Bertrand Solet

Ras-le-bol de la terreur que font régner le Rusé, Grosse Brute et le Fada dans la Cité. A court d'idées, un grand leur balance : « A votre place, je ferais attention : Che Guevara est mon ami, et il habite ici au septième étage. » Les trois lascars incultes se calment illico, d'autant que celui qui dit ça porte un T-shirt avec la tête du Che, justement, et le bonhomme n'a pas l'air de rigoler.

Impressionnés par l'efficacité de la menace, Grenouille, Paulo et Vincent décident, du haut de leurs dix ans, d'aller voir de plus près ce monsieur du 7e étage et discuter avec lui. Ils découvrent un vieil homme sage qui n'est évidemment pas Ernesto, mais connaît bien sa vie, la leur raconte, leur parlant, via l'exemple de la révolution cubaine, d'oppression, de révolte, de solidarité, et donc d'espoir.



Bonne idée de faire découvrir un personnage historique aux enfants à travers un roman simple dont les protagonistes leur ressemblent. L'auteur montre également par ces échanges inter-générationnels que les 'aînés' sont des passeurs de relais sur un passé dont on a beaucoup à apprendre...

Dans une postface de deux pages, Bertrand Solet explique qui fut le Che. Il 'oublie' juste de mentionner qu'une révolution, aussi nécessaire et bénéfique soit-elle pour un peuple opprimé, provoque aussi des dommages collatéraux...

73 ans après que Vercingétorix ait rendu les armes face à Jules César.

L’un est gaulois, l’autre est romain. Ils ont grandi ensemble dans une grande propriété romaine du pays des Carnutes. Diatorix et Marcus vivent comme des frères de jeux, chasse et insouciance jusqu’au jour où Diatorix est enlevé en pleine nuit. Emmené loin de chez lui, il rencontre un druide qui lui dévoile la vérité sur son passé et la mort de son père, chevalier. Un évènement qui change à jamais le cours de sa vie.



Un très bon roman historique qui nous plonge au cœur de la Gaule romaine au moment où se fomente la révolte des Carnutes. Si Rome est loin, les impôts accablent le peuple et l’oppression romaine est vivement ressentie. Il en faut peu pour se retrouver en prison en attendant d’être livré dans l’arène face à quelques bêtes sauvages.

Les druides sont pourchassés car ils ont de tous temps réunis les nombreuses tribus souvent divisées et entretiennent un sentiment national. De par leurs qualités de prêtre, médecin, enseignant et juge, ils perpétuent la culture gauloise. Diatorix était d’ailleurs convaincu qu’aucun druide n’existait plus, avant d’en rencontrer un.

Bertrand Solet a su camper efficacement ses personnages et nous offre un récit riche en émotions diverses, où le rythme ne manque pas. La psychologie est suffisamment développée pour rendre crédible les revirements. Il a habilement mêlé les explications historiques dans les propos des personnages, ainsi le lecteur connait les enjeux mais le texte reste très agréable à lire.



Un roman déjà ancien qui suscite pourtant l’envie de lire autant que celle de découvrir une page de notre Histoire. Ne le laissons pas tomber dans l’oubli !

Ce récit aborde l'affaire Dreyfus par une narration à la portée des jeunes lecteurs.



C'est avec quelque émotion que je me souviens avoir lu ce roman étant enfant. Emotion due en grande partie à la perplexité dans laquelle il m'avait plongée car c'était la première fois que je découvrais un récit touchant à la (in)justice, à la judéité d'un individu, à la politique, à l'antisémitisme, au XIXème siècle, à l'Armée... Vous conviendrez que ça fait beaucoup pour une jeune lectrice, trop sans doute pour lui faire comprendre toute l'importance des enjeux de l'Affaire. Cependant, il reste important de sensibiliser les enfants à ces thèmes car ils comprennent beaucoup de choses et parfois avec une meilleure approche que les adultes parce que moins cérébraux et plus sentimentaux. Ainsi, ce roman m'avait marquée à la lecture puis interrogée. Quand, plus tard, je fus plus à même de démêler et d'apprécier chaque aspect de la situation, j'ai été contente d'en savoir déjà "un p'tit bout" et de ne pas être dans l'ignorance totale.

Petit recueil de contes et légendes de Vikings, sur leurs Dieux, les géants et les nains.

On suit aussi les histoires de ces marins conquérants, débarquant sur les côtes de Normandie, s'enfonçant dans les terres en pillant tout sur leur passage. Avec leur goût de l'aventure et de la conquête, on les retrouve en Islande, au Groenland, sur le continent américain, bien avant Christophe Colomb.

