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Critiques de Christophe Dejours (20)
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Souffrance en France

Base de départ de mon mémoire sur la psychopathologie du travail, cet essai à été d'un grand intéret pour moi.

Il est tout à fait accessible à Monsieur et Madame tout le monde.

Il ouvre les yeux sur la réalité du travail.
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Travail, usure mentale

Je m’attendais à mieux du livre de Christophe Dejours mais on peut faire également un reproche auprès de l’éditeur. En effet, il y a plusieurs introductions des diverses années de publications…Ceci est donc d’une lourdeur. Une nette impression de déjà-vu comme l’histoire sans fin…Je pense que l’éditeur aurait dû retirer les introductions antérieures pour garder la plus récente. Je trouve que le contenu du livre est confus par l’articulation des chapitres. Dommage, la thématique était intéressante.
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La panne : Repenser le travail et changer l..

Christophe Dejours attire notre attention sur le triste bilan de l'évolution de l’organisation du travail dans nos sociétés et sur les maux aux niveaux des individus et des collectifs qui en découlent. Il met en évidence de façon claire et justifiée (après plusieurs milliers d'entretiens au compteur avec des salariés et dirigeants au travers de mon activité, j'abonde complètement dans sons sens) le lien direct entre néolibéralisme, avidité financière sans borne et perte de sens, souffrance et même mort au travail. Dejours est un des rares à oser parler du travail en mobilisant clairement et en revendiquant les concepts de domination et de servitude (même volontaire) orchestrée, d’aliénation, à assumer pleinement son analyse jusqu'au niveau politique et à dénoncer le vice intrinsèque et cultivé de ces organisations au service du profit ou de la seule rationalité gestionnaire, où chacun doit être entièrement dévoué à la réalisation de ses objectifs (chiffrés) et où tous en viennent à se livrer la guerre de la concurrence, une incitation en somme à laisser s’exprimer le pire au détriment du meilleur (Engels ne disait-il pas déjà que la libre concurrence n’était rien d’autre que la guerre de chacun contre chacun ?).

A l’inverse, la coopération et la solidarité sont des arbres difficiles à planter et fragiles mais leurs fruits sont pourtant les meilleurs pour la santé (au sens même que lui donne l’OMS, « un état complet de bien être physique, mental et social »), et en plus ils sont abondants.

La panne est donc une lecture intéressante, dont je ne partage pas toutes les analyses (notamment en ce qui concerne la « nature » fondamentalement égoïste et asociale de l’homme) mais qui est stimulante et même nécessaire aujourd’hui, notamment pour ceux qui, comme moi, ont envie de résister sans toujours penser qu’ils en ont les moyens, seuls dans leur coin. Pour s’en convaincre, quelques extraits :

« On ne peut ignorer que le développement du système néolibérale se traduit par un désastre sur le plan clinique : les individus sont malheureux, perdent la joie de vivre, la bonne humeur, la convivialité, le savoir-vivre… Beaucoup tombent malades, développent des pathologies de surcharge, des dépressions, recourent parfois à la violence et connaissent souvent une profonde solitude (…) L’attention au long terme est déterminante. Ceux qui exaltent la performance maximale et immédiate, avec dégraissement et méthodes de persuasion brutales, visent le court terme : il leur faut des dividendes substantiels très vite. Ce dictat du court terme porte en lui le risque de mener l’entreprise jusqu’à la destruction, le seul souci étant d’engranger un maximum de profits dans un minimum de temps, quitte à sortir le capital de l’entreprise si elle court à l’échec. Les dirigeants se recasent dans une autre société, après avoir éventuellement récupéré de l’argent grâce à leurs fameux « parachutes dorés », les fonds de placement investissent ailleurs. Au contraire, les patrons d’entreprises bienveillantes se préoccupent de la longévité de leur activité. Non pas qu’ils soient tous convaincus qu’il faut réformer l’organisation du travail, mais ils sont de plus en plus sceptiques face aux limites du système néolibéral. Et cette hésitation grandissante ne concerne pas que le secteur privé, elle est flagrante au sein des services publics, violemment remis en cause par les méthodes gestionnaires et en proie à une souffrance éthique indéniable. Malgré la réforme générale des politiques publiques (RGPP), qui a clairement affiché la volonté de les réduire, de faire la chasse à ceux qui n’atteignent pas les objectifs chiffrés, les services publics sont destinés à durer. L’attention au long terme leur est consubstantielle en quelque sorte. »

