Alors que le prestige traditionnel des grandes familles corses reposait au XIXe siècle sur la possession de biens fonciers privés leur permettant de s'attacher une clientèle de petits paysans dépendant de la terre, il va désormais dépendre des biens publics divisibles que sont les transferts financiers, les aides publiques ou les postes de fonctionnaires.
Cette ambiance de James Bond à la sauce Corse ne fait que confirmer l'idiotie d'une enquête qui emprunte toutes les routes sans suivre une direction claire.