Nulle émotion. Rien. Les visages ne sont marqués en gros et en profond que par une longue ancienne souffrance, par une longue ancienne lutte. Il semble que la volonté et la douleur se soient plaquées sur les visages - peut-être à leur entrée dans cet endroit-ci, au passage du seuil où se tient l’homme - et y aient durci pour toujours.