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Citations de Caroline Quine (194)


- je suis désolé pour l,oncle
bob, dit ned j'ai l,impression qu'il a été un peu grossier envers toi.
Alice haussa les épaules.
- apparemment, c'est pas une famille heureuse.m.
Franklin est un homme sévère, laura est anxieuse,
et sa soeur Lisa semble en
vouloir a la terre entière.
quand a Christopher toomey , je me demande encore quelle place il occupe dans le tableau.
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- si la charité vient à manquer, a quoi sert tout le reste.
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- allons chercher un taxi!
s, ecria Alice.
- on ne pourrait pas prendre un bus, par hasard? demanda bess.
- ce sera trop lent! ne me dit pas que tu as peur, juste a cause de ce qui s'est passé l, autre jour.
- en plein dans le mille.
- tu sais ce qu'on dit , quand on tombe de cheval , il faut remonter en selle.
- bonne idée, riposta bess.
je vais louer un cheval...et je vous retrouve.
Alice sorti a moitié du taxi
et tira fortement le bras de
bess. une fois son amie dans la voiture, elle claqua
la portière.
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" J'ai l'impression qu'il entre dans ton idée une bonne dose de malice, répondit-il. Mais je ne vois pas pourquoi l'affaire ne se dénouerait pas ainsi que tu le suggères... Tu auras cette satisfaction, mon petit, et bien mieux : je te promets que si les Topham doivent recevoir le coup de grâce, cela se passera en ta présence ! "
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- tu sais se qu'on dit Alice qui vole un boeuf, vole un oeuf, alors un cheval de
course.
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J'ai une torche sur moi, dit Alice. Je vais faire le signal S.O.S. Trois courts, trois longs, trois courts. C'est bien cela ?
- Oui.
Tout en progressant, Alice répéta plusieurs fois le signal. Leurs pas se faisaient plus lourds, plus lents, l'espoir d'être secourus commençait à les abandonner
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Mme Bran se joignit au petit groupe. Ses yeux se mouillèrent de larmes lorsqu'elle raconta à M. Roy les exploits de sa fille et des amies de celle-ci.
- Elles ont été admirables, conclut-elle. Lorsqu'elles sont arrivées ici, tout allait mal, et voyez maintenant mon domaine : jamais il n'a été aussi beau, ni mes finances florissantes.
- Je suis fier de toi, Alice, dit M. Roy. Non seulement tu as aidé Mme Barn et Milly à sortir d'une passe difficile mais tu as permis d'arrêter des faux-monnayeurs.
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L'après-midi était déjà très avancé, des ombres commençaient à envahir coins et recoins. A l'approche de la nuit, l'atmosphère devenait de plus en plus fantastique.
Le dîner fut un peu guindé. Rosemary et Alice tentèrent d'animer la conversation, mais ce fut sans succès. Chacune percevait une tension dans l'air.
Après le dîner, les deux vieilles demoiselles et Alice s'installèrent au salon. Rosemary s'assit au piano et voulut jouer ; Alice remarqua que ses mains tremblaient. Au bout de quelques minutes, elle referma le clavier.
Floretta se dominait encore moins que sa soeur. Assise, raide sur le divan, les mains crispées, elle promenait d'un bout à l'autre de la pièce un regard inquiet, comme si elle cherchait quelqu'un.
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"La prochaine fois que vous voudrez jouer au détective, ma petite, pensez donc à assourdir le ronflement de votre moteur lorsque vous ferez démarrer votre voiture… La prochaine fois !" (p.133)
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- Et voilà une merveilleuse aventure terminée ! soupira Bess, non sans regret.
- Reconnais qu'elle valait infiniment plus que le prix du parfum ! répliqua Marion en riant.
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J'ai oublié de vous prévenir que le Grand Maître m'avait changée en sorcière, annonça-t-elle en riant. Dépêchez-vous de me désenvoûter, sinon vos ennuis vont recommencer !
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Bess plissa les yeux, l'air faussement inspiré :
- J'ai comme l'intuition qu'on va bientôt me demander d'être complice d'une effraction...
- Mais non, Bess, répondit Alice avec un sourire. Il suffira que tu ailles distraire Hank, voilà tout.
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J'ai même effectué quelques travaux au manoir, et je m'en suis mordu les doigts. A l'heure actuelle, il faudrait m'y trainer de force.
