un chien qu'il siffle quand bon lui semble ! SI j'ai accepté d'être le paillasson de Ducon pendant deux ans, c'est bel et bien fini !
Vu sa tête, mon attitude lui déplaît fortement. Habitue-toi dès maintenant Damon, car ce n'est que le début. Au moins, s'il veut toujours m'embaucher après ma minirébellion, c'est plutôt bon signe.
- Bon. Est-ce que vous restez avec Matthew aujourd'hui ? je demande à Damon.
- Jusqu'à ce soir. Après, je dois rentrer à l'hôtel pour organiser les derniers préparatifs avant demain soir. Pourquoi ?
- J'ai des choses à faire.
- Quoi comme choses ?
Il se moque de moi ? Je le regarde, incrédule...
- Des choses. Qui ne vous regarde pas.
- Et si j'ai besoin de vous joindre.
- Eh bien, essayez les signaux de fumée.
Je me lève et sors du bureau."
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– On te l’a déjà fait, le coup de « Je vais mourir si je ne couche pas avec toi » ? je lui demande.
Je ne devrais pas poser cette question, car je sens monter en moi un sentiment de… jalousie ? Si elle me dit qu’un mec a déjà couché avec elle en lui disant ça, je sens que je vais avoir une terrible envie d’aller voir ce type pour lui expliquer la vie. Même si à l’époque il ne devait être qu’un jeune petit con.
Ivy sourit.
– Oui, on me l’a déjà dit.
Merde. J’essaie de garder mon calme pour ne pas lui montrer à quel point parfois je peux être irrationnel.
– Et ?
– Et je lui ai répondu que je viendrais à son enterrement.
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Je la sens qui se réveille, et mon angoisse augmente. Elle s’étire doucement comme le ferait un chaton. Elle se colle à moi encore un peu plus, et la voir aussi lascive ne me permet plus de contrôler mon érection. J’ai beau repenser à ma prof de sport du collège – elle faisait un mètre quatre-vingts, culturiste, et arborait une moustache -, technique d’habitude infaillible, mais là… J’essayais pourtant de mettre toutes les chances de mon côté pour ne pas qu’Abbi panique, et une érection trop… embarrassante pourrait lui faire croire que je pense qu’à ça. Les petits gémissements qu’elle émet en s’étirant sont si sexy… Je me demande, l’espace d’une seconde, s’ils ressemblent à ceux qu’elle pousse au moment de l’orgasme. Déplacée, très déplacée comme pensée. Et pas vraiment recommandée quand on ne veut pas bander.

Abbi est tournée vers moi, le long de mon corps. Son bras en travers de mon torse, une main sur mon cœur. Dès qu’elle va se rendre compte de la situation, elle va sentir mon cœur qui bat des records de vitesse. Sa cuisse remonte le long de mes jambes, puis s’enroule autour de ma taille, n’hésitant pas à frotter au passage mon érection… Ce qui n’arrange pas mon état. Vraiment pas.
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Chapitre 1 :Première rencontre :
Lizzy :
" Le plus étrange, c’est qu’avant aujourd’hui je n’avais jamais rencontré les membres des T.I.S. Je connais Liv, car elle est venue quelques fois chez mes parents, mais je ne suis jamais sortie avec ma sœur et Liv et encore moins avec Thomas ou l’un des autres membres du groupe. Je les connais, car qui ne les connaît pas, mais sans plus. Quand Thomas est arrivé, il m’a tout de suite mise à l’aise et il est vraiment très gentil.
Nous sommes dans le salon en train de boire un peu d’eau et Maya vient de raconter une anecdote arrivée à son collègue et ami Edward à leur laboratoire de recherche, quand j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Je me retourne pour voir qui vient d’arriver et je me fige. Ouah ! Je le reconnais. C’est Oliver, le claviériste du groupe et meilleur ami de Thomas. J’avais vu des photos de lui, mais en vrai… Ouah !
Ses cheveux blond cendré retenus en une courte queue-de-cheval, son sourire à faire fondre et ses yeux marrons clair… et ça c’est juste son visage. Mais serait-ce bien raisonnable de regarder plus bas ?
- Salut, la petite sœur. Comme tu es la seule que je ne connais pas, je devine que tu es Lizzi. Moi, c’est Oli.
Je n’aime pas ce surnom. Enfin si je l’aime bien, mais sa façon de me parler me donne l’impression que je ne suis qu’une enfant à ses yeux. Et n’être que ça pour un mec aussi canon revient à se faire insulter.
- Mon prénom est Elisabeth en réalité et je te connais, Oliver. Maya et Liv m’ont parlé de toi et des autres membres du groupe.
J’essaie de ne pas parler de façon trop sèche or, vu l’expression de son visage, j’ai raté mon coup.
- OK, Lizzi, et je vois que tu as le même caractère que ta sœur.
Son regard est rieur, je vois bien qu’il me taquine. Et je m’en veux d’apprécier ça.
- Hey ! Je t’interdis de dire que j’ai le même caractère que ma petite sœur ! Elle est insupportable depuis qu’elle a mis un orteil sur cette planète alors que, moi, je suis ce qui se rapproche le plus de la perfection ! intervient Maya en me lançant un clin d’œil.
Je sais qu’elle blague. Premièrement ma sœur est beaucoup de choses mais elle n’est pas prétentieuse et, deuxièmement, elle m’adore et ferait tout pour moi comme je ferais tout pour elle.
- D’ailleurs, Oli, j’espère que tu vas être gentil avec ma petite sœur, car c’est un grand pas pour elle. Elle est indépendante maintenant et il faut la soutenir.
- C’est pour cela que j’ai dû me lever alors que j’ai une migraine carabinée et que vous auriez pu faire appel à des déménageurs ? s’amuse-t-il.
- Où aurait été le plaisir ? Et puis pour ton mal de tête, il fallait y penser avant de sortir et de boire trop d’alcool. Tu donnes un mauvais exemple à ma sœur, le réprimande Maya gentiment.
- Si Lizzi tient aussi bien l’alcool que Liv et toi, je ne peux pas être un mauvais exemple.
Cette complicité que l’on sent entre Maya et Oliver… C’est presque troublant. Si je ne savais pas que Maya ne s’intéresse pas du tout à lui et réciproquement…"
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Je trouve donc deux bouteilles de Jack Daniel’s. Je retourne dans la chambre. Les deux pustules sont en train de se rhabiller. Je tire les draps qui se trouvent à moitié par terre et l’autre moitié sur le lit. Dans le tas, je récupère également mon foulard. Je vais dans la salle de bain. Je mets tout dans la baignoire, asperge ces tissus souillés d’alcool et, avec les allumettes qui me servent habituellement pour les bougies lorsque je prends un bain, j’allume le tout.
Un peu radical ? Complètement timbré ? Bof. Si j’avais mis le feu au lit, oui. Mais là…
Après avoir sorti l’extincteur du placard, l’Enflure, encore en caleçon, s’agite dans tous les sens pour éteindre le feu dans la baignoire. Allez savoir pourquoi, il n’a pas eu l’idée d’ouvrir l’eau de la douche… Ce n’est pas à vingt-cinq ans que des neurones vont apparaître dans son cerveau ramolli.
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