La première chose à laquelle on pense, ici, c'est à quel point est trop le trop que notre époque nous offre, au moins à nous qui sommes du bon côté. Mais regarde donc les chèvres : elles vivent de rien, elles mangent les ronces, elles lèchent même le sel. Plus je les regarde, plus elles me plaisent, les chèvres. (p.14)