C'est un peu compliqué d'écrire un avis objectif sur ce petit roman jeunesse sur Vercingétorix, après avoir lu et être en train de lire du "Brunaux" sur le sujet.

J'ai eu un mal fou à le finir alors qu'il n'est vraiment pas long. On voit Vercingétorix par les yeux d'un de ses soldats. Côté "histoire", C'est écrit pour les très jeunes et à cet égard, je pense que la mission est remplie, on apprend assez facilement le déroulé des événements, comment Vercingétorix a rallié certaines tribus gauloises (pas toutes, si cela avait été le cas, il aurait sans doute gagné sa croisade anti-romains), puis sa politique de la terre brulée, la prise d'Avaricum par J. César, jusqu'à la bataille d’Alésia.



Par contre, la façon dont c'est écrit ne m'a pas plu. Côté historiette, On assiste le plus souvent à des dialogues entre Romuat (le "héros", soldat de Vercingétorix), et Ciniac, un ami qui veut épouser la soeur de la femme de Romuat. Cela est le prétexte à nous décrire la vie des Gaulois lors de cette période.



Donc, depuis le quotidien, en passant par la stratégie de César de diviser pour mieux régner, et jusqu'aux méthodes pour se battre, tout y est, oui. Mais j'ai eu un mal fou à le lire. C'est assez aride, décousu, et il manque très nettement une (ou plusieurs) carte géographique pour montrer (surtout à des enfants) les déplacements des troupes des uns et des autres.



Bref, même à des enfants (ou surtout à des enfants, en fait), il vaut mieux faire lire la bande dessinée "Vercingétorix" de la collection Glénat Fayard, beaucoup plus abordable, visuelle et parlante.

En Corse, il y a quelques siècles, Vannina est une petite fille de berger courageuse et généreuse. Alors qu'elle est s'occupée à ramasser du bois avec Orso, son petit frère, Vannina vient en aide à une vieille dame affamée. En échange de nourriture, elle donne à la petite fille un bracelet sensée la protéger du danger. Orso veut tester les pouvoirs du talisman, sans succès. Un bateau turc chargé de raffler des esclaves est signalé en vue du village. Vannina et son frère doivent se cacher dans une grotte pendant que les parents mettent le troupeau de chèvres à l'abri.

Roman classé ado à la bibliothèque, il raconte l'histoire de 3 amies à la fin de la guerre 39/45. Ce sont de grandes ados, presque des adultes vus leur comportement mais on a l'impression qu'elles sont plus jeunes dans l'histoire.

En quelques jours leur monde va basculer. Entre résistants et miliciens il faut choisir son camp. Certains feront le bon choix, d'autres par ambition ou bêtise. La famille de Ninette est assez consternante de stupidité - ou couardise... Le notable trafique mais sa fille a du tempérament et de la générosité. Manuela la cousine se trouve plongée dans une aventure qui la dépasse...

Un aperçu d'une époque bien troublée ou se mêle histoire d'amour et barbarie. Une leçon d'histoire assez rapide mais qui permet la réflexion.

Ce roman historique est formé de deux parties : la première se passe en 1791-1792, au tout début de la révolte des esclaves. Le jeune Mango s'engage dans la rébellion et se met sous les ordres de Toussaint Louverture. La seconde partie se passe en 1802, quand Napoléon tente de rétablir l'esclavage. Tout ce qui se passe entre les deux, y compris les passages plus politiques et ambigus, est décrit rapidement, par quelques résumés et surtout la plupart des apparitions de Toussaint Louverture, qui laissent deviner des profondeurs et des complexités.



Le contexte social et politique de l'époque est bien rendu - ce n'est pas pour autant un roman philosophique, mais un roman d'aventure pour la jeunesse. Deux fois, à dix ans d'intervalle, Mango affronte le lieutenant Varenne, un aventurier brillant mais sournois et amoral. Les personnages secondaires sont Séraphin, un autre esclave révolté qui devient son ami, le capitaine Le Goff, un blanc qui lui a autrefois sauvé la vie, et la fille de Le Goff. Tout le monde se croise au cours d'une action simple mais bien menée, qui alterne batailles stratégiques, complots, dangers et évolution de relations humaines, qui sait mêler la petite histoire et la grande.



Je regrette juste que le vaudou soit montré sous un jour assez négatif, et que la république française ne soit pratiquement pas mentionnée, mais ce n'est pas un reproche objectif, juste mes centres d'intérêt personnels.

Thibault est le petit ami de Manon. Un jour, Rachid dit bonjour à Manon. Cela ne plaît pas à Thibault. En même temps, la moto de Thibault est abîmée. Il va accuser Rachid et ses amis.