« Au fondement de la psychodynamique du travail il y a une vision singulière de l’être humain, directement inspirée de psychanalyse freudienne. L’anthropologie que je fais mienne tient à ce principe : si l’homme ne maintient pas l’effort pour penser le bien, il cède inévitablement à ses pulsions qui l’entraînent vers le mal. Toute théorie sociale doit tenir compte de ce constat sous peine de fonder des attentes erronées en matière d’émancipation, bâtie sinon sur une anthropologie naïve, ignorante des déterminismes venant de l’inconscient et de la sexualité infantile. La sexualité infantile, ressort de toutes les conduites humaines, est fondamentalement amorale et égocentrique. Présente dès la petite enfance, elle est donc de nature fantasmatique, elle n’est pas déterminée par les organes et les hormones sexuels mais déclenchée par le rapport à l’autre ; enfin elle repose d’abord sur les pulsions partielles, qui naissent des zones érogènes et cherchent la satisfaction sexuelle chacun pour son propre compte, utilisant le corps de l’autre, voire le corps propre, pour en jouir. Les pulsions ne portent donc pas l’être humain vers la vie en société, ni vers la solidarité. Elles engendrent bien plutôt l’égoïsme et la rivalité entre les individus pour jouir des plaisirs terrestres, jusqu’à la rivalité, la haine, la violence et le meurtre. Faire société ne serait pas possible sans quelque détournement, voire amputation des buts pulsionnels, ce n’est pas une inclination spontanée de l’être humain. Le surmoi n’est guère moral et peut se déchainer contre le moi. Il n’y a pas de spontanéité du bien, le clinicien le constate au quotidien mais l’observation d’une cour de récréation pourrait tout autant en convaincre. Pour faire le bien il faut le penser (…) Si les être humains ont l’obligation de se réunir pour maîtriser la nature, créer des richesses, il y a là une occasion unique de trouver d’autres voies que celle de l’assouvissement des pulsions. Le travail est la médiation non substituable qu’entrevoit Freud sans vraiment l’établir. Il m’apparaît comme le seul principe pacificateur dans la vie ordinaire, où l’être humain, par activité déontique, apprend à négocier, construire, une règle commune, découvre la vie en société en même temps qu’il augmente sa maîtrise du monde. Il est ce qui permet aux hommes des se rencontrer, de vivre ensemble, de conjurer la violence et de rechercher l’entente (…) c’est l’avenir de la cité que menace le découpage tragique entre le travail ordinaire et la culture qu’a inauguré le tournant gestionnaire des années 1980. Car la culture est formée des œuvres que les être humains produisent individuellement et collectivement par leur travail.»

« Léonard de Vinci a imaginé des machines alors que le moyen de les mettre en mouvement, la maîtrise de l’énergie, n’existait pas encore. Toutes proportions gardées, la capacité de réfléchir à une action collective relève de la même démarche d’abstraction. A partir du moment où vous pouvez rendre intelligible aux autres une manière d’agir ensemble, vous avez une chance de les convaincre. La possibilité d’une action concertée existe, il est très important de le penser et de le dire, de trouver les formes rhétoriques pour exposer ce programme d’action. Il faut accepter d’entrer en résistance en ayant conscience que le changement n’est pas immédiat et qu’il peut prendre des années à advenir. Les actes individuels n’ont de sens que situés dans l’attente de la renaissance de la coopération, des règles communes et d’une activité déontique. Recréer des liens avec les autres demeure la seule manière de fonder une action rationnelle. »
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Travail, usure mentale

Alléluia, j'en ai vu le bout !

ça c'est du solide comme essai !

une première partie, très très longue, mais intéressante néanmoins, j'ai, particulièrement, apprécié les cas concrets cités en exemple.

