Citations de Camille Jourdy (92)
- Oh ! un gaufrier ! ... Et un rose en plus ! Ma couleur préférée ! ... Oh mon Vincent ! C'est tout à fait ce que je voulais... Quelle belle surprise tu me fais là...
- Oui bon ça va. C'est toi qui l'as choisi dans le magasin.
- Oh... Ce que tu peux être négatif... Bon allez, ouvre donc le tien maintenant.
- Oh... Un beau pull avec des étoiles sur le devant.
- Ah ! Et alors là pour le coup tu ne peux pas dire que c'est toi qui l'as choisi.
- Ah non... Ça c'est sûr, je ne peux pas dire ça.
DING DONG
- Ah quand même ! Qu'est-ce que vous foutez ?
- Grand-mère n'était pas prête. (…) Ferme pas y'a ton excitée de mère et son nouveau mec qui suivent.
- Commence pas à être désagréable, ok ?
- Si j'avais voulu être désagréable je t'aurais dit de fermer.
- J'ai fini pour aujourd'hui Mme Bertier. Je reviens demain. Il faut appuyer sur ce bouton-là quand je sonne, d'accord ? Pas celui-là, ça c'est la télécommande. Le bip est à droite, le téléphone au milieu et la télécommande à gauche.
- Vous vous rendez compte, je ne me souviens même plus de mon mari.
- Vous n'avez jamais été mariée Mme Bertier.
- Ah... C'est encore pire que ce que je croyais alors...
- J'adore tes seins.
- Pff... Tu parles, c'est plus des seins tellement ils se cassent la gueule.
- J'aime bien tes fesses aussi.
- Haha, c'est bien t'es pas difficile.
- Et puis ta peau, elle sent l'abricot.
- Ça doit être le produit vaisselle.
(échange de cadeaux à Noël)
- Oh ! un gaufrier ! ... et un rose en plus ! Ma couleur préférée ! ... Oh, mon Vincent ! C'est tout à fait ce que je voulais... Quelle belle surprise tu me fais là...
- Oui bon, ça va. C'est toi qui l'as choisi dans le magasin.
- Oh... Ce que tu peux être négatif... Bon allez ouvre donc le tien maintenant.
- Oh... Un beau pull avec des étoiles sur le devant.
- Ah ! Et alors là pour le coup tu ne peux pas dire que c'est toi qui l'as choisi.
- Ah non... Ça c'est sûr, je ne peux pas dire ça.
C’est l'histoire d'une colère assagie,
D'une enfant qui grandit
Le bleu du soir envahit la forêt
C’est l'heure des loups, des feux follets
L'heure de rentrer, de se retourner
Demain on pourra encore jouer
Aux billes, aux cartes, à la poupée
Aux cow-boys, aux brigands, aux bagarres pour semblant
Ainsi va la vie,
Et si un jour te prend l'envie
De faire une fugue pleine d'aventures, de rêves et de merveilles
Viens faire un tour dans la forêt des Vermeilles…
- Oh ! Un petit canard ! Il est trop beau... C'est bizarre qu'il soit tout seul...
- Coin coin coin...
- ??
- J'appelle sa mère.
- Ah d'accord.
- C'est ton permis ? Fais voir la photo... Wou... !
- Pas mal, hein ?
- T'as quel âge là-dessus ?
- Vingt ans.
- Hé Manu, regarde.
- Oh ! Jolie !.... Seb ! Viens voir les ravages du temps.
Quel monde !
Quand je pense que moi pour mes quarante ans
J’ai juste fait une raclette...
Hier, j'ai croisé ma mère en allant à l'ANPE. Elle sortait de chez l'esthéticienne... Une tonne de fond de teint en plus.
C'est marrant comme une bourgeoise coincée peut finir par ressembler à une vieille pute.
Il y a des choses à partir du moment où on les connaît, on les rencontre partout. C'est comme quand on vient d'apprendre la signification d'un mot de vocabulaire, alors on se met à le voir partout et on se demande comment on a pu passer tant de temps sans l'avoir entendu.
- Pourquoi je fais la gueule tout le temps ? Il me demande pourquoi je fais la gueule ? Mais parce que j'ai une vie de con !
Et puis alors je ne fais vraiment rien pour la changer...
Je suis bien trop con.
Il y a des choses, à partir du moment où on les connaît, on les rencontre partout. C'est comme quand on vient d'apprendre la signification d'un mot de vocabulaire, alors on se met à le voir partout et on se demande comment on a pu passer tant de temps sans l'avoir entendu.
J'ai ressenti le même effet avec l'épicière...
... je l'ai rencontrée en ville le samedi suivant...
- Prends mes sous ou je refile tout à une association humanitaire au pif.
- T'es timbré.
- J'ai quand même bien le droit de te payer des études ! T'es partie de la maison tellement tôt que je ne t'ai jamais rien payé du tout.
- Oh tu t'en foutais pas mal que je me barre d'ici, pour ce que tu faisais attention à moi...
- Ah parce que t'aurais voulu que je t'empêche de te marier ? C'est nouveau ça... Ça va être de ma faute...
- Tout ce qu'on faisait on avait l'impression que tu t'en foutais !
- Je m'en foutais pas, je respectais vos choix de vie.
- Et aujourd'hui, tu les respectes plus ?
- Mais parce que j'ai l'impression que tu n'es pas vraiment heureuse.
- Haha ! t'as remarqué ça toi... Et bientôt tu vas nous dire que tu nous aimes ? T'as raison, tu dois avoir Alzheimer...
- Tu prends ce chèque et arrête de m'emmerder.
- Tu crois que je vais mourir ?
- Un jour oui.
- Alors ?
- Quoi ?
- Tu meurs ?
- Même pas ...
- Il a été embauché par les grands magasins pour faire le père Noël.
- Il travaille !!!
- Tu parles, c'est seulement trois après-midi par semaine et il en profite pour piquer du matériel Hi-Fi dans la réserve... Mais tu vas arrêter de bouffer tous les chocolats de mon calendrier de l'avant !
Je crois que plus on ne fait rien, plus on ne fait rien...
Je veux dire...
La fainéantise engendre la fainéantise...
... Et la lenteur engendre la lenteur.
- Vous êtes des lutins ?
- C'est qui celle-là ?
- Je t'avais dit de parler moins fort.
- J'ai lu des tas de trucs sur les lutins.
- Pourquoi faut-il toujours que l'on nous traite de lutins...
- J'étais sûre que vous existiez !
- Super, mais fais plutôt comme si on existait pas.
- Ouais va voir là-bas si on y est.
- Vous ne vous demandez pas ce qu'une petite fille comme moi fait toute seule dans la forêt ?
- Ne lui réponds pas sinon elle va rester.
- Eh bien j'habite ici maintenant, je vais construire une cabane et ce sera chez moi.
- Génial !
- Qu'est-ce que j'ai dit !
- Je me coucherai très tard et je n'irai plus jamais à l'école.
- L'école, c'est quoi ?
- Ouvre encore la bouche et je demande le divorce.
- J'ai fugué pour toujours. Ça leur apprendra.
- Ma belle-mère c'est une vraie sorcière.
- Genre elle jette des sorts et tout ?
- Bon je divorce !
- Nooon... C'est pas une sorcière pour de vrai... C'est juste que... Enfin du vois quoi ?
- Non.
- Et puis de toute façon c’est inévitable, tous les parents traumatisent leurs enfants.
- Oui, c’est d’ailleurs comme ça que naissent les plus grands artistes.
- Oui ben pour moi c’est raté. T’as foiré mon traumatisme.
Pfff... Ils sont presque toujours bêtes les grands...