Le Québécois moyen est de nature réservée à l’état brut (à moins d’être une brute) et pour qu’il sorte de sa coquille et qu’il ose faire les premiers pas, il doit souvent
être saoul. En fait, c’est l’idée et l’expérience que j’avais de la drague. Me faire siffler à la sortie d’un bar à trois heures et demie du matin alors que le pauvre gars puant de bière
et de sueur a été mis à la porte ? Non merci. Pathétique et déprimant.