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3.79/5 (sur 244 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Londres
Biographie :

Caroline Lawrence est une écrivaine américaine, connue pour sa série Les Mystères romains.

Elle est née à Londres, mais ses parents, américains, retournèrent aux États-Unis peu après, et elle grandit en Californie (à Bakersfield). Son père était professeur d'anglais et de théâtre et sa mère artiste.

A 12 ans, sa famille déménagea à Stanford University (Californie) pour que son père étudie la linguistique. Caroline hérite de son père l'amour des mots et de sa mère l'amour de l'art. Elle étudia donc les lettres classiques à Berkeley. Elle obtint une bourse d'études pour Cambridge (Angleterre), où elle étudia au Newnham College les arts classiques et l'archéologie.

Après Cambridge, elle resta en Angleterre et étudia l'hébreu et les "Jewish Studies" à l'University College London. Elle enseigna le latin, le français et l'art dans une école primaire à Londres.

En 2000, elle écrivit "Du sang sur la Via Appia", le premier tome d'une série d'aventures pour enfants, situées dans la Rome Antique. Les Mystères romains combinent son intérêt pour l'art antique, les langues mortes et les voyages.

La série a remporté de nombreuses récompenses et a été traduite dans plusieurs langues.
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Bibliographie de Caroline Lawrence   (24)Voir plus

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Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
C'était le soir de la plus chaude et de la plus longue journée de l'année. Pulchra et Jonathan étaient sur la plage voisine de la villa Limona, les pieds dans le sables. Des spectaculaires falaises de calcaires se dressaient à pic derrière eux, au sud, et des marches montaient dans la colline au nord.
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Une des femmes avait passé une baume sur le dos de Nubia et lui avait donné du pain, du fromage et une infusion sauge sucrée au sirop de figue.
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Les pieds sont la partie la plus honnête du corps parce qu'on n'a pas toujours conscience de ce qu'ils font.
Si la personne se tient face à vous mais que l'un de ses pieds ou les deux en sont pas dirigés vers vous, c'est qu'elle n'a pas réellement envie d'être avec à vous.
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Les moratores s'avancèrent pour guider les chevaux. Ils étaient habillés en vert, car chaque équipe avait les siens. Flavia savait qu'ils avaient pour mission de calmer les chevaux.
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Quand le soleil se leva, ils avaient presque atteint le pied des collines. On distinguait une vallée au loin, avec une frange de palmiers sombres.
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Où est Atticus ? Voilà presque deux heures qu'on est revenus des thermes.
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Je regardais la porte. J'avais peur, j'avais faim, j'étais crevé. Mes parents adoptifs s'étaient fait tuer et scalper à cause de moi. Je ne possédais rien à part un couteau en silex, un Bouton de détective et des habits qui me faisaient repérer comme un criquet sur un bol de riz. Sans compter les trois desperados qui voulaient me faire la peau.
J'en étais à me demander si les choses pouvaient encore empirer.
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Ostia, la ville où vit Flavia, est la zone portuaire de Rome. Elle est parfois, tôt le matin, noyée dans la brume.
C’était le cas, ce matin-là, celui de l’anniversaire de Flavia. Trois jours avaient passé depuis qu’elle avait retrouvé la bague de son père. En guise de cadeau d’anniversaire, Marcus Flavius avait proposé à sa fille de l’emmener chez un orfèvre. Peut-être pourrait-elle vendre le petit trésor qu’elle avait trouvé dans le nid de la pie.
Le soleil venait de se lever quand Flavia et son père quittèrent la maison. Ils descendirent la rue des Boulangers, tout embrumée, en direction du fleuve.
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Ma mère indienne m'a appris à ne jamais m'appesantir sur le passé, ni penser au futur. Elle répétait toujours "Il n'existe pas d'autre Jour qu'Aujourd'hui". (Sauf qu'elle le disait en lakota).
Quand j'ai raconté ça à ma mère adoptive, elle m'a répondu : " Je ne pense pas que ta mère indienne t'ait appris cela. Je crois que c'est dans ta nature. J'irais même jusqu'à dire que c'était dans sa nature à elle aussi".
Puis Ma Evangeline a ajouté : "Ca reste malgré tout une bonne vision du monde. La vie fait moins souffrir si on la vit au présent".
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Elle m'a servi une tasse de café puis m'a indiqué un canapé où m'asseoir.
- Ton enquête avance bien, dis-moi ?
- Je viens de parler à la Grosse Gussie et à ses Filles qui m'ont dit que Sally possédait beaucoup de bijoux. Par contre, l'Avis de Vente aux Enchères n'en cite pas un seul. Est-ce que vous pensez que Sally a pu surprendre un cambrioleur chez elle le soir du meurtre et qu'il l'aurait étranglée pour la faire taire ? C'était peut-être ça, son mobile.
- Non, Sally avait vendu tous ses bijoux il y a de ça un mois afin de pouvoir s'acheter son joli petit boghei et ses deux chevaux. Elle n'avait pas grand chose dans sa crèche qui aurait pu attirer un voleur.
- Mais si le vol n'est pas le mobile, qu'est-ce qui a pu pousser un homme à la tuer ?
- Elle s'est choisi un métier dangereux... a estimé Zoe Brown. Les hommes sont vite saouls, jaloux ou en colère. En plus, Sally avait une particularité qui la mettait en danger : c'était une vraie langue de vipère, plus piquante qu'un bonbon acidulé. Je l'avais pourtant prévenue...
- C'est quoi, un bonbon acidulé ? ai-je voulu savoir.
- Un bonbon aigre-doux - à la fois sucré et acide.

Là, elle s'est levée pour aller prendre un sachet en papier sur la malle-qui-servait-de-table & me le passer. A l'intérieur, il y avait des bonbons jaune pâle, gros comme des billes et très durs.
- Goûte, m'a proposé Zoe Brown.
J'ai pris une bille jaune et l'ai fourrée sous ma langue. Elle était sucrée, mais en même temps tellement acide que ça me crispait la mâchoire.
- Sally était pareille, a repris Zoe Brown. Elle avait une langue acide dont elle n'hésitait jamais à se servir. Certains hommes n'appréciaient pas franchement qu'elle leur dise ce qu'elle pensait d'eux.
J'ai noté cette information dans mon Carnet de Détective.
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