Fabien erre sur la splendeur d'une mer de nuages, la nuit, mais plus bas c'est l'éternité. Il est perdu parmi des constellations qu'il habite seul. Il tient encore le monde dans ses mains et contre sa poitrine la balance. Il serre dans son volant le poids de la richesse humaine, et promène désespéré, d'une étoile à l'autre, l'inutile trésor qu'il faudra bien rendre.