Parlant de la perspective envisagée avec la poly-pilule et autres entourloupes, David HEAL a déclaré :
« Mais que ce passe-t-il ! La médecine est devenue folle, elle a perdu tout sens de ce qui est un risque raisonnable, il faut se souvenir de la phrase du médecin français PINNEL sur l’art de la médecine : C’est bien de savoir donner un médicament pour traiter une maladie, mais c’est un art plus grand encore de savoir quand il ne faut pas traiter et cet art nous l’avons perdu, parce qu’on ne peut pas dire non au marché ».
A l’assaut des bien-portants :
Un changement d’humeur chez les femmes menstruées, suffit à inventer des « troubles dysphoriques menstruels », un terme nouveau qui selon le professeur Philippe Even, président de l’Institut Necker n’a aucun sens médical. Mais il est suffisamment ambigu pour troubler l’esprit et inciter les femmes à consulter. On leur vendra alors exactement la même molécule que le Prozac (fluoxetine). Un produit en fin de vie, mais cette fois facturé 4 fois plus cher vu qu’il ne sera consommé que 5 jours dans le mois.
Sur la base de la liste connue des laboratoires de haute sécurité type P4 , il y a largement de quoi élaborer, conserver, toute la virologie infectieuse du monde, suffisamment pour infecter toute l’humanité.
Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité ; la plupart se relèvent rapidement et retournent à leurs préoccupations comme si de rien n’était.
«Si on pouvait porter des lunettes de vérité, alors on verrait les professeurs d’université marcher dans les couloirs des hôpitaux habillés comme des pilotes de formule 1. Sur leur blouse blanche ne serait pas écrit Mobil - BP, mais il y aurait imprimé Merck – Pfizer... parce qu’ils sont tous financés par l’industrie».
L’individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse qu'il ne peut croire qu'elle existe.
(J. Edgar Hoover)
L’esprit le plus fertile du monde ne peut pas imaginer tout ce qui se tisse à l’arrière-plan de la vie publique.
(Christian Rouas)
Mieux vaut pendre le changement par la main avant qu'il ne nous prenne par la gorge.
(Winston Churchill)