(..) le registre fantastique me paraît être le meilleur registre pour capter nos joies, nos souffrances, nos tragédies. Aussi, il permet de nous rappeler que nous sommes tous des monstres. Nous sommes certes des entités biologiques, mais nous possédons aussi une âme. Nous sommes mortels tout en croyant à la vie après la mort. Nous aimons, aussi, de tout notre coeur, même si l'on est également capable de tuer…
(dans un entretien avec le magazine "Lire" )