- Ah ! pourquoi ?
- Parce qu'au cours de ces travaux, je suis tombé malade. Grâce à ma robuste constitution je m'en suis tiré avec deux jours de lit ; mais j'ai laissé l'ouvrage en plan.
- Vous avez établi un lien entre votre présence dans le manoir et la maladie qui vous a frappé ? demanda Alice.
- Ouais ! Tous les membres de la famille sont morts d'un mal incurable. Toute personne dotée d'un grain de bon sens n'hésiterait pas à faire un détour de plusieurs kilomètres plutôt que de passer près de ce manoir maudit.
- Et pourtant, il est habité en ce moment... par un homme à la barbe rousse, dont j'ignore le nom.
- Pas possible : s'exclama le maçon, incrédule. Faut-il qu'il y ait des fous dans le monde !
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L'impatience est comme une chèvre qui, sans raison, donne des coups de cornes contre un mur. Elle s'épuise sans arriver à autre chose qu'à égratigner le crépi.
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Très en avance sur les jeunes filles de son âge, Alice avait quitté le collège à quinze ans et demi, en possession de son diplôme de fin d'études secondaires.
Excellente élève, elle était estimé de ses professeurs tout autant qu'adorée de ses compagnes. Elle appartenait à cette catégorie de gens qui attirent naturellement la sympathie, prenant au sérieux ce qui les entoure sans donner l'impression de se prendre eux-mêmes trop au sérieux.

C'est au collège de River City qu'Alice avait connu Doris Elliott, sa meilleure amie, en même temps qu'elle y rencontrait les deux sœurs Topham. Mais à l'inverse de leurs camarades, ces dernières devaient lui vouer une solide inimitié.
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- Le vrai score, dit-il, le voici : Alice Roy 1, le Maître 0 !
Alice glissa son bras sous celui du jeune homme. Tout est bien qui finit bien, songea-t-elle avec 'e sentiment du devoir accompli. [...]
- Ce fut un bon travail d'équipe, murmura-t-elle. Voilà tout.
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- On n'oserait pas s'emparer de votre ferme! dit Bess, qui ne s'y connaissait guère en affaires.
- Peuh! Idéaliste, va! grogna Marion. Le monde est plein d'escrocs et de gens sans pitié qui profitent des veuves et des orphelins!
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Alice, veux-tu t'envoler avec moi sur un immense canard sauvage qui nous déposera sur un lac solitaire, au pays des kilts et des cornemuses ? demanda M. Roy, une lueur malicieuse dans le regard.
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De chaque côté de la route, les champs s'étendaient maintenant à perte de vue, et Alice se réjouissait de ce spectacle. Elle aimait profondément ce pays où elle était née et où elle avait toujours vécu, à l'exception des vacances qu'elle passait depuis son enfance en Louisiane, chez ses grands-parents maternels, et d'un séjour de trois mois qu'elle avait fait en France l'année précédente.
La famille Beauchamp avait en effet conservé des attaches dans sa patrie d'origine : en Touraine, vivaient encore les descendants d'une branche cadette. Ceux-ci avaient accueilli Alice à bras ouverts, et la jeune fille ne pouvait songer sans émotions à ces parents lointains qui avaient voulu lui faire connaître le pays de sa mère sous ses plus beaux aspects. Elle avait vu Paris, Versailles, visité la Bretagne, la Provence et plus belle encore peut-être que celles-ci, cette chère Touraine, avec ses douces eaux, ses horizons nacrés et ses châteaux de contes de fées. Alice en avait gardé la nostalgie. -Je retournerai là-bas un jour...- se sisait-elle.
Mais en vrai fille du Missouri qu'elle était, elle n'en admirait pas moins sa terre natale. Elle s'enorgueillissait de son sol fertile, de ses champs de coton et de maïs, de ses grasses prairies où galopaient les plus beaux chevaux des Etats-Unis. Elle aimait contempler ces plaines immenses où le vent creusait l'herbe ondoyante de longues vagues qui semblaient courir jusqu'aux collines moutonnant à l'horizon.
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Alice eut une hésitation. Certes, l'homme semblait être de ceux qui pouvaient inspirer confiance, mais elle avait appris à toujours se défier des inconnus tant qu'elle ne possédait pas la preuve de leur identité.
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