C'était comme marcher sur la pointe des pieds parmi les nuages.
Trempée d'humidité par le brouillard, la chemise de Nick lui collait au torse. Sa peau était poisseuse et de minuscules gouttelettes de rosée étaient accrochées à ses cils comme des globes d'argent. Le marais baignait dans un crépuscule gris pâle; Nick avait du mal à croire que c'était le matin et que, quelque part là-haut, le soleil brillait de tous ses feux. (...)
La panthère demeurait un fantôme invisible, une vapeur de leur imagination.