Catherine Henri L'éprise Editions P.O.L : Où Catherine Henri tente de dire comment est construit son livre "L'Eprise", et où il est question d'une île grecque, qui est plus une prison qu'un voyage, d'un narrateur anglais qui est un peu voyeur et un peu écrivain, et d'un roman qui s'écrit, du je et d'un personnage nommée L., de désir et d'un bateau qui n'a pas de nom, des Kindertotenlieder de Malher et de fantômes, à l'occasion de la parution de "L'Eprise" aux éditions P.O.L, à Paris le 24 février 2014 -"Souvent je me dis qu'ils sont seulement sortis" "Oft denk' ich, sie sind nur ausgegangen" "Il ne s'était rien passé, pas de crise, pas de meurtre, peu de sexe, du moins de façon apparente, car il y avait eu tout cela, j'en étais certain, mais de manière cachée, souterraine, et si j'avais eu accès à l'invisible, je ne savais comment le découvrir sans l'exhiber, ou le faire disparaître, ce qui est à peu près la même chose."
Comment est la porte de la maison du hobbit ?