La seconde partie, concernant l'enquete en tant que telle, était plus agréable à lire. L'auteur y détaille la méthodologie appliquée à la réalisation et au suivi de l'enquête.

L'addendum de 1993, intéressant mais lourd lourd.

Ce n'est évidemment pas un roman de Sophie Kinsella ! mais le style de l'auteur est très très technique, ce qui rend l'ouvrage très lourd.

La thématique, quant à elle, est très intéressante et riche en réflexions.

Souffrance en France m'a paru largement plus accessible, pour un public plus large.
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Souffrance en France

La souffrance en France est surtout celle trouvée dans le cadre professionnel, les autres souffrances ou injustices : chômage, pauvreté étant à peine évoquées.

Le travail, source d'accomplissement de soi est aussi et de plus en plus source de souffrance dans la société néolibérale. L'auteur constate aussi que cette souffrance, les injustices sont acceptées, perçues comme une fatalité et non comme des injustices. Une grande partie de la population y consent voire y collabore.

Christophe Dejours essaie de comprendre pourquoi. Il analyse la banalité du mal d'Hannah Arendt à travers le cas d'Eichmann sur lequel se base une grande partie de l'essai. Il développe également le concept original de virilité qui permet d'inverser les valeurs : le Mal devient Vertu, devient courage. Les nouvelles méthodes d'organisation des entreprises, le concept de "culture d'entreprise", l'individualisme, la neutralisation des actions collectives, la précarisation, la peur du chômage, la rationalisation du mensonge au nom de la réalité économique. Un essai dense, abstrait et de nombreux concepts développés
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Souffrance en France

Par-delà l'assonance de son titre, l'objet de cet essai très souvent cité dans les bibliographies de critique sociologique du travail, ce sont les mécanismes d'introduction de la souffrance par l'organisation néolibérale du travail ainsi que (principalement) les mécanismes défensifs collectifs et individuels qui permettent de l'exercer et/ou de la tolérer sans que le sentiment éthique des responsables n'en soit entièrement atteint.

L'ouvrage, fort dense et souvent complexe, se fonde sur le concept de banalisation du mal dû à Hannah Arendt (et un peu aussi à celui de distorsion communicationnelle de Jürgen Habermas) ; il est donc très ancré dans la réflexion philosophique plutôt que dans la clinique (de psychologie du travail) qui pourtant est évoquée et dont on s'attendrait à un poids prépondérant compte tenu de la formation ainsi que de la profession de l'auteur.

Manquent par conséquent très gravement des cadres de référence concrets relatifs aux conditions professionnelles étudiées (sauf un peu dans le ch. II: "Le travail entre souffrance et plaisir"), sans doute dans un souci de généralisation (et d'abstraction) qui, s'il appelle à un sentiment d'adhésion (d'identification?...) fréquent, provoque par moments la frustration d'un excès d'exercice abstrait s'appliquant à des évidences.

Dans la densité et la complexité, cependant, l'on se nourrit d'une substance abondante et fertile.

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Suicide et travail : que faire ?

Un livre intéressant.



Le suicide au travail est un sujet très controversé mais les auteurs parviennent à exposer les faits, à établir des connexions et proposer des solutions sans tomber dans la controverse ou le drame à outrance.



La première partie est complexe, car le langage utilisée est précis et le fond de cette partie s'adresse plutôt aux DRH, aux patrons, à toute personne en position de pouvoir hiérarchique dans une entreprise.



La deuxième partie expose un cas précis. Et permet de voir les mécanismes mis en place dans une entreprise après le suicide de certains de ses employés.



En bref, je dirais que ce livre est réellement intéressant mais que sa complexité rebutera certains.



Belles lectures à tous.
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Souffrance en France

Inclassable travail d'un lanceur d'alertes, dont le succès, dans l'objectif de pointer ce qui dérange, est certifié par le peu de cas qu'en ont fait les média conventionnels jusqu'à aujourd'hui encore.

