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Citations de Caroline Quine (194)


Soudain, un bruissement dans un coin sombre de la pièce la glaça d'effroi. Retenant son souffle, elle s'immobilisa, les doigts au-dessus des touches. Elle n'était pas seule dans la pièce...
Avant qu'elle ait pu se retourner, une main puissante se plaqua sur sa bouche.
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Tout à coup, elle ressentit une curieuse impression dans ses doigts, et voulut les retirer. Impossible. Toute sa main était plaquée au mur. Elle tira plus fort. En vain. Elle ne put la détacher, et, avant qu'elle ait pu appeler Glen, le panneau se referma.
Alice comprit qu'elle courait un danger effrayant. De toute la force de ses poumons elle cria :
- Au secours ! Au secours !
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Juste à ce moment les lumières s'éteignirent. La salle fut plongée dans une obscurité complète, mais soudain une lumière rougeâtre apparut en haut de la paroi du fond.
Quelques secondes plus tard, elle prenait la forme d'un œil, farouche, brillant !
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Elle lisait encore quand elle entendit un bruit de pas : entre les arbres la silhouette d'une jeune femme se détacha soudain. Alice recula pour se dissimuler derrière l'énorme tronc du châtaignier.
Un coup brutal la frappa à la nuque. Avec un cri, elle s'abattit sur l'herbe.
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Pleine d'espoir à la pensée que ce pouvait être Ned ou son père, Alice regagna le rez-de-chaussée aussi vite qu'elle le put. Personne. Elle monta quatre à quatre l'escalier qui conduisait au premier étage. Sur la dernière marche, elle s'immobilisa : à l'extrémité du vestibules, une figure spectrale sortait du mur.
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- Qu'est-ce... qu'est-ce que c'est ? bégaya-t-elle. Le fantôme ?
- Impossible... commença Marion, mais les mots expirèrent sur ses lèvres.
A l'autre bout de la pièce, une lueur bizarre, verdâtre, s'alluma, révélant la présence d'un orgue de chambre.
Devant le clavier, une silhouette lumineuse était assise !
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Qu'était-ce ? Elle n'en savait rien, si ce n'est qu'il représentait sans doute son seul espoir de salut.
Elle avança le bras vers lui et l'empoigna. Au même moment, la lampe s'éteignit tout à fait.
Alice se retrouva dans le noir.
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- [...] Mais comment l'auteur de ce message a-t-il pu apprendre que vous comptiez nous rendre visite ?
- C'est bien ce que j'aimerais savoir, dit Alice. On pourrait croire que les murs ont des oreilles !
Et baissant la voix, elle ajouta :
- Qui nous dit qu'en ce moment même quelqu'un n'est pas aux aguets, qui écoute chaque mot que nous disons ?
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- Les traces de pas s'en vont par là, reprit Alice. Elle enjamba les buissons ras, et suivit la piste sur une zone ombragée de la plage. Mais, presque aussitôt elle stoppa, et se retourna d'un air découragé.
- Où vont-elles ? demanda Penny, qui l'avait suivie.
- Nulle part, gémit Alice. Elles s'arrêtent, là ! Elle montra du doigt les rochers dressés contre lesquels les vagues venaient se briser.
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- Dis-moi, Penny, as-tu vu Bess ?
- Non, je la croyais avec toi. Elle n'est pas dans votre chambre en tout cas.
Il y eut un moment de silence, et ils se regardèrent les uns les autres, frappés soudain par le calme étrange autour d'eux. Où était passée Bess ?
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Tout premier livre de la longue série des aventures d'Alice. Passionnant du début à la fin.
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Alice saisit son amie par la taille.
- Tu vaux beaucoup mieux que Jacqueline. Et je suis bien contente que tu ne lui ressembles en rien !
Bess secoua ses cheveux blonds. D'un ton grave, elle interpella son amie.
- J'ai quelque chose d'important à te demander.
- Quoi ?
- Te reste-il une ou deux de ces barres chocolatées que tu appellais tes rations de vie?
- Mais bien sûr ! s'exclama Alice.
Elle ouvrit la porte de la casita et les deux amies s'y précipitèrent, riant comme des folles à la perspective du festin qui les attendait.
Dans la nuit étoilée du désert, les coyotes se mirent à japper.
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Le visage de Laurent tourna à l'écarlate.
- Qu'est-ce que c'est ? s'exclama-t-il.
Pour toute réponse, Melina Michaels se leva.
- Vous ne reconnaissez pas ces photos, Pierre ? Pourtant, le visage de ma soeur devrait vous être familier.
Un murmure courut parmi les invités.
- Où est le responsable de la sécurité ? cria Laurent. Cette dame ne se sent pas bien. Qu'on la raccompagne à sa chambre !