Ce livre nous fait réfléchir sur les problèmes de racisme. Il se lit facilement.

Dans la nuit du 6 juin 1944, le père de Lucien, un résistant activiste, envoie son fils rejoindre sa mère dans un village à l'écart des événements. Mais en chemin, le jeune garçon tombe sur les allemands. Alors qu'il se réfugie dans les buissons pour éviter de se faire arrêter, Lucien trouve Anne-Marie, sa meilleure amie. Ensemble, ils décident de reprendre la route. Les deux adolescents ne sont qu'au début de leur périple ...



Retraçant la nuit du débarquement allié, La Nuit la plus Courte est un roman historique jeunesse palpitant qui met en scène un jeune garçon, Lucien, et sa meilleure amie.

Tour à tour menacés par les allemands, puis escortés par un soldat américain, les deux enfants vont se retrouver malgré eux au cœur de l'action. Perdus dans la campagne normande, ils vont résister à leur façon aux côtés d'une poignée de soldats près de la ville de Saint-Lô.

Un bon roman jeunesse, très pédagogique, qui joint l'utile à l'agréable.

Il était un capitaine a été écrit et dessiné par Bertrand Solet. Le livre a été publié en 1972. Il mélange biographie et roman historique.



En 1894, un officier français est accusé de trahison envers l’État Major. Le Capitaine Dreyfus est jugé coupable. La cause ? C’est un juif et à cette époque, peu de personnes considéraient les juifs comme des individus à part entière dans la société. Le journaliste Maxime Dumas est sur le coup, l’affaire Dreyfus est à la une de tous les journaux mais il se pourrait bien que l’armée se soit trompée de traître… Ce livre parle de l’injustice et le racisme envers les personnes juives ce qui m’a marquée.



Mon personnage préféré est le journaliste Maxime Dumas car son personnage évolue au cours de l’histoire le faisant changer de camp au bonheur de tous ceux qui sont sensibles à la justice.



J’ai trouvé ce livre assez long avec un vocabulaire compliqué dû au fait que cette histoire se passe à la fin du XIXème siècle. Je conseille donc plutôt ce livre aux grands lecteurs amoureux d’Histoire.

Jehan de Loin et un homme qui a un ours pour divertir les rois ou des paysans avec sont ours il leur fait des spectacle mais en essange ils doivent leur donner de l'argent, il na pas de maison fixe on ne parle pas de c'est parents a croire qu'ils sont décéder. Il doit aller chez un roi pour divertir plusieurs mètre.

Sur le chemin pour aller chez se roi , il a croiser un adolescent et cette adolescent vouler retrouver sa mère car le chef de chevalier de se roi a prix sa mère comme esclave dans le châteaux et le jeune la dit a Jehan de Loin et donc se jeune va aller retrouver sa mère mais a pas réussi a le retrouver.

Et a se moment jehan de loin et entrain de faire le spectacle avec sont ours et il se souvient de l'histoire du jeune car il a entendu un bruit donc il bloc la seul porte d'entrer

Jehan de Loin doit avoir entre 25 et 30 ans,se livre et intéressent mais il manque un peut de suspense .

Mon avis et que se livre et intéressent mais il change trop de scène ,il manque de suspence et les jeunes sont toujours là où il faut pas.

Moi je trouve que Jehan De Loin à agit comme un héros moi j'aurais agit de là même minière que lui ,il et courageux et son ours et très obeillissent et il fait se que Jehan De Loin à dit .

Dylan.D 5e1

Yaté ne connaît pas grand chose du Mali ; pour lui, qui vit en Seine-Saint-Denis avec sa famille, son pays d'origine est avant tout un lieu de vacances. Il est très content d'y aller pendant l'été, au même titre qu'il est fier de ses parents qui ont su migrer en France quelques années plus tôt pour assurer la survie de Yélimané, sa région natale. Or l'histoire de ses ancêtres ne le passionne pas spécialement ; à vrai dire, ce qui perturbe le collégien de Montreuil ces derniers temps, c'est l'attitude surprenante de sa copine Carole. Alors qu'ils étaient jusqu'à présent inséparables, on dirait maintenant qu'elle cherche à l'éviter... et malheureusement, la sale impression se confirme vite. Après une rapide entrevue, Yaté comprend vaguement que la froideur soudaine de la jeune fille a un rapport avec sa couleur de peau et son statut d'immigré, mais... il n'en saura pas plus, car l'heure du départ annuel pour le Mali est proche ! Pris dans l'effervescence du voyage, il garde sa rancoeur et sa jalousie bien tapie dans un coin de sa tête : pas le temps de se morfondre et d'en vouloir à Michel, ce copain de classe qui tourne autour de Carole.