L'auteur étant pourtant on ne peut mieux placé, dans l'organisation et la hiérarchie officiellement établie de ce pays pour traiter le sujet abordé qui faisait aussi l'objet de son activité professionnelle !
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Travail, usure mentale

l s’agit d’un essai sur la psychopathologie du travail réalisé par un auteur de référence en la matière, Christophe Dejours. Plusieurs éditions ont eu lieu et pour chacune, il a rédigé une introduction et un addendum ce qui rend la lecture un peu fastidieuse.

Quelques réflexions très intéressantes, un langage clair et précis, sans termes techniques inutiles, ce livre constitue une bonne introduction à la psychologie sociale et particulièrement à la psychologie du travail.
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Le facteur humain

Comment les sciences "humaines" résistent au technicisme. En gros voilà le peu qu'il m'en souvient de ce que-sais-je du psy Christophe Dejours. Cette lecture ayant été réalisée pour un mémoire. Mais ne fut pas une de mes principales sources, donc vite passée. Livre bien fait comme assez souvent dans cette collection.

Sans doute les psychologues du travail y trouveront une introduction à un sujet fondamental pour eux, les autres passeront leur chemin.
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Travail, usure mentale

M'a été très utile dans le cadre de mon mémoire de fin d'études, bien fait, clair, assez intéressant, mais uniquement si on est attiré et/ou qu'on baigne dans l'aspect scientifique et analytique du travail. En même temps, c'est un peu bête ce que je dis, quiconque travaille pourrait s'y sentir concerné.

Mais ça reste un ouvrage à vocation scientifique. Comme il traite d'un sujet en perpétuelle évolution et révolution, je me demande s'il passe(ra) les âges et le temps...
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L'Évaluation du travail à l'épreuve du réel : Crit..

Publié en 2003, cet essai mettait en garde contre les dérives et les conséquences de la généralisation de l'évaluation dans le monde du travail. Depuis, le moins que l'on puisse dire, c'est que le phénomène n'a fait que s'amplifier. Partout, à tout bout de champs, nous sommes sans cesse évalués et sommés à notre tour d'évaluer fournisseurs, collègues, subordonnés, pairs, hiérarchies, process et outils en vigueur, etc. Cet excès d'évaluation soumet les individus à un stress permanent, parfois intenable, et renforce la concurrence et l'isolement aux dépens des collectifs et de la solidarité. En effet, comme l'indique Christophe Dejours dès sa préface "j'ai des doutes sérieux, et sérieusement fondés, sur la capacité des instances administratives à produire des évaluations réellement objectives et inspirées. Et cela, fondamentalement, parce que la fin réelle de leurs opérations d'évaluation n'est pas l'évaluation elle-même, mais le pouvoir qu'elle permet d'exercer et d'accumuler..."



De manière très synthétique, l'auteur reprend ici ses principales thèses : travail invisible, différence entre travail réel et travail prescrit, l'absence de proportionnalité entre performance et travail, et démontre comment depuis des décennies on tente d'évaluer le travail, et qu'en réalité on évalue d'autres choses (le temps de travail, le respect des règles, les compétences, etc). Il montre ainsi les confusions, les limites et les dangers de l'évaluation. L'analyse est pertinente, précise. Le style simple et accessible. A lire avec « Travail, usure mentale : essai de psychopathologie du travail »
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Psychopathologie de l'expérience du corps

Un ouvrage éclairant sur la psychosomatique. En tant que psychologue clinicien, on peut se perdre parfois dans le discours du patient et oublier de se pencher sur les maux que son corps à à dire ;) En effet, esprit et corps ne sont-ils pas entremêlés ? Dans ce livre, on suit différents cliniciens chercheurs qui étayent à la fois sur des théories et des cas cliniques qui sont les leurs, l'importance de la connexion corps esprit dans l'expression des maux. Les cas cliniques m'ont absolument subjuguée, j'ai été impressionnée de constater à quel point notre santé physique peut retentir à cause de ce que l'on ressent.
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L'Évaluation du travail à l'épreuve du réel : Crit..

