AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.68/5 (sur 238 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Tampa , le 30/07/1975
Biographie :

Cherie Priest est née en Floride d’un père militaire, ce qui lui a permis de découvrir de nombreux États (Floride, Texas, Kentucky et Tennessee).

C’est d’ailleurs lorsqu’elle vivait à Chattanooga dans le Tennessee qu’elle s’est fait connaître grâce à sa série Eden Moore mettant en scène des histoires de fantômes dans le sud des États-Unis.

Elle est désormais installée à Seattle dans l’État de Washington tenant à jour son blog et continuant à écrire la série Le Siècle Mécanique (Clockwork Century).

Le premier livre de Priest Four and Twenty Blackbirds est sorti en 2003. Depuis, elle a publié huit nouveaux romans et nouvelles, incluant Boneshaker, Clementine et le récent Dreadnought qui ont tous lieu dans la série Clockwork Century.

Boneshaker a été nommé pour les Hugo Award et Nebula Award et a gagné le Locus Award et le PBNA Award.

Elle a au moins quatre autres romans de prévus pour 2011 et 2012.

Cherie Priest a contribué à des fictions et à des anthologies de Tachyon Publications, Subterranean Press et à l’univers Wild Cards de R. R. Martin, entre autres. Sa plume est aussi apparue dans des magazines comme Subterranean Magazine, Chiaroscuro et Apex Digest.

Quand elle n’écrit pas de la fiction ou ne fait pas de travail en freelance pour des magazines, Priest est rédactrice en chef associée à Subterranean Press.
+ Voir plus
Source : www.eclipse.fr
Ajouter des informations
Bibliographie de Cherie Priest   (13)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Non sous-titré.


Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
Il est difficile de se disputer avec un mort. Il ne change pas d’avis, ne dicte pas de nouvelles règles et ne se comporte pas comme un salopard, risquant ainsi que plus personne ne l’écoute. Un homme mort reste un saint.
Commenter  J’apprécie          480
Ce ballon là-bas, c’est le mien. Vous le voyez ? La Corneille libre, comme nous l’appelons. Elle a été un peu volée, un peu achetée, et beaucoup bricolée… mais, oh, elle vole.
Commenter  J’apprécie          410
— La ligne de front. Elle nous a rattrapés. Bon, venez. Il faut passer de l’autre côté de la route. Baissez-vous et courez. Enfin, allez le plus vite possible. Vous avez atterri dans le camp yankee, alors ne remerciez pas encore votre bonne étoile.
S’abritant le mieux possible, ils traversèrent la route pour regagner le camp des gris. Juste à temps : les soldats chargés d’ériger des barricades étaient déjà là, cherchant à prolonger la ligne et posant des jalons. Ils ordonnèrent à Mercy et aux deux hommes de dégager sans tarder.
— Nous sommes des civils ! répondit Larsen.
— Vous serez des civils morts si vous ne vous éloignez pas de cette route ! (L’homme s’interrompit alors pour jeter un regard appuyé à Mercy.) Attendez un peu. Vous êtes infirmière ?
— C’est exact.
— Vous connaissez votre métier ?
— J’ai sauvé plus de gens que je n’en ai tués, si c’est ce que vous voulez savoir.
Commenter  J’apprécie          350
— Entrez, Madame… Eh bien, je ne sais plus comment vous vous appelez, ces temps-ci. Combien de noms avez-vous portés, avec tous ces mariages ?
— Trois seulement, répondit-elle, en comptant celui de mon père… c’est-à-dire celui sous lequel je suis née. Si cela vous déconcerte tant, appelez-moi Miss Boyd, et n’en parlons plus. Évitez juste « Belle ».
— Trois noms, et pas question de vous appeler Belle. Je peux m’en accommoder, à moins que vous ne soyez venue ici dans l’espoir de vous faire passer une fois encore la bague au doigt.
— Dois-je y voir une invitation de votre part ?
— Dieu m’en préserve ! Plutôt coucher dans un nid de vipères.
— Je vous raye donc de la liste.
Commenter  J’apprécie          340
— Dieu tout-puissant ! Qui est le suivant ? Qui a été touché ? cria-t-elle en se levant.
— Madame…
La voix était faible. C’était celle de Morris Comstock, le premier homme qu’elle avait eu à soigner à bord du Dreadnought. Il se tenait le côté de la poitrine et sa main et sa chemise étaient trempées de sang.
— Monsieur Comstock !
Elle se précipita et le rattrapa juste à temps, alors qu’il s’écroulait comme une marionnette dont on aurait coupé les fils.
— Bon Dieu, regardez-vous. Eh bien, je crois que je vais encore devoir m’occuper de vous. Il va falloir qu’on arrête ce petit jeu ou les gens vont finir par jaser, lui glissa-t-elle à l’oreille tandis qu’il s’abattait sur sa poitrine.
Il lui offrit un sourire triste juste avant que ses yeux ne se révulsent.
Commenter  J’apprécie          270
- On peut faire toutes les suppositions que l’on veut, mais tu connais le dicton : « Avec des si, on mettrait Seattle en bouteille ».
Zeke eut l’air perplexe.
- Je n’ai jamais entendu cette expression avant et je ne suis pas sûr de la comprendre.
- Ça veut dire que, si tu craches dans une de tes mains et que tu fais un vœux dans l’autre, tout le monde sait quelle main sera plein en premier.
Commenter  J’apprécie          90
Oui. Non. Peut-être. Pas tout de suite, décida-t-il finalement. Dans une heure.
Commenter  J’apprécie          100
- Et bien on leur rentrera dans le lard, philosopha Hainey. Mon zinc tiendra le choc. Prépare les grappins, on ne va pas tarder à les lancer. On va choper ces salopards au ricochet.
La première réponse de Lamar s'étouffa dans sa gorge, et il demanda à la place :
- Vous voulez les percuter pour les cueillir au rebond ?
- Quelque chose dans ce goût-là. Et arrimez-vous si ce n'est pas déjà fait, il va y avoir de la casse à bord.
Commenter  J’apprécie          80
- Je ne peux même pas prétendre que je voulais te protéger. Je n'ai appris que j'étais enceinte que quelques semaines plus tard, alors je n'avais pas cette excuse. Voilà, tu sais tout. Je l'ai tué, dit-elle. Si tu n'existais pas, je pense que ça n'aurait pas eu d'importance. Mais tu es là, tu es mon fils, et tu étais le sien, qu'il te mérite ou non. Et que cela me plaise ou non, ça compte.
Elle attendit, observant quelle allait être la réaction de son fils.
[...]
- Dis quelque chose, Zeke. Je t'en supplie, fiston. Dis quelque chose.
- Qu'est-ce que vous voulez que je dise ? demanda-t-il, et il avait vraiment l'air de ne pas savoir.
- Dis-moi que tu ne me déteste pas, essaya-t-elle. Dis-moi que tu comprends ou, si tu ne comprends pas, dis-moi que ce n'est pas grave. Dis-moi que je t'ai dit tout ce que tu voulais savoir, et que maintenant tu ne peux plus m'accuser de te cacher quelque chose. Ou si tu ne peux pas me pardonner, alors dis-le ! Dis-moi que je t'ai fait du mal, de la même façon que je lui en ai fait il y a des années. Dis-moi que tu ne peux pas comprendre et que tu aurais préféré rester avec Minnericht dans cette gare. Dis-moi que tu ne veux plus jamais me voir, si c'est ce que tu ressens. Dis quelque chose. Mais ne me laisse pas comme ça sans savoir.
[...]
- Mais je ne vous déteste pas, ajouta-t-il. je ne peux pas. Vous êtes venue dans cette ville pour me chercher. Personne d'autre au monde que vous n'aurait essayé.
Commenter  J’apprécie          60
- Nous disposons d'une sorte... d'informateur, ou plutôt, de collaborateur, à vrai dire. En toute franchise, le considérer autrement que comme un ivrogne dépravé ne rendrait service à personne, mais il aime se rendre utile. (Rice à Belle)
Commenter  J’apprécie          70

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Cherie Priest (260)Voir plus

Quiz Voir plus

Ravage

En quelle année fut publié ce roman de Barjavel?

1932
1943
1954
1965

16 questions
982 lecteurs ont répondu
Thème : Ravage de René BarjavelCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}