- Je vais très bien, répliqua Melina, contrairement à tous ceux qui ont utilisé des produits Florance du temps où vous dirigiez cette marque ! Vous avez ruiné la carrière de mannequin de ma soeur. C'est elle, sur la photo, avec ce visage marqué à vie. Elle vit recluse en France, trop honteuse de son infirmité pour sortir !
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Alice prit une grande respiration avant d'exposer spn plan d'action.
- Moi, j'entrerai chez Hank Meader, peut-être par la fenêtre, et je fouillerai partout pour chercher la chemise... Si mon père savait ça !...
- Oui, pouffa Bess. La fille de l'avoué le plus intègre de River City se transforme en espionne...
- Il s'agit bel et bien d'espionnage, confirma Alice. Mais c'est pour la bonne cause. Il nous faut retrouver Kim.
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On avait préparé une collation sous la tente voisine, et lorsque Alice retrouva Lolita, quelques instants après la cérémonie, la jeune femme s'avança vers elle, radieuse. Et, levant son poignet où brillait son bracelet d'or de Lola Martinez, elle dégrafa le fermoir.
- Il est à toi, Alice, dit-elle. Tiens, reprends-le.
- Non, Lolita, je désire que tu le gardes. Ce sera mon cadeau de mariage. Qui le porterait mieux que moi ? Il a appartenu jadis à une reine et le voici aujourd'hui entre les mains d'une autre reine.
- Que veux-tu dire ? fit la jeune femme, surprise.
- Lolita, la reine du cirque ! répondit Alice.
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M. Fockhart insista pour qu'elle demeure chez lui jusqu'à leur départ pour l'Italie. Elle accepta avec reconnaissance puis, regardant avec une infinie tendresse son fils, elle dit à ceux qui l'entouraient :
- Tonio est italien mais je vous promets que son anglais ne sera pas négligé. J'espère le faire admettre dans un collège où les enfants apprennent les langues et les arts. Ils sont suivis par d'excellents professeurs.
- Voilà qui sera parfait, approuva Alice. Tony, je compte sur toi. Un jour, j'espère voir de beaux tableaux signés Antonio Rocco Bolardo.
Le jeune garçon voulut répondre en anglais mais il y renonça et sa mère traduisit ce qu'il disait :
- Je vous promets de ne pas vous décevoir. Mais de votre côté ne perdez pas votre goût pour l'art. C'est lui qui vous a aidé à élucider le mystère et à me rendre à mon adorable maman !
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- Tony, dit Alice au garçon qui reprenait ses esprits, j'ai une merveilleuse surprise pour toi. Voici ta mère !
Le jeune garçon la regardait, incrédule, mais Mme Bolardo se précipita vers lui, le serra dans ses bras.
- Tonio ! Tonio ! répétait-elle
Et elle se mit à lui parler en italien.
Au début, Tony n'en croyait pas ses oreilles. Sa mère lui raconta comment son oncle l'avait enlevé. Alors, il lui passa les bras autour du cou et se pressa tendrement contre elle.
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J'ai la même intuition que toi ! s'exclama Alice, toute jubilante. Or deux Roy ne peuvent se tromper, n'est-ce pas ? Demain, je vais interroger ces vieux murs croulants. peut-être consentiront-ils à me livrer leur secret !
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Ned Nickerson se conduisait en cocker malheureux, mais je n'étais pas dupe : il plaisantait ! Nous sommes ensemble depuis des années, alors, il a l'habitude ! Vous comprenez, je suis Nancy Drew , la détective amateur la plus sollicitée de River Heights - notre petite ville. A la moindre anicroche, les gens m'appellent à la rescousse ! Ned comprend très bien ma passion dévorante pour les énigmes. Il est toujours prêt à m'aider lorsque je lui demande. En plus, il reste volontiers à l'écart quand j'ai besoin de me concentrer sur mes activités.
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George me lança discrètement un clin d’œil, puis ajouta, se prêtant au jeu :
- Nous dormirons sur nos deux oreilles, chef, puisque vous veillez au grain !
Et nous continuâmes notre chemin. Le chef nous retint :
- Oh, bon très bien, je vais tout vous dire ! Mais n'allez pas vous mêler de l'affaire, cela, c'est mon travail.
- Ça va de soir ! approuvai-je, m'immobilisant aussitôt.
"Génial, ça a marché!" pensai-je. C'était rigolo, tout de même. Parfois, il suffisait d'avoir l'air de se désintéresser totalement de la situation pour que le chef crache le morceau !
Il annonça tout a trac :
- Quelqu'un a volé l'horloge de la bibliothèque hier soir. A la place, il n'y a plus qu'un grand trou dans le mur.
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