Les gens sont prisonniers de schémas et de comportements dans leurs rapports familiaux. Ils ne sont plus capables de distinguer entre leur moi individuel et leur moi familial, et toute nouvelle approche leur parait impossible. Au kibboutz, c’est la même chose, avec cette différence qu’il s’agit d’une famille de trois cents personnes.
(Fayard, p. 266)