Bon, le soleil est là mais le coeur n'y est pas, même si le petit Malien s'en défend. Une nuit, Yaté est réveillé par un coup de tonnerre ; foutu pour foutu, il se lève et va faire un tour, et assiste, très impressionné, au foudroiement du vieux baobab. De l'arbre sacré sortent bientôt un couple de griots malicieux, Sita et le Guésséré, venus tout droit du passé pour lui faire connaître ses origines. Le vacancier n'aura pas le loisir de se demander s'il rêve ou pas, s'il veut savoir ou pas : le voilà téléporté "un peu après l'an 1000", au temps où l'empire du Wagadou prospérait...



Pour quelqu'un qui, comme moi, ne sais quasiment rien du continent africain, ce roman classé "à partir de 10 ans" est une excellente introduction à l'histoire du Mali. L'action se déploie sur trois strates temporelles : d'abord aux alentours des années 2000, "présent" du héros, puis au XI°siècle, temps de l'empire du Ghana, et enfin à la fin du XIX°siècle, pendant la conquête française.



Le lieu, par contre, reste le même : le "cercle" de Yélimané ; Yaté n'en admirera que mieux les transformations du paysage au cours des siècles, les villages devenant tour à tour champs de bataille, puis lieux de vie et de passage. Deux incursions spatio-temporelles _dont l'une, très mouvementée, au Monoprix de Montreuil feront exception à la règle.



Les temps changent, les empires s'effondrent, les pays naissent, les colons débarquent, et, par conséquent, les mouches changent d'âne. Yaté, confortablement installé sur son dromadaire, protégé par son statut de "neveu de l'Empereur de Wagadou" dans la première partie de ses aventures fantastiques, va devoir apprendre à se cacher de ses ennemis politiques, une fois catapulté en 1890.. Il accumulera assez d'émotions pour avoir l'histoire de son pays fichée à vie dans ses tripes !



Bertrand Solet a eu la bonne idée de clore l'ouvrage par un chapitre récapitulant brièvement _et très clairement_ l'histoire du Mali, depuis l'époque faste de l'Empire du Ghana jusqu'aux flux migratoires du XX°siècle.



Balancé contre sa volonté dans un passé qu'il n'a pas très envie de connaître, Yaté ne sait pas ce qui est attendu de lui ; a priori, le griot tient absolument à susciter son intérêt pour ses racines, mais ses paroles sont trop énigmatiques pour qu'il puisse en déduire quoi que ce soit. Alors il se laisse porter et suite le mouvement, jusqu'à ce qu'il rencontre LE catalyseur universel, le meilleur qui puisse exister : LA fille, celle pour qui on ferait tout. Ici, elle s'appelle Yasminha. Elle est esclave et se fait rudoyer par un chamelier plus grand et plus fort que Yaté. Mais comme chacun sait, la taille n'est rien, du moins lui n'en a rien à battre : alors il se fera son protecteur, il la sauvera de tout. De son statut de servante sans valeur ; du vice de son tortionnaire ; de la mort, même. Tel Lancelot montant dans la charrette de l'infamie pour Guenièvre, Yaté ira jusqu'à commettre un vol pour sauver sa nouvelle bien aimée. Carole ? Qui c'est, ça ?



Du coup, la mission qu'il se donne le pousse à prendre le contrôle de ses actes et de sa vie ; il ne se contente plus de suivre le convoi du marchand Moktar à dos de chameau en matant la jeune esclave. Il réfléchit, agit, apprend à demander de l'aide, et à ne plus se poser de questions. Voilà, me semble-t-il, la vraie quête d'identité du héros, plus encore que l'apprentissage de ses origines _qu'il aurait le droit de ne pas vouloir connaître, après tout.



Comme toute oeuvre fantastique qui se respecte, on n'aura pas toutes les réponses aux questions que Yaté se pose lors de son voyage dans les couloirs du temps ; le vieux baobab restera le seul à connaître le fin mot de l'histoire. Les chemins de Yélimané vaut le détour, vraiment. S'il s'adresse aux 10 - 14 ans en priorité, dites vous bien qu'il ne fera pas rêver que les plus jeunes...
Lien : http://pulco-suivezlepapillo..

Je n'ai pas réussi à le lire.