Paru en 2003, cette analyse de Christophe DEJOURS a conservé une bonne part de pertinence, en 2021, où notre société de services est passée d'un ensemble d'oasis numériques à un océan numérique dans lequel nous flottons comme une myriade de bouchons. Nous sommes immergés dans un monde phygital sans être submergé par celui-ci. La devise de Paris « fluctuat nec mergitur » prend alors un sens moderne. A ce jour, la tendance à vouloir tout calculer exacerbe les défauts, les écarts entre la réalité et notre intelligence de celle-ci. le monde numérique tend à faciliter la duperie et nous montre les limites de notre aptitude à discerner les vessies des lanternes. Les autoroutes de l'information rendent donc d'autant plus cruciale, la nécessité de ne pas faire fausse route, de bien choisir, sous peine d'aller à la dérive à la vitesse de l'éclair.

En conséquence, pour continuer à choisir avec pertinences nos réponses à diverses sollicitations, autrement dit, pour exercer pleinement notre responsabilité et conserver du sens à nos actions, il est nécessaire de nourrir notre capacité à faire des choix, à prendre des décisions. L'un des écueils serait de ne plus penser, pour diverses raisons, et se laisser mener par une série de réflexes à la Pavlov, par une ribambel d'habitudes, d'addictions irréfléchies. En effet, ces attitudes par lesquelles, nous marcherions au hasard, à toute vitesse entre deux jonctions provoqueraient un ralentissement drastique et épuisant. Donc, nous tituberions à la manière d'un ivrogne du numérique complètement imbibé, définitivement dépendant, incapable de penser, hors sol, sans objectif, sans finalité.

Or l'auteur souligne bien l'importance de conserver un rapport étroit avec le réel puisque le travail se définit comme complémentaire à l'intelligence pour réaliser une oeuvre. Dans ce contexte, l'intelligence constituerait l'ouvrage puis le travail réaliserait l'oeuvre, c'est-à-dire tous les ajustements utiles pour parvenir à l'objectif malgré les aléas, les incertitudes, la complexité, les lacunes engendrées par une intelligibilité partielle, par nature, de la réalité. Cette confrontation avec le réel pour atteindre une finalité constitue le travail effectif.

Donc, la dualité entre intelligence et travail, bien coordonnée, est la seule source d'efficacité, voire d'efficience lorsque les leçons sont bien tirés. Donc, si une valeur est accordée au résultat atteint, sa distribution entre l'intelligence et le travail est compliquée du fait de leur intrication. Donc, le modèle de chaîne de valeur, n'explique pas vraiment le bouclage, la roue qui produit la valeur. Edward Deming lorsqu'il a mentionné le concept PDCA, dénommée Roue de Deming, a bien cerné le phénomène.





Donc, la problématique de l'évaluation du travail est prégnante.
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Travail vivant, tome 2 : Travail et émancipat..

Oeuvre essentielle pour comprendre la théorie de Dejours
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L'Évaluation du travail à l'épreuve du réel : Crit..

Court et efficace.
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Suicide et travail : que faire ?

c'est un livre qui parle de notre société, de nous au travail. En le lisant, cela nous parle. On se dit que cela arrive aux autres et peut amener des actes irréversibles. Ce livre fait des constats mais il donne des pistes d'action pour ne pas accepter ce que l'entreprise et son organisation provoquent. La première marche de l'escalier, c'est la convivialité qui mènera à la coopération puis au collectif de travail. Alors restons optimiste, il y a des moyens d'agir.
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Souffrance en France

Lu il y a quelques années pour un mémoire, je l'avais trouvé intelligent, bien argumenté et somme toute très intéressant et fort "actuel". Même si il n'a été qu'un livre annexe à mon travail. J'ignore si un tel livre passerait bien les années, la souffrance, vaste sujet.
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La panne : Repenser le travail et changer l..

Une présentation de la psycho-dynamique du travail relativement accessible et agréable à lire.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Le facteur humain

C’est un essai instructif mais complexe pour les non initiés à la sociologie sur le comportement de l’homme au travail. La technique prend le dessus sur l’humain, elle devient plus importante que les ressentis de celui qui travaille. Sa vision de relation homme/travail est réaliste et sans complaisance envers les patrons.
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