Pour juguler cette délinquance, la municipalité avait eu une idée lumineuse qui résumait à elle seule le déni qu'elle affichait en matière de criminalité : elle avait créé un "Office de la Tranquillité". Pourquoi pas un Office de la liberté sexuelle pour lutter contre les viols, tant quand on y était ? Ou un Office de la vie saine pour combattre le trafic de drogue ?