D'abord l'énoncé de sfaites assez aride. Ensuite, c'est tellement injuste que j'ai trouvé ça douloureux. Ils n'ont aucune preuve et pourtant il est arrêté, déchu sans autres raisons qu'une ffareuse mauvaise foi. ça fait peur.. . Bien plus peur que le pire livre Stephen que j'ai pu lire!

Il était un capitaine est un roman de Bertrand SOLLET,qui raconte l'histoire de Maxime Dumas (le héros de l'histoire) chargé de l'affaire Dreyfus. L'affaire qui a choqué les gens (fin XVIIe siècle/début XIXe siècle).

Le contexte historique est très chargé: (Annexion de l'Alsace par l'Empire Allemand, Antisémitisme)

Cette affaire de haute-trahison implique le Capitaine des armées Françaises (Juif) Alfred Dreyfus qui est soupçonné de collaboration avec l'ennemi (l'Empire Allemand en ce temps là)..

Au début, le héros de l'histoire est persuadé de la culpabilité du Capitaine Dreyfus. Puis grâce à l'obstination des Dreyfusards (les personnes qui ne croient pas à la culpabilité d'Alfred Dreyfus), il commença à changé d'avis.



J'ai bien aimé ce livre, car il mélange fiction et réalité, ce qui nous informe sur l'histoire de France.



"L'oeuvre en un jour noir, en une débacle s'achève, la révision. Le verdict devient l’assommoir. " est la citation qui m'a le plus marqué dans ce livre, elle vient du Figaro (Journal Anti-Dreyfussards) qui, pour ce moqué d'Emile Zola(Dreyffusard) a reprit touts les titres de ses oeuvres les plus connues, pour annoncer le verdict en défaveur d'Alfred Dreyfus.



Alexandre (3eA)

Voici l'un des livres qui m'a donné le goût de l'histoire quand je n'étais encore qu'un gamin !



Années 1780. A Saint Domingue, colonie française, la vie est douce pour les grands planteurs blancs, impitoyable pour les esclaves noirs dont la vie ne vaut que quelques écus. Mais une rumeur court parmi les cases. Un prêtre vaudou, Boukman, appel à la révolte...



D'abord pris par surprise, les blancs se ressaisissent vites. Les anciens esclaves, divisés, sont en difficulté. Jusqu'à ce qu'émerge parmi les chefs un ancien cocher. Un dénommé Toussaint Louverture...



On suit les aventures de Mango, jeune esclave évadé, dans cette guerre désespérée pour la liberté qui fait rage d'un bout à l'autre de l'île. Le style est simple et vivant, l'histoire passionnante. Je l'ai relu toute mon enfance, et je pense sincèrement qu'il m'a beaucoup apporté.

Si Jehan donne son nom au roman, les héros sont plutôt les trois jeunes paysans : Alain, Gros Guillaume et Pierrot, trois garçons qui vont tout faire pour délivrer la mère d'Alain injustement emprisonnée au château. Ils trouveront de l'aide grâce à Jehan qui cherche quant à lui à venger les meurtres de sa famille et qui va petit à petit tomber amoureux de la belle comtesse Mahaut.



Un roman assez sympathique qui fait découvrir au lecteur la vie au Moyen Age : le Seigneur, tout puissant, a droit de vie ou de mort sur les paysans qui sont proches de la famine. Mais lui-même n'est pas à l'abri des trahisons et des brigands qui cherchent à piller et à s'emparer du château.

Jehan de loin est un roman bien écrit, qui se lit facilement et dont l'action n'est jamais en reste. [...]
Lien : http://blogonoisettes.canalb..

C'est l'histoire de Jehan qui a été bien reçu au château avec son ours et sa jonglerie,arrivé au château il distrait es invités .Mais ce qu'il dit au invité inquiète Mahaut la fille du compte louis .

Jehan dit : est ce vrai que le peuple souffre et que les bûcherons se rebellent .Et qu'on enferme les malheureux dans les oubliettes ?et que la bande des écorcheur est a l'affut dans les bois ?Se peut t'il qu'après tant de violence on trouve enfin le bonheur .



j ai tout aimé

Lorenzo.R

Très jolis contes très courts et bien écrits.

Je ressors de cette lecture avec un avis mitigé.

Thibaut ne supporte pas l'idée qu'un "arabe" puisse courtiser sa petite amie. Il décide de se venger d'un soi-disant affront menant à l'exclusion de trois innocents dont la seule faute est de ne pas avoir la bonne naissance et la bonne couleur de peau...

Autant je trouve que le traitement de l'injustice basé sur les préjugés et l'hypocrisie "politique" des directions d'établissement scolaires est tristement bien dénoncé, autant je trouve les propos racistes caricaturaux et "datés".