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3.51/5 (sur 1948 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Cannes , le 17/03/1956
Biographie :

Brigitte Aubert est un écrivain français de romans policiers.

Elle grandit au cœur du Festival international du cinéma : ses parents exploitent le cinéma "Olympia". Après l'obtention d'une maîtrise en droit du travail, à la Faculté de Nice, elle entre, en 1977, dans l'exploitation cinématographique comme programmatrice art et essai à l'UGC Méditerranée, profession qu'elle continue d'exercer à l'heure actuelle.

Dès 1982, elle devient scénariste/dialoguiste et productrice pour une maison de courts métrages, RN7 productions.

En 1984, elle participe au concours de nouvelles organisé par Série Noire et TF1, et sa nouvelle "Nuits noires" est alors primée et éditée dans le recueil "Les contes des neuf et une nuits." Elle publie par la suite plusieurs romans, maîtrisant avec la même aisance de nombreux genres : suspense psychologique, aventure, espionnage, épouvante.

Elle a également écrit de nombreux romans pour un public plus jeune en collaboration avec Gisèle Cavali.

Elle obtient le Grand prix de Littérature Policière en 1997 pour "La Mort des bois" et ses livres sont traduits dans plus de dix-sept pays.

Son roman "Transfixions" (1998) a été adapté pour le cinéma (2001) sous le titre "Mauvais genres", par Francis Girod, scénario et dialogues de Philippe Cougrand.

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Source : FNAC
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La chronique de Carole S - Funerarium Notre chroniqueuse du jeudi, Carole S. ne connaissait pas les ouvrages de Brigitte Aubert avant de lire "Funeraium" (éditions Points). Et on peut dire que notre serial-lectrice est tombée sous le charme de ce thriller...


Citations et extraits (284) Voir plus Ajouter une citation
Un journal coupé en morceaux n'intéresse aucune femme, alors qu'une femme coupée en morceaux intéresse tous les journaux.
Tristan Bernard.
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Brigitte Aubert
Est-ce que l'espèce humaine aurait survécu si elle n'avait pas connu la peur ? Et donc la prudence ? Et donc la ruse ?
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Une phrase de Boileau-Narcejac me revint en mémoire, à propos de l'impossibilité d'utiliser de nos jours le thème des jumeaux dans une intrigue policière, tant il était éculé.
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- Vous avez entendu parler du PZ 40 ? C'est un dérivé de la famille des ergonoïdes hallucinogènes, mis au point par les Soviétiques. Quand il y avait des Soviétiques, ha, ha, ha ! Ils l'utilisaient dans leurs hôpitaux psychiatriques. Sur les malades "dangereux", vous me suivez ? Ça vous vide complètement le cerveau et, au bout d'un mois de traitement, même un prix Nobel n'est plus capable de manger à la petite cuillère. L'avantage est que ça ne détruit pas l'apparence physique. Les dommages se situent uniquement dans la zone cérébrale. Ainsi, comme dirait Jacques Brel, vous aurez la chance indicible d'être beau et con à la fois, à la différence que ce ne sera pas pour une heure mais pour toute votre vie...
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Laura se tenait de nouveau à ses côtés, un verre à la main. Plein à ras bord de vodka. Curieux comme quand on commençait soi-même à déraper on repérait soudain tous les autres, tous ceux qui vous étaient semblables. Ils devenaient visibles, tels des cafards jaillissant d'une faille dans un mur quand tout le monde dort.
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Il a rallongé la chaîne. Il a dit que j'étais à lui. Que je serais toujours à lui. Tout le reste de ma vie.
Rien qu'à lui.
Qu'il me brosse les cheveux.
Ou qu'il me brise les côtes.
Qu'il m'embrasse.
Ou qu'il me roue de coups.
Je suis à lui.
Pour toujours. (p. 10)
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- En tout cas, le type est très fort. Approcher ces gosses sans se faire remarquer, ne pas laisser d'indices...
- Pas forcément (...) La plupart des pédophiles bénéficient du trompe-l'oeil de l'intégration sociale. Ce sont rarement des marginaux ou des gars avec un casier. Ils agissent au nez et à la barbe de leur environnement parce qu'ils se fondent dans la masse. On ne les remarque pas. Non pas parce qu'ils sont suprêmement habiles, mais parce qu'ils n'ont rien de remarquable. (...) Le vilain méchant loup n'a pas à montrer patte blanche, il a les mains propres, il est des nôtres. (p. 217)
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Certes, j'aurais préféré siéger au jury de la Compétition officielle. C'est snob, mais bon, toute la crème du cinéma mondial ! Dommage que Clint ne soit pas là cette année. J'ai un faible pour "l'inspecteur Harry". Je rêve souvent d'avoir un magnum 45 et de le pointer sur tous les cons qui me cassent les pieds. Très politiquement incorrect, mais très gratifiant, comme fantasme.
De toute façon, dans la réalité je ne peux faire de mal à personne, à moins qu'un inventeur mette au point un flingue à détecteur thermique et guidage vocal.
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Black Dog [handicapé mental] en était arrivé à la même conclusion. Les chasseurs étaient ivres. En colère. Les hommes ivres et en colère aimaient faire du mal, avec leurs poings, leurs couteaux et ce qu'il y avait dans leur pantalon. Il avait assisté à plusieurs viols collectifs au cours de sa longue errance. Chaque fois il s'était enfui, le visage caché entre les mains pour ne plus entendre les cris. (p. 107)
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Chib se redressa un peu plus. Il se sentait de moins en moins patient et poli, ces derniers temps. Oui, la famille Andrieu avait largement entamé sa réserve naturelle de douceur angélique.
— Écoutez, il se passe chez vous des trucs vraiment bizarres, mon vieux (il appuya sur le « mon vieux »), et j’ai bien l’intention ou de découvrir qui en est l’auteur ou de porter plainte pour tentative de meurtre.
— Mais vous vous rendez compte du scandale !
— Que voulez-vous que ça me foute ? C’est dans ma tête que s’est retrouvée cette saloperie ! cria Chib en désignant la balle dans le verre, pas dans la vôtre !
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Quel chien a la petite vieille de la ruelle au début du